Personnification Maupassant

La curée 112 – 115 - Fou génial - Ridicule -> un nain - Il décrit Paris comme un champ de bataille, comme une bête, un monstre, un être humain -> personnification, mythique, écriture épique - Saccard très violent - Descriptions de la réalité -> projets d’Haussmann -> passage historique - Pièces de vingt francs qui tombent du ciel -> le merveilleux, métaphorique, attention aux couleurs, à l’esthétique picturale -> rivalise avec la peinture impressionniste - Il défit Paris - Il traite sa

lui une souffrance (étranglé). 2. Métaphore : Chevaux du temps. L’auteur parle de la course avec le temps, image des chevaux qui galopent avec grâce, le temps qui s’en va, la vieillesse qui nous emmène à la mortalité (sang). 3. Personnification : « la Lune, regarda », verbe employé pour les êtres vivants. Il s’agit de l’influence de la Lune sur les pleurs du bébé. 3/ La figure de style utilisée pour désigner les animaux est la métaphore.  « Bêtes », « ça », et « c’était » désignent

maître qu’il allait maintenant, toujours avoir l’aide du lion parce qu’il venait de le sauver. 1.2 Personnification «Le lion se conduit avec noblesse et franchise» (p.65, l. 1772-1773) Explication : L’auteur a utilisé la personnification pour prouver à quel point le lion était reconnaissant et qu’il voulait démontrer son humilité face à Yvain. C’est pourquoi c’est une personnification, car un animal ne peut être noble et franc, mais dans cet extrait, le lion rend grâce à Yvain, alors à l’aide

vision : « je vis » (l.13) « regard » (l.14) annonce une nouvelle naissance confrontée à une révélation brutale. Cette naissance introduit alors l’apparition du double ténébreux, Lorenzaccio, suivie de la révélation de sa misanthropie. La personnification de l’Humanité en catin : « l’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un adepte digne d’elle, sa monstrueuse nudité » (l.14-15) est une déception brusque. Alors que Lorenzo persévère dans sa recherche de gens honnêtes, il finit déçu et

l'expression exacte. les économiquement faibles (les pauvres) Comparer : les figures analogiques La comparaison : que, comme La métaphore : On emploie un mot pour désigner une réalité qu'il ne représente pas habituellement. La personnification : La personnification prête à des inanimés ou des animaux des comportements ou des sentiments humains.

lexical de la déshumanisation, comparaison à un laboratoire, images des hommes mis a nus, champs lexical de la pluie (2) point de vue idéologique, dénoncé le taylorisme/fordisme (3) champ lexical de la souffrance figure de style : personnification : « les grands bâtiments trapus et ... » → hypallage, l’Usine Ford est comparé a un monstre bouffeur d'Hommes : dimension mythologique Impressions de répétitivité : accumulation verbales et asyndète. « marine mécanique » → pléonasme (valeur

abattoirs de la misère, l'essaim de mes désirs) avec l'apposition (Londres, capitale du Royaume-Uni / Bergère, ô Tour Eiffel.) → LA PERSONNIFICATION : C’est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal ou à un être inanimé, ex : « Venise pour le bal s’habille » (Musset) → L’ALLÉGORIE : Proche de la personnification, elle consiste à représenter une idée abstraite sous forme concrète, ex : la mort représentée sous les traits d’un squelette armé d’une faux

Amours » à des femmes comme Cassandre et Marie Stuart. Dans ce poème régulier, du à sa ponctuation, nous trouvons ces thèmes dans l’ordre : la nature (printemps, chevreuil), le printemps (promenade), la menace (intrépide), utilisation du « je » (personnification). Tout d’abord, dans la première strophe, le chevreuil qui est le comparant, désigne un amour et une fragilité. C’est un amour incarné dans un animal c’est donc l’amour modeste, l’amour platonique des troubadours comme Guillaume d’Aquitaine

Rodrigue accepte malgré lui. Il se plie à son destin, en acceptant la perte de Chimère, dont la mort est inévitable. Puis, Rodrigue se libère du mieux qu’il peut de ses sentiments négatifs. La personnification « N’écoutons plus ce penser suborneur, qui ne sert qu’à ma peine» (v.50-51) Cette personnification redonne vie à ses pensées trompeuses qui le rendent malheureux et qu’il veut absolument fuir. Également, la phrase courte «Ne soyons plus en peine» (v.61) Rodrigue n’en peut plus de ressentir de

précisément une personnification du colonialisme (système politique préconisant la mise en valeur et l’exploitation de territoire dans l’intérêt du pays colonisateur). Les colonisés sont situés dans des zones d’ombres, à l’inverse les colonisateurs sont mis en valeur dans des zones éclairées. L’image est un photomontage car les images sont superposées. Conclusion : Dans ce photomontage le colonialisme est dénoncé à l’aide de figure de style comme la métaphore et la personnification. Lajos