Personnification Des Animaux

de La Fontaine 1621-1695 .Fabuliste, moraliste et romancier français , Lors de ses tournées, il observe le comportement des animaux. Cela l'inspire pour écrire des fables. La Fontaine utilise des animaux pour critiquer les hommes LECTURE AXE 1 Un récit vif et piquant 1) Structure de la fable 2) un récit animé AXE 2 Une satire sociale 1) Par la représentation animale 2) Une critique du pouvoir arbitraire 3) Une critique des courtisants AXE 1 Un récit vif et piquant 1) Structure de la

du à sa ponctuation, nous trouvons ces thèmes dans l’ordre : la nature (printemps, chevreuil), le printemps (promenade), la menace (intrépide), utilisation du « je » (personnification). Tout d’abord, dans la première strophe, le chevreuil qui est le comparant, désigne un amour et une fragilité. C’est un amour incarné dans un animal c’est donc l’amour modeste, l’amour platonique des troubadours comme Guillaume d’Aquitaine l’écrivait avec ses canso. Ensuite, dans la deuxième strophe, nous y trouvons

71 à 80) Figures de styles : Vers 72 : « des troupeaux d’autobus » -> personnification, les autobus sont comparés à des animaux avec le mot « troupeau » qui peut faire référence à des troupeaux d’animaux. Vers 77 : « comme le feu de l’Enfer » -> comparaison : le feu de l’Enfer est comparé au rire qui serait diabolique en rapport avec les caractéristiques de l’Enfer. Vers 79 : « tableau pendu » -> personnification, le tableau est assimilé à un être vivant. Thèmes développés et champs lexicaux :

Association @lyon - www.alyon.org/litterature/regles/figures_de_rhetorique.html Accumulation n.f. Enumération qui crée un effet de profusion. Effet de profusion. Allégorie n.f. Personnification d'une idée abstraite ; mais ce peut être aussi une métaphore continuée tout au long d'un texte d'une certaine longueur . Personnification d'une idée abstraite. Antithèse n.f. RHET Rapprochement de deux propositions ou de deux expressions contrastées. Permet de classer le monde et de persuader celui à qui on s'adresse

Les figures de style (1) : les figures de rapprochement : La comparaison, la métaphore, la personnification et l’allégorie sont des figures de rapprochement. On les appelle ainsi car elles consistent à rapprocher entre deux éléments. 1. la comparaison : Rapprocher entre deux éléments à l’aide d’un outil de comparaison pour souligner les ressemblances ou les différences.  Exemple : « Son sourire est pareil à un éclat du soleil.»  Ses composantes : Comparé Outil de comparaison (comparatif)

par terre d'ou: donne l'image de quelque chose de grandiose antithèse: entre terre et vole: univers à double dimension: horizontalité, verticalité le papillon est à l'intersection des hommes et du ciel. Allégorie du poète il regarde les hommes. Animal sublime champ lexical: de la fleur: sucre fleur tige: ce qui nourri le papillon synonyme de beauté quelque chose d'éphemère de fragile adverbe d'intensité: ma lavées: renforce le coté trivial poésie du quotidien métaphore: flambèrent: qui

Réparation du préjudice moral: Commentaire d'arrêt Cass, 1ere civ, 16 janvier 1962 Un animal n'est-il pas une chose, pourtant dans cet arrêt il semble que le cheval soit personnifié dans la mesure où son propriétaire est indemnisé pour dommage moral causait par la mort de son animal. En effet dans l'arrêt du 16 janvier 1962, la Cour de Cassation a octroyé un droit à réparation pour préjudice moral à un propriétaire M. Daille du fait de la perte de son cheval :Lunus. En l'espèce M. Daille

parfois même la critiquer … La fable que nous avons choisi d'étudier est certainement la plus connu. Le corbeau et le renard. Evidement, pour mettre en scène des personnages, il faut utilser la personnification. La personnification est une figure de style qui permet de donner des caractères humain a un animal ou a un objet. Dans cette fable la morale est que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. En d'autre termes, quand un inconnu nous flatte, c'est qu'il attend quelque chose de nous

XXIe siècle, Jacques Roubaud est un enseignant d’université passionné par les formes fixes de poèmes. Membre de l’OuLiPo et adepte du sonnet, celui-ci nous en propose une version moderne et originale, « Le Lombric » paru en 1983 dans le recueil Les animaux de tout le monde. En effet ce texte à dimension spéculaire a la particularité de comparer le poète a un lombric. Ainsi Roubaud nous enseigne dans cette poésie d’une manière singulière mais simple, en utilisant cette analogie avec le lombric, sa vision

orgueilleux. vers 12 : personnification plus poussée du coq, expression digne d’un héros cornélien Registre burlesque → le coq, qui se donne des allures de héros, ne défend pas une noble cause ; il est poussé par un instinct primaire : se battre pour sa femelle en ayant la suprématie sur l’autre. vers 26-27 : paronomase : « coquet », « caquet » → sonorités rappelant le caquètement d’une poule A travers le burlesque se dessine une raillerie fine du fabuliste, qui s’amuse avec des animaux de manière comique