Personnification De La Foret

cloisonnés dans un espace temporel rigide, mais sur des sensations de vécu aux odeurs poétiques et révolues dans un espace intemporel. « L’être abrité sensibilise les limites de son abri. » il ote sa valeur d’objet à la maison. Ainsi Rilke décrit une personnification presque maternelle de la maison : (p27) Maison, pan de prairie, ô lumière du soir Soudain vous acquérez presque une face humaine Vous êtes près de nous, embrassants, embrassés. Bachelard indique que la maison ouvre des symboliques liées à sa

SCENE DU PAUVRE" NOTES SUR DOM JUAN DE MOLIERE (Acte III, Scène 2) Courte mais très intense, et surtout très célèbre scène. Dom Juan, Sganarelle, un pauvre en sont les protagonistes. Dom Juan et son valet Sganarelle se sont égarés dans une forêt ; cf Acte III, fin de la scène 1 : DOM JUAN : Mais tout en raisonnant, je crois que nous nous sommes égarés. Appelle un peu cet homme que voilà là-bas, pour lui demander le chemin. Dom Juan n'aime guère perdre de temps en vaines paroles. C'est

domine le lac. Le "lac" de Lamartine est devenu le poème immortel de l'inquiétude devant le destin, de l'élan vers le bonheur et de l'amour éphémère qui aspire à L'Éternité. Enonciation : " ô lac " ; " ô temps " ; " ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure " ; " eternité, néant, passé, sombres abîmes, " : le poète s'adresse d'abord au lac, il apostrophe également le " temps " et prend à témoin la nature toute entière (nature austère et immuable) qui devient la confidente de l'homme et recueille

fuite du temps. L'allégorie temps-oiseau prend ici une importance particulière. "O temps suspends ton vol", est un impératif adressé au temps comme à un oiseau pour suspendre son vol et se reposer. Au vers 37 où l’adjectif "jaloux" renforce la personnification. Les participes passés, la voix passive (strophe 1) soulignent la passivité et l’impuissance de l’homme face au temps : il est soumis au mouvement du temps. L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience

(Principes de la philosophie, IV, 203) Dans un essai sur la Marche, Thoreau écrit : "In Wildness is the preservation of the world" (le salut du monde est dans ce qui est sauvage) ou encore "chaque arbre tend ses fibres en quête du sauvage", puis "des forêts et de la wilderness proviennent les toniques et les écorces qui fortifient l'humanité". La wilderness est la nature "non affectée" (unimpaired), extérieure à l'homme et pourtant essentielle à la sauvegarde de ce qu'il recèle lui-même de liberté. 1

rejetés par les flots. Le navire s’appelle toujours « La virginie », et le récif est visible également. Le soleil « brûle », l’épaule de Robinson est douloureuse, mais il n’est pas « blessé ». Il se fait un bonnet de feuille est s’enfonce dans la forêt. Nous sommes donc bien au même endroit, avec le même personnage qui effectue les mêmes actions. Pourtant, des nombreuses différences séparent ces deux textes. Tout d’abord, d’un simple coup d’œil, la différence de taille des incipits est flagrante

ses clartés de vapeurs obstruées ;  Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule  Sur la face des mers, sur la face des monts,  Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule  Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes,  Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts  S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes  Prendra sans cesse

oxymore : alliance de mots contradictoires : « aimable tyrannie » B] L’opposition entre l’amour et l’honneur • Venger un père / perdre une maîtresse ; l’un m’anime le cœur / l’autre tient mon bras • Modalité interrogative : montre son incertitude • personnification (29, 30) : il apostrophe son épée en la désignant par sa matière, c’est une synecdoque • Périphrase + oxymore : «  digne ennemi de mon plus grand bonheur » III : L’auteur met en scène un personnage admirable par son héroïsme A] Tentation du

Les Obsèques de la lionne La Fontaine né en 1621 dans l’Aisne, son père est maitre des eaux et forêts. Il a donc une enfance heureuse à la campagne, il gardera toute sa vie le gout de la nature. À l’école c’est un élève médiocre mais poussé par sa famille il fait des études de droit et devient avocat en 1649. Mais finalement il décidera de reprendre la charge de son père en 1652. Il décide de commencer à écrire Fouquet devient alors son mécène mais en 1661 Fouquet est arrêté par Louis XIV. La Fontaine

d’origine de François. Il en fait une description détaillée ainsi que de ses alentours. Il arrive ensuite sur une description du monde en général et, à travers des personnifications (« le soleil, il soleille […], il fend, il saute) ainsi que des comparaisons, montre la beauté de la nature. Tout autant bien les zones géographiques (forêt, désert, Jérusalem,…) que les animaux (chien, libellule, autruche, oie,…) sont décrits. A la fin du chapitre, on arrive à la fin de la création du monde (6ème jour) :