Personnification Du Temps

qui nous rapporte le matin avec un lever de soleil grâce à ses couleurs chaudes. Le caractère exceptionnel de l'expérience vient d’abord du fait que le temps semble suspendu avec des termes tel que : “nature déserte" (l.5) : c’est le premier moment du texte que nous pouvons apercevoir un caractère de suspens

deux tercets, donc forme classiqueet des alexandrins : classique aussiversification : « e muet » et enjambements, coupure à l’hémistiche, et finale des mots en « e muet »Souvenir, souvenir,/ que me veux-tu ? L'automneinterpeler un souvenir donc personnification/ allégorie du souvenirrépétition de souvenirstyle direct : rend plus vivant, question, lui parle directementque me veux-tu, : ponctuation expressive, pronoms me/ tu : dialogue entre les deuxune questions qui signifie ? Pourquoi es-tu là, pourquoi

monstre dévorateur, dénonce t-il les conditions de vie des mineurs au XIXème siècle? Nous répondrons à cette question 3 mouvements. Dans un premier temps nous verrons en quoi cet extrait de Germinal présente des descriptions naturalistes de la mine, dans un second temps nous verrons comment la mine devient un monstre dévorateur et dans un troisième temps nous étudierons en quoi cet extrait dénonce les conditions de vie des mineurs. L’extrait du chapitre 3 de la première partie de Germinal de Zola est

votre beauté. Commentaire Introduction Pierre de Ronsard, chef de fille de la Pléiade, célèbre mouvement littéraire du XVI ème siècle, s'inspire d'auteurs antiques, et ici d'Horace et de son "Carpe Diem". Il reprend ici le topos de la fuite du temps, c'est pour mieux persuader et convaincre Cassandre de profiter de sa jeunesse et aussi de son amour (peut-être). Ce n'est cependant pas une imitation servile : Ronsard fille la métaphore de la fleur éphémère et l'enrichie par la musicalité de sa langue

d’une façon négative lors de l’énumération dans les vers 3 et 4 où il répète l’adjectif « vieux » devant tous les mots qu’il utilise. Il veut montrer qu’il ne reste de la Rome d’autrefois que des ruines et vestiges et que presque rien n’a résisté au temps. 2ème strophe : La 2ème strophe s’ouvre sur une apostrophe évoquant la vue. Cette apostrophe peut être interprétée comme un signe de passivité et d’impuissance du visiteur qui ne peut que constater ces ruines de la ville puissante qu’était la Rome

suprême ! » Cette allitération crée une atmosphère mélancolique et le ton de la confession intime marquée par le point d’exclamation devient élégiaque. Ensuite, l’auteur nous montre que sa mélancolie est liée au temps qui passe . D’abord l’utilisation du champ lexical du temps : « temps » (v15), « années » (v12) ainsi que l’anaphore du mot « Rappelle-toi » crée une ambiance nostalgique nous replongeant dans le passé de l’auteur. Cela est renforcé par la répétition du mot « songe » au vers 14 donnant

déterminants démonstratifs - ce sont ses compagnons, ses amis car ils ont bercé ses moments heureux avec George Sand. Il se reconnaît en eux et elle n’étant plus là, il se ressource auprès d’eux : personnification de la nature et synesthésie dans « sable muet» - peint la nature avec justesse, mais associée à des évènements intimes, vécus :

Lamartine a une vision épouvantable du temps qui passe. Nous voyons que ce champ lexical revient tout au long du poème, avec « un jour » et « le temps » au vers 1, « passée » au vers 2, « rapides » au vers 5, « saison » au vers 6, « jours écoulés » au vers 8, « des siècles sans nombre » au vers 13 ou encore « à jamais » au vers 14. Le poète crée une personnification du temps avec « jaloux » au vers 1, « ses mains » au vers 2 et « sa main » au vers 4, comme si le temps était également acteur de leur vie

aussi comment cette nature, qui selon l’auteur est radiante et fantastique, résiste au temps, l’auteur est donc triste puisque sait qu’il va mourir, mais la nature reste la même. Tout d’abord, V.Hugo personnifie la nature, la valorise, a l’aide de ceci on peut observer l’état animique du poète, on peut donc dire qu’il est triste. Le poète utilise plusieurs procédés pur démontrer ceci, comme la personnification ‘’Front…vieillis’’ v.9-10, ou l’anaphore, ‘’Bois…rajeunissant’’ v.6-7, et aussi le parallélisme

double ici : elle se présente sous la forme d’une double personnification de la fable et de la vérité, c’est-à-dire d’un genre et d’une valeur en apparence opposés. Toutes deux sont représentées sous la forme de deux femmes diamétralement opposées par l’âge et la tenue. Les deux premiers vers réactivent un proverbe éculé, « la vérité sort du puits », grâce au passé simple, à l’indication de temps « un jour » et à la personnification. L’adage impersonnel perd son abstraction. La vérité