Personnification De La Foret

anniversaire que je ne n’avais pas vu depuis longtemps. Elle habite hors de la ville, dans un endroit assez éloigné. Le chemin pour m’y rendre était assez sombre, j’ai dû passer à travers plusieurs chemins de terre, ainsi qu’à travers de nombreuses forêts. Après une heure de route, je suis finalement arrivée chez elle, c’est à ce moment que je me suis demandé pourquoi j’étais allée seule. Ma tante a toujours été un peu spéciale. Elle sort rarement de sa vieille et sinistre demeure, toute la famille

connaît lui aussi l’usage de la métaphore. Ex. Cette fille est une oie. C’est un vieil ours (c’est ce qu’on dit d’un homme impoli). 3. La personnification La personnification est une figure qui se construit à partir d’un déplacement du registre de l’inanimé dans celui de l’animé (le comparé est inanimé, et le comparant est animé). Ex. La forêt gémit sous l’effet du vent. 4. L’allégorie L’allégorie est « la représentation d’une idée abstraite et générale sous la forme,

repos et de recueillement. Pour certains romantiques du XIXe siècle, elle est aussi l'incarnation la plus tangible de Dieu ; sa complexité et sa splendeur en font une preuve de l’existence d’un créateur divin. D'autres, grâce au procédé de la personnification, voient en elle une vie et des sentiments, qui varient selon l'état d'âme de son spectateur. Un même paysage pourra donc exprimer plusieurs sentiments ou pensées. Néanmoins, pour la plupart des romantiques, le spectacle de la nature reconduit

la fillette doit aller jusqu'au puit pour ramener de l'eau à ceux qui l’hébergent, alors que la nuit tombe et que le noir est sa plus grande phobie. Voyons en quoi cette foret effraie et est fantastique par l’intermédiaire de la description de la nature elle-même et de la vision de Cosette, qui à une peur démesurée de cette foret. Tout d'abord, nous pouvons voir que la nature est décrite lorsque le soleil se couche. En effet, « le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient comme des

ÉLÉMENTS DE CORRIGÉ COMMENTAIRE JUIN 2022-portrait-paysage original : pas de description réelle des personnages, mais association directe à la forêt-univers du conte, du merveilleux, épique égalementPROBLÉMATIQUE POSSIBLE : en quoi la présentation des personnages relève-t-elle du merveilleux ?PLAN EN 2 PARTIES -I- Des personnages ancrés dans la nature1-coupés du monde civilisé des hommes, ils sont sans éducation2-ce sont des êtres mystérieux, en fusion avec la forêt3-et

Dans cet extrait, la nostalgie de l’amour est contredite par l’éclat de la nature. Victor Hugo a écrit ce poème en octobre 1837, lorsqu’il était éperdument amoureux de Juliette DROUET. Ces lieux, cette forêt, avaient donc été les témoins de l’ivresse de leurs amours. Ce retour sur les lieux, loin d’effacer le temps écoulé, souligne sa fuite inexorable et la vanité des désirs de l’être humain qui voudrait éterniser les instants de bonheur. Dans les deux premiers vers, on lit une description de la

1802 aux traits autobiographiques. Ce récit met en scène le personnage éponyme de René, qui en proie au désespoir, est sauvé par sa sœur Amélie, dès lors un amour fusionnel naît entre les deux personnages. Dans cet extrait, René se promène dans une forêt durant l’automne en plein jour; il évoque les différentes sensations que lui procure la nature. Dès lors une question se pose à nous　: à travers l’évocation de cette promenade, en quoi le décor naturel est-il symboliquement le miroir de l’état d’âme

« merles » « rossignols » «  taillis » « mure » « branches » « mousse » « eau » « bordure ») Décrite avec précison ---> pas anodin vu le cadre spatial = forêt « les grands bois sourd », personnificaion ---> confidentialité et intimité total Silence apparent entre les 2 personnages/ la nature s'exprime ---> personnification («  une eau courant » « la rosait offrait ses perles » «  le taillis offrait ses paroles ») Amour apparent entre VH et la Nature (il la fait vivre) --->

victime », « Son plaidoyer », « Sa requête »] est un indice qui peut vraiment vous aider ; ce titre indique le « fil conducteur » des questions, le lien logique qui les unit... La victime /7 1. En ce début de poème, c’est la forêt qui prend la parole (vers 1 : « La forêt dit (...) »). Les marques caractéristiques du discours direct sont nombreuses : - choix d’une typographie particulière avec l’usage des deux-points et des guillemets ; - présence d’un verbe de parole introducteur qui annonce les

Bonjour, je suis en seconde et j'ai un commentaire composé à rendre sur un texte de Victor Hugo, [les Misérables[/u]. L'axe est donné, je dois montrer comment l'auteur transforme la marche en forêt en une entrée dans un monde terrifiant. [u]Tout d'abord, voici l'extrait :[/u] [i] (Cosette, âgée de huit ans, a été envoyée de nuit remplir un seau d'eau à une source située en plein bois, loin de toute habitation.) Au dessus de sa tête, le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient