Personnification De La Foret

début de texte, c’est la forêt qui s’exprime elle-même. On le voit par l’utilisation du verbe dire suivi de deux points et des guillemets. Une forêt qui parle, il s’agit donc d’une personnification. 2- Il y a jeu de mots car il y a jeu entre le sens littéral et le sens figuré des expressions. En effet, on comprend bien qu’il peut y avoir des oiseaux dans ses branches et des fourmis sur le tronc. Mais au sens figuré lancer des noms d’oiseaux signifie « insulter » et la forêt se sent réellement maltraitée

➢ « Automne » • Silhouettes du paysan et du bœuf doucement nostalgique • Chanson du paysan nous tire quelques instants de la pauvreté du monde • Tant d’émotions en un poème si court ➢ « Les Sapins », section Rhénane • Personnification des sapins • Côté ludique avec les différents métiers des sapins • Souffle de la magie (« sapins magiciens ») Featuring : Auteur et contexte I. L’auteur : Wilhelm Apollinaris de Kostrowitzy, dit Guillaume Apollinaire (1880-1918)

l’est déjà, ce qui oppose deux idées. Le narrateur décide alors d’aller se promener dans la forêt. Il ressent alors une régénérescence rompue, soit une amélioration espérée de son état (qui ne se produit pas) soutenue par l’expression « [j]e crus d’abord » et par une énumération symbolisant le bien-être « l’air frais, léger et doux, plein d’odeurs d’herbes et de feuilles ». Il y a aussi la personnification des éléments de cette énumération par l’expression « me versait », suivit d’un redoublement

à la télévision, la série "Rome", les Grecs comme les Romains ont fourni de nombreux sujets de films. En voici encore un exemple avec deux nouveautés à gros budgets directement inspirés de la mythologie. Echo Nymphe des forêts du mont Hélicon, elle est la personnification de l'écho. Elevée par les nymphes, instruite par les Muses, Echo recherchait la solitude, et fuyait les dieux et les hommes. Repoussé par elle et jaloux de ses talents, Pan excita contre elle, les bergers du pays, qui la mirent

ce qui montre que ce réveil est calme, silencieux. Avant le passage du narrateur à travers la forêt, la nature est donc morte, puis s’éveille peu à peu silencieusement. II)Quête amoureuse Tout en étant un texte narratif narrant l’éveil de la nature, Aube peut être lu comme le récit d’une quête amoureuse.Rimbaud poursuivant une femme, personnifiée par l’aube.  Personnification : « son immense corps » « déesse » => Le poète ne cours plus après l’aube mais après une femme.-

toujours très poétique. - Relation mythique George Sand / Alfred de Musset = les amants terribles (relation de deux ans, mais tumultueuse : tromperies mutuelles, cf anecdote du voyage en Italie) + correspondances éditées - Nostalgie de Musset (cf forêt de Fontainebleau où ils se retrouvaient avec Georges Sand). On peut penser à un autre auteur romantique du XIXème s, Lamartine qui dans le poème « Le Lac » (en référence au lac du Bourget où il revit les moments passés avec Julie Charles, alors qu’elle

autant vers l’aspiration libertaire de Cosimo, dont les liens avec le relativisme voltairien seront mis en exergue, que vers la scénographie vivante d’une nature personnifiée, véritable « ciel des idées ». Les figures de style (notamment la personnification et la métaphore), le point de vue dans le récit, la méthodologie et la rédaction de paragraphes argumentés, et des points d’histoire littéraire (les Lumières) et d’histoire des arts (le « land art ») animeront cette séquence, sans omettre

let  tel un animal  ­​        ​ verbe d’état > ​ description  Démarrage du récit à l’imparfait, l’action que très peu.  ­​        ​ personnification ​ : ​ ligne 1 à 3​  « une vague .. face contre sable »  ­​        ​ expansion du nom​  : ​ ligne 7 à 8​  «  qui s’effilochait »  ­​        ​ adjectifs de couleur et sensation  > adjectifs détaillés de la plage et foret  Sens sollicités ​ : la vue au niveau des couleurs : « brunâtre » « rouge » « céruléen »,  l’odorat « pourrisant » « poissons morts » 

□ Les correspondances = pour Baudelaire vision purement intuitive : -« Temple »v.1= vision sacrée du monde, divin présent -« vivants piliers »=oxymore qui renforce le divin car personnification -idée de verticalité (« temple »/ « piliers »/ « forêts ») -« regards familiers » v.4= personnification des symbôles - « confuses »= message divin mais confus. =› le poète va déchiffrer ce message symbolisé. Impression de mystère car ce sont les symbôles qui observent

Tout d’abord Flaubert utilise la nature ce qui nous fait voyager comme avec « ils se promèneraient en gondole, se balanceraient en hamac » qui peut nous faire penser à l’Italie avec Venise et ses gondoles et aux iles avec les hamacs. De plus « des forets de citronniers » peut nous faire penser au sud de la France tout comme « les clochers aigus portaient des nids de cigognes ». Il nous fait aussi voyager en Espagne avec « des bouquets de fleurs que vous offraient des femmes habillées en corset rouge