Personnification Du Temps

Les Amours Pierre de Ronsard, écrivain du XVIème siècle est né le 1er septembre 1524 à Vendômois. Durant sa vie, il s’est occupé de la garde d’Henri II mais une maladie va le pousser à arrêter cet emploi du temps et se lancer dans la poésie. Cet homme a un amour profond pour le grec ainsi que pour le latin. Ronsard est une des figures majeures de la littérature de la Renaissance. Il a tendance à chanter l’amour, il privilégie ce thème dans ses poèmes comme dans « Les Amours » poème écrit en alexandrin

sont pas remarqué habituellement et on apporte un nouveau regard (= transfiguration). Nouvelle forme = nouvelle conception du monde. Comparaison, métaphore, personnification, allégorie (image) pour montrer une conception nouvelle du monde : v2 (métaphore et personnification), v11 (personnification), v6 (comparaison), v19 (personnification). Figures qui insiste sur le bruit de la ville. Le poète dit que le monde qui l'entoure est plein de littérature, tout est poétique v2, les affiches, les catalogues

en disant qu’il n’a rien de plus désagréable dans la vie qu’un tel travail. « C’est pus toé qui watches quand a’va faire défaut, c’est elle qui watche quand tu vas y tourner le dos pour pouvoir te chier dans le dos, sacrament ! » Dans cette personnification, on voit que Léopold démontre à sa machine un aspect de lui qui mène sa propre vie à sa place. Ainsi il va expliquer que quand il s’est attelé à cette machine, il n’était quasiment encore qu’un enfant. On doit donc constater que depuis des années

des surprises pour la vue – « au détour d’un sentier ». On a d’emblée le thème, très courant en poésie, de la promenade amoureuse évoquée par le terme « sentier ». Au vers 13, on retrouve l’importance de la nature : « le ciel regardait » - la personnification semble indiquer une concordance entre les personnages et l’attitude du monde tout entier. Dans le poème, on a également une comparaison avec une fleur, v.14, l’ « eau courante et le vent », v.26. Le poète parle des « rochers », v.33 et reprend

Le XVIe siècle est caractérise par la Renaissance, la reforme du pays. Les hommes soi-disant idéaux de ce temps était les humanistes, ceux qui avaient des connaissances approfondies des langues, des cultures et des idées anciennes, ceux qui adhéraient aux nouvelles idées de reformes. Parmi ces hommes, nous avons Joachim du Bellay qui a appartenu au groupe poétique humaniste de la Pléiade. J. du Bellay est né (en/a) Anjou en 1522. C’était un fameux poète de la Renaissance qui écrit premièrement «

ou encore les genres littéraire « prose »(v9), « farce »(v9) et la comédie « bon pour Molière » (v14) opposé à la tragédie classique présente dans le texte par l’évocation de racine Corneille etc… Pour appuyer sa pensée, Hugo a recourt à la personnification des mots : il décrit leur allure vestimentaire « déchirés en haillons », « sans bas », « sans perruques » et les lieux où ils vivent « galères », « halles », « bagne ». L’auteur affirme par ses procédés qu’il ne s’agit d’un monde littéraire extrêmement

Le temps des verbes dans la rédaction (T3) Le temps de verbe principal dans la dissertation est le présent de l’indicatif. Même si les textes littéraires appartiennent au passé, ils demeurent immuables, et la réflexion qu’impose l’écriture de la dissertation est actuelle. Le vocabulaire (L1.4) Verbes qu’il faut éviter dans les dissertations : Employer, utiliser, démontrer, justifier… Erreur : L’auteur utilise la métaphore pour montrer le désespoir de son personnage. Correction : La métaphore met

quatrains sont mélioratifs et les deux tercets sont péjoratifs. Dans les deux quatrains, les rimes sont embrassées et dans les deux tercets ce sont des rimes plates. Dans ce poèmes, Laforgue décrit le printemps, dans un premier temps, puis décrit la mort, dans un deuxième temps. Problématique 1: Montrer que la nature est évoquée de manière poétique Problématique 2: Montrer que le poète exprime sa condition personnelle Dans la première partie, nous allons développer l'évocation poétique de la nature

semblables. Le poète construit en effet une métaphore autour de la femme. La « robe » (v. 3), envoie aux parures de la femme, reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5), Il s'agit des pétales de la rose, mais sous-entend la peau humaine. La personnification de la fleur « elle a dessus la place » (v. 8), « ses beautés laissé choir » (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines, pour accentuer le rapprochement de la femme a la fleur. De même, le choix du terme « teint » (v. 6) désigne explicitement

renouvelle ce procédé d’écriture et comment parvient-il à rester dans le temps grâce à ses œuvres ? Selon les deux thèmes cités, nous verrons l’évocation de la mort et de la temporalité. Par la suite, la finitude d’une vie et l’immortalité des écrits au travers du temps. La première strophe fait écho à la vieillesse. Il aborde dès le premier vers l’attaque du temps qui passe. Le premier vers appuie une personnification du temps qui est porté responsable de la sénescence. Il a un action négative sur