Personnification

deux termes sans outil comparatif. idem La métaphore filée consiste à prolonger la métaphore au moyen de termes appartenant au même champ lexical. La personnification donne des caractéristiques humaines à un objet, un animal. pour le rendre vivant et donc rassurant ou amusant ou inquiétant. La prosopopée cas particulier de personnification qui consiste à prêter la parole à un être inanimé, à une abstraction, à des disparus, à un être vivant. idem L'allégorie représente de manière imagée, concrète

Figures de style : – J’étais froid comme le marbre (comparaison) – Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) – Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) – L’automne souriait… (personnification) – France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) – Je voudrais un camenbert et un chèvre (métonymie) – Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) – Le Roi Soleil (périphrase)

suivant : « Ou ce matin ou ce soir, Victime de l’Orque noir ».Dans cette citation, nous pouvons observer une antithèse dans le premier ver et une personnification dans le second. En utilisant cette antithèse « Ou ce matin ou ce soir», il nous fait comprendre que la mort est imprévisible et qu’elle peut arriver à n’importe quel moment. L’usage de la personnification «Victime de l’Orque noir » transforme la mort en un adversaire plus tangible. Nous pouvons aussi observer cela dans la dernière strophe : «Ores

éléments sont rapprochés avec un mot outil de comparaison. | Ce jeune garçon est beau commeun Apollon. | Métaphore | Une comparaison implicite, sans outil de comparaison. | Les jeunes filles caquettent au fon de la classe. | Personnification | On prête des comportements humains à une chose ou une animal. | Les arbres gémissent au vent. | Allégorie | On rend une idée abstraite. | La mort -> la faucheuse. | | Hypallage | Consiste à attribuer

de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux. Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi Elles sont très nombreuses dans les fables, il s’agit en fait de personnifications. La métonymie : C’est l’emploi d’un nom pour un autre : les planches pour dire la scène Elle désigne le contenu par le contenant : Boire un Verre. C’est l’œuvre par son auteur : c’est un Proust Il y a donc trois sens possibles de

Garonne. 1e idée principale : L’inondation de la Garonne déclenche entre les membres de la famille du père Roubieu et la rivière. 1 idée secondaire : Ensuite, il explique comment la Garonne attaque la famille. Comparaison : (L.523) - Personnification : (L.528) - Personnification : (L.563) Champ lexical d’attaqué : attaque (L.523), battait (L.563), attaques plus rudes (L.531) 2e idée secondaire : Les membres de la famille se défendent contre les attaques physiques de la garonne. Métaphore : (L.539) - Métaphore :

Lamartine semble conférer une certaine supériorité à la nature toute-puissante. C’est du moins l’impression qui émane de ses propos lorsqu’il dit : « Ô lac! rochers muets […] / vous que le temps épargne et qu’il peut rajeunir. » (l.49-50) La personnification de divers éléments de la nature reflète déjà le profond respect voué à celle-ci, ce à quoi s’ajoute une certaine jalousie envers cette nature forte, immuable, moins susceptible que l’homme, tout petit. Cela montre une admiration face à la nature

فاسد، جثة corrigé: 1. Un pigeon disait des mots si jolis (personnification) 2. A dix ans, on est presque un homme. A dix ans on parcourt tout seul le quartier (anaphore) 3. ....pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau ! (répétition) 4. Ma mémoire était une cire fraiche (métaphore) 5. Pour y renaitre, il fallait d’abord mourir (antithèse) 6. La bouilloire chantait (personnification) 7. Que t’arrive-t-il, chien galeux (métaphore) 8. J’attendais

et à leur tirer sur le reste du corps une pluie de traits, puis à les pendre. » (l.20 et 21) Il y a deux procédés ici. Le premier étant la répétition des conjonctions « puis », « et » pour créer un effet d’accumulation. Le deuxième étant une personnification, car on ne peut tirer sur quelqu'un une pluie de traits. C’était pour exprimer qu’ils leur tiraient sur le corps une infinité de fois. En deuxième lieu, Montaigne nous explique son point de vue sur cette mort infligée : « Je pense qu’il y a plus

d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c’est la représentation d’une chose ou d’un animal sous une forme humaine. (c’est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes. L’antithèse : deux mots ou expressions s’opposent