Persuasion

d'experience appuyé sur ce qu'il a pu observer ou entendre. Dans le texte A, la persuasion est au coeur du sujet ; elle repose sur une strategie de seduction et le recourt aux sentiments. Pascal dit que “l'art de persuader consiste autant en celui d'agréer qu'en celui de convaincre, tant les hommes se gouvernent plus par copie que par raison” . Il nous montre que n'importe qui peu convaincre si il maitrise l'art de la persuasion. Dans sa préface, Meyer pense que la rethorique est utilisée dans un texte

transmettre un enseignement tout en divertissant leurs lecteurs. On se demandera en quoi les oeuvres à caractère argumentatif cherchent à la fois à plaire et à instruire. Nous verrons qu’elles parviennent favorablement à faire passer un message et que la persuasion ainsi que l’argumentation indirecte sont plus efficaces que l’argumentation directe et le raisonnement. Pour commencer, les oeuvres plaisantes et instructives à la fois parviennent bien à faire passer un message. Elles sont tout d’abord

précaution oratoires : «j'ai seulement aperçu», «je sais seulement» Il utilise des apostrophes «oui, Rieux». Il implique l'interlocuteur avec une force de persuasion. On observe cette force de persuasion aussi dans le jeu des répétitions très nombreuses : «peste»/«pestiféré», «fatigue»/«fatigué»/«fatiguant» Puis une force de persuasion encore dans les marques d'expressivité (phrase exclamative). II) Une expérience individuelle qui prend un valeur universelle a) les marques de la généralisation

d'expérience, souvent fondés sur l'observation ont la solidité du constat - les arguments d'autorité s'appuient sur des références (littéraires, religieuses...) valorisées et jugées incontestables dans telle ou telle culture. b. La stratégie de persuasion : - L'engagement direct du locuteur est repérable par les marques d'énonciation personnelle (présence de la 1ère personne), les marques de jugement et de sentiment (modalisateurs, connotations, ponctuation expressive), le ton (affirmatif, cassant

des cibles. C’est à dire que le destinataire doit trouver une cohérence entre l’acte et sa personnalité, un bénéfice pour son image au regard de la société. Bien que l’autorité ai fait ses preuves dans certains domaines en tant qu’élément de persuasion, la communication engageante puise sa force dans le libre arbitre de chacun pour aboutir à un acte librement consenti. Le passage à l’acte : L’efficacité d’une campagne dépend en partie du degré d’implication du sujet à l ‘égard du thème abordé

valeurs religion → RELIGION = complice de l'infâmie • Lignes 16-17 = justification de la guerre (guerre = assassinat collectif) dénoncée par V. (il s'agit de la loi du + fort, soldats tuent civils) C) Le réalisme et le pathétique au service de la persuasion REALISME : • Avancée dans l'horreur : « canon » → « mousqueterie » → « baillonette » (gradation : combat à distance → combat au corps a corps) • Référence aux victimes civiles : « cervelles répandues », « bras et jambes coupés » (= termes

génocide de plus de cinq millions de juifs, a fait usage de la rhétorique dans le dessein de persuader son peuple que le nazisme était la solution aux problèmes des Allemands à cette époque. En effet, en faisant appel à son éloquence et à son talent de persuasion, il a su convaincre son peuple d’exterminer plus de cinq millions d’êtres humains. L’usage de la rhétorique dans la société démocratique québécoise est-il positif? D’abord, il est important de définir la rhétorique. Selon un philosophe du nom de

La spécificité du pouvoir Le pouvoir est une relation sociale qui repose sur une inégalité entre celui qui exerce le pouvoir et celui qui est soumis. La soumission et l’obéissance disposent de différentes ressources allant de la violence à la persuasion. La contrainte n’est pas un critère suffisant pour que l’on parle d’une relation de pouvoir. A- Le pouvoir comme régulation sociale La relation de pouvoir repose sur l’obéissance qui s'exerce avec deux moyens qui sont la violence et le consentement

Alors que la démarche de conviction repose d’abord sur l’usage du raisonnement, sur les ressources de la logique et de la raison, la persuasion pratique la suggestion, la séduction. Elle utilise les ressources de la rhétorique et peut aussi se présenter sous un aspect non argumentatif (récit, apologue, etc.) et constituer une argumentation indirecte, biaise. La persuasion n’est plus partage de raisons mais confirmation de ses propres raisons. 3. Argumenter/délibérer Les opinions humaines étant

manières peut-on être efficace pour défendre une cause, un point de vue ? Pour répondre à cette question, nous étudierons les moyens ( logiques et rationnels ) qui permettent de convaincre un lecteur ou un interlocuteur, puis ce qui relève de la persuasion en faisant appel aux émotions. Pour parler de l'altérité, l'utilisation d'arguments rationnels, comme l'argument d'autorité et le contre exemple peut être judicieuse. L'argument d'autorité, qui consiste à la référence d'un personnage ou d'un