Personnification De La Foret

lexique, cela montre la place importante que prend le temps dans ce récit. De plus ces termes peuvent faire référence à un jour qui passe qui renvoie à la fuite du temps. Le temps est utilisé dans sa polysémie : « le temps qui s’enfuit ». Cette personnification rend le temps animé comme une personne a part entière, ici le temps représente un instant, une durée. La citation « demain viendra l’orage » v2 nous montre un autre sens pour le mot temps, ici on parle d’un état extérieur tel que la température

Cette notion est très large puisqu’elle peut englober l’intégralité de ce qui a été assimilé. Dans ce conte de Jean-Yves Loude, la source n’est pas une source normale mais une source pleine de savoir et de connaissance, ce qui est une personnification. La personnification est une figure de style, un procédé littéraire relevant de l’anthropomorphisme, qui consiste à attribuer des propriétés humaines à un animal ou à une chose inanimée (objet concret ou abstraction) que l’auteur fait vouloir, parler, agir

correspondances verticales. Dans le premier vers, la nature est un temple. La métaphore se prolonge avec l’évocation des piliers qui sont caractérisés de « vivants » (v1) qui produit une analogie visuelle entre les piliers du temps et les arbres de la forêt. Dans le v3 et 4, analogie entre la nature vivante et la nature mystique Phrase de transition : A travers ce système de correspondances verticales et horizontales se dessine la fonction du poète. II / La fonction du poète : A) Distinguer deux

et plus… » Exergue Univers onirique, mise en garde du poète, allusion au MA. Premier mouvement : « Il était » Formule du conte Création d’un cadre imaginaire « J’ai vu » Verbe de perception visuelle Le poète nous donne à voir un tableau « Abbaye, forêt Morimont » « aux murailles…percée…grouillant… » Champ lexical du lieu Expansions du nom Un tableau en 3 lieux dans lequel est crée une atmosphère pesante, lugubre, désagréable « Nuit, la lune » Champ lexical de la nuit Création du motif du clair-obscur

les histoires, le lecteur fait la connaissance de la petite Cosette. Un couple d’aubergistes, appelé les Thénardier, gardent et exploitent la petite fille. Dans le passage proposé, celle-ci est obligé d’aller puiser de l’eau la nuit, à l’orée de la forêt. Elle s’aventure à l’intérieur, et c’est cette expérience que le narrateur décrit avec précision. Problématique : Comment le narrateur nous fait-il passer d’une banale peur enfantine à la description d’un paysage fantastique ? Dans un premier temps

donc intemporelle et universelle = sa morale est vraie pour tous les « pays » et toutes les époques. En effet elle met en avant des comportements humains qu'elle critique. Elle critique également la société d'Ancien Régime mais sous forme de personnification afin d’éviter la censure. La fable est donc un récit fantaisiste ( animaux qui parlent ) mais qui a un sens plus profond = leçon de vie, modèle, exemple à méditer. Comme le Conte, la fable n'est pas réservée aux jeunes lecteurs. Du côté de

l’homme = Siège du lyrisme. Mais lyrisme mélancolique. Troisième paragraphe. Héros qui aime se perdre dans l’immensité de la Forêt. Egarais – bruyère – forêt. Contemplation dans la Nature. Attention à des détails – Une feuille/La mousse/Le jonc flétri. Singularité + décrépitude = solitude/ mélancolie. + Pour souligner ces correspondance – personnification. Aspiration à l’ailleurs, à l’absolu, à l’inconnu. * Au loin, les oiseaux de passage, au dessus, bords ignorés, lointains.

•Alternance : Anaphore de "puis" vers3 et 4, rythme brisé dans les vers 2 et 4 (6/3/3) et (3/3/6) •Utilisation des adverbes et des complements de temps mis en relief par la ponctuation et la versification. 3)L'expression des effets du temps •Personnification: face des mers, ridés non vieillis, front des montagnes •Comparaison entre l'homme mortel et la naure éternel --> thème typiquement romantique •L'homme reconnait sa fragilité devant la puissance de la nature. II- Les images de la nature C'est

bien comme une construction humaine). ⁃Alors que la foret est un lieu sans fronjtiere elle ici decrite comme un domaine clos (« tenebreux » v6) une impression general d une foret sombre et donc sirconscrite dans un domaine précis. 2)Correspondance verticale entre le profane et le sacre. -Personnification de la nature « vivant pilier » « sortir de confuses paroles » « regard familiers » et il a aussi une majuscule au mot nature donc la foret est donc l intermediere sacre entre le visible et l’invisible

circonspection sur les liens réels entre Montfermeil et l'action du roman. Le roman est un empilement de références que seulement Hugo pourrait démêler. Cela ne nous empêche pas de passer pour le sentier de Cosette, du moulin à vent de Sempin à la forêt de Bondy, pour nous imprégner de l'époque des « Misérables », celle où Montfermeil « n'était qu'un village dans les bois », selon les mots d'Hugo.Analyse extrait Madame Bovary, chapitre 8 première partie, pag 67Il s’agit d'un extrait tiré de Madame