Personnification Des Animaux

mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou encore « Tu parles, Charles ! ». La paronomase utilise des paronymes (des mots qui se ressemblent par leurs sons). Personnification (féminin) : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Cf. La Fontaine. Polyptote (masculin) : Un polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes, modes, temps) d’un même mot, dans une phrase. Exemple

|FIGURE DE STYLE |DEFINITION |EXEMPLE | |ALLEGORIE n.f. |Personnification d'une idée abstraite |- Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! | |ALLITERATION n.f. |Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de |Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine

Forte est l'amour, qui lors me vient saisir, >>> personnification Quand haine vient et vengeance me crie : Ainsi me fait haïr mon vain désir Celle pour qui mon cœur toujours me prie Maurice Scève, Délie, objet de plus haute vertu 1544. Texte 2 Je n'ai plus que les os, un squelette je semble, >>> métaphore Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, >>> accumulation et hyperbole Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; >>> personnification Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble

arbre à travers des personnifications et ensuite nous attarderons comment se manifeste la souffrance. A) Transformation en arbre à travers de personnifications À première vue, au cours du poème nous allons voir lentement comment le pin est progressivement humanisé, le poète nous présente la transformation en arbre à travers de personnifications, il donne des attributs physiques à un objet inanimé. Le pin est qualifié avec des caractéristiques humaines ou même animales comme dans le v.4,

du blâme Métaphore : Image qui met en relation deux éléments sans outil grammatical. Métaphore filée : Métaphore qui se prolonge sur au moins trois mots. Allégorie : Présentation concrète souvent par personnification d’une idée. Personnification : Action d’attribuer à un objet ou à un animal un comportement humain. Zeugma : Construction d’un mot avec deux compléments n’appartenant pas aux mêmes catégories d’emploi. Paronomase : Qualifie un nom propre devenu un nom commun. Pléonasme : Répétition

denonce l’opression et la misere du peuple par le monde animal, le capitalisme etant pour sa part représenté par l’homme puis nous montrerons que simultanement ce disours est tourné en derision puiqu’il s’agit d’un disours revolutionnaire. I)Disours politique C’est un disours bien structuré :une entrée en matière dont la fonction est de capter l’attention et de presenter le sujet c’est le constat et la denonciation de la misere des animaux ; denonciation des responsables et enfin blame de l’homme

écrite comme une pièce de théâtre en 5 parties (1er acte, intervention du narrateur, 2ème acte, 3ème acte, moral) Plan I/ Une fable animée 1.Présence d'un conteur (vers 17 à 23)  La Fontaine explique son indignation, il assimile les courtisans à des animaux (caméléon/ Singe : insulte) Plonge le lecteur dans le texte 2.Discours direct (acte 2 et 3, vers 24 à 51) Les lecteurs changent de voix pour imiter Variation discours direct/rapporté : fable fluide Coup de théâtre (vers 24 à 27), conséquence (vers

de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux. Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi Elles sont très nombreuses dans les fables, il s’agit en fait de personnifications. La métonymie : C’est l’emploi d’un nom pour un autre : les planches pour dire la scène Elle désigne le contenu par le contenant : Boire un Verre. C’est l’œuvre par son auteur : c’est un Proust Il y a donc trois sens possibles de

comparaison, la métaphore consiste à établir un lien de comparaison entre deux éléments sans pour autant utiliser d’outil. → La Terre est une orange. • La personnification : consiste à attribuer des caractéristiques humaines à un objet ou un animal, quelque chose de concret. → Une armoire boiteuse. • L’allégorie : variante de la personnification, l’allégorie consiste à attribuer des caractéristiques humaines à quelque chose d’abstrait. → L’argent le séduisait. Ici, argent = fortune. III/Fondées

du personnage, Césaire utilise plusieurs personnifications et des métaphores. Il y a une métaphore du pouce « le pouce industrieux et malveillant avait modelé le front en bosse, percé le nez de deux tunnels parallèles et inquiétants, ……….raboté, poli, verni …. (l-13,14). Ici, le pouce représente la misère, puis « raboté, poli, verni », est une gradation qui intensifie l’action de la misère sur le personnage. Ensuite, (l-18) il utilise la personnification des « yeux » qui « roulaient une lassitude