Personnification De La Foret

et ses clartés de vapeurs obstruées; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! 5- Tous ces jours passeront; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, 10- Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant; le fleuve des campagnes Prendra sans

couple à ce désir. Ceci est révélé lorsqu’Elvire s’adresse à lui, par l’utilisation de l’apostrophe « Ô temps! », employant une accumulation de trois verbes d’action à l’impératif : « suspends, suspendez, laissez nous savourer…., coulez » et une personnification « Oubliez les heureux » pour le supplier encore et encore de les laisser vivre en paix et de prolonger leur amour. Ensuite, le poète dénonce la corruption du temps et l’accuse de lui gâcher tous les beaux souvenirs qu’il voudrait éterniser

Mouvement  : 1er mouvement  : (V1.4) présentation de l’automne/généralité sur l’automne. C’est bien l’automne le sujet =) adresse directe + tutoiement V.2 : humanisation de l’automne --) personnification cf « malade et adoré », aulieu de parler directement de sa souffrance, il semble se tourner vers l’extérieure au lieu de se replier sur soi. Automne saison séduisante, via l’odorat et la rive cf (roseraie) + emploie du pluriel semble multiplier

ce courant. L’auteur utilise le ‘je’ ce qui caractérise ce mouvement artistique. De plus, Hugo parle de la fuite du temps qui est un thème souvent abordé dans ce type d’œuvre. Il fait aussi allusion à l’eau, à la campagne, aux montagnes et aux forêts qui sont des éléments clés de la nature distinguant ce côté romantisme. Le poète compare sa vie avec celle de la nature. La faune et la flore survivront au temps qui passe en restant toujours semblables tandis que l’homme vieillira et quittera la

donne au texte sa tonalité en utilisant les champs lexicaux de la forêt : "bois" ; "branchages" ; "buissons" et de la peur : "épouvante" ; "horrible" ; "peur". On trouve donc dans ce texte des marques du romantisme, comme la nature. Victor Hugo décrit avec une précision remarquable le cadre spatio-temporel en qualifiant chaque élément qui le compose : "hautes herbes" ; "buissons chétifs". Ainsi, le lecteur se croit projeté dans la forêt et se surprend à trembler, tout comme Cosette. Premiérement, c'est

Climatisation...sans frais! (Nissan) 6. MÉTONYMIE C’est la figure qui consiste à employer le nom d’une réalité pour en désigner une autre qui a un rapport habituel avec la première. Ex: Je t’invite à prendre un verre. Toute la ville en parle. 7. PERSONNIFICATION Figure qui consiste à représenter une chose, une idée ou un animal ayant les traits ou accomplissant les gestes d’une personne réelle. Ex. Et la célébrité, cette grande dame capricieuse, a frappé à sa porte. (La Presse) 8. COMPARAISON Elle

utilisée, ce qui montre que ce réveil est calme, silencieux. Ccl : avant le passage du poète à travers la forêt, la nature est donc morte, puis s’éveille peu à peu silencieusement. II) Quête amoureuse. Tout en étant un texte narratif narrant l’éveil de la nature, Aube peut être lu comme le récit d’une quête amoureuse. Rimbaud poursuivant une femme, personnifiée par l’aube. - Personnification : « son immense corps » « déesse » => Le poète ne cours plus après l’aube mais après une femme. - «

[IS1] le site d’un lac, dépeint de façon détaillée par l’auteur, sert de cadre au poème. Toutefois, il ne s’agit pas là d’un lieu purement décoratif, mais plutôt d’un élément fondamental de l’œuvre puisque le lac va jusqu’à faire l’objet d’une personnification et que le poète s’adresse à lui lors d’une longue apostrophe se déroulant au long des quatre premières strophes et des quatre dernières du texte. En ce sens, tout un champ lexical constitué autour de cette figure du lac sert à en marquer l’importance :

. Situation : La Fontaine, célèbre fabuliste et moraliste du 17ème siècle qui connait bien la cour et les animaux, la nature. Il était maître des eaux et forêts. C’est une poésie, une fable. C’est un texte narratif mais qui contient aussi une argumentation explicite (Vers 17 « je » et il y une morale). La Fontaine s’adresse aux lecteurs (vous). . Plan du texte : Vers 1 à 16 : les circonstances (mort de la lionne, organisation des obsèques). Vers 17 à 23 : 1ère intervention du moraliste qui

bois (« Grands ») : dès le départ, le poète est écrasé par la nature. Personnification des bois : Baudelaire emploie « vous » pour s'adresser aux bois. Comparaison avec un lieu religieux, la cathédrale, toutefois cette dernière ne témoigne d'aucune religiosité. Cathédrale = lieu sombre, froid. Comparaison dans les six premiers pieds avant l'hémistiche du vers 2 : « vous hurlez comme l'orgue ». De nouveau, personnification des bois qui hurlent. Hurlement : vent qui traverse les grands bois lors