Pessimisme De Zola

juillet 1893 à Paris. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la

bourgeoisie dont l’auteur dresse un portrait féroce puisqu’elle incarne à ses yeux l’esprit de l’époque , dominé par la volonté de réussite , l’égoïsme et le conformisme.. Ces personnages offrent un piètre panorama de l’humanité , dénonçant le pessimisme de Flaubert qui naît de l’amère conviction que la vie terrestre n’a ni sens ni but et qu’elle est une « triste plaisanterie » . L’art seul peut consoler .L’unique mission de l’artiste, c’est de créer la beauté ( c’est une forme d’idolâtrie de la

grièvement blessé à l'épaule droite. Il sera décoré de la Croix de guerre avec étoile d'argent, ce qui lui conférera la Médaille militaire, le 24 novembre 1914. L'expérience de la guerre jouera un rôle décisif dans la formation de son pacifisme et de son pessimisme. Rencontre importante qui complète sa formation intellectuelle : il travaille en 1917-1918 auprès du savant-inventeur-journaliste-conférencier Henry de Graffigny. Embauchés ensemble par la mission Rockefeller, ils parcourent la Bretagne en 1918 pour

jusque là pas été l’objet de la littérature : les ouvriers. Les naturalistes, dont Zola est le chef de file, se réclament d’une démarche scientifique et expérimentale. L’esthétique est la même que celle du réalisme, mais, en plus, l’homme est considéré comme déterminé par son milieu social. L’écriture est soutenue par un gros travail de documentation. Comme pour le réalisme, le naturalisme s’exprime dans le roman. Zola dans son Roman expérimental en explique les enjeux. Maupassant définit sa conception

terme « réalisme » désigne la volonté de reproduire la nature sans idéal, de décrire la réalité telle qu'elle est, en refusant les invraisemblances du romantisme. Le courant littéraire du réalisme s'épanouit dans la seconde moitié du XIXe siècle et prend, avec Emile Zola, à partir de 1868, une forme plus radicale avec le naturalisme. 1. Les fondements du réalisme et du naturalisme Le réalisme prend sa source dans une double volonté de rupture, avec la société bourgeoise du Second Empire et avec la littérature en

aiguës sur le chemin d’un nerf) Alors qu'il commence des études de Droit, la guerre de 1870 éclate et il est muté dans les services d'Intendance. La guerre terminée, il publie ses premières nouvelles dans les journaux et se lie d'amitié avec Flaubert, Zola et Goncourt. Profondément marqué par l’influence de Flaubert. Influence qui se retrouve dans de nombreux passages d’une vie, Maupassant entame, au début des année 1880, une brève carrière d’écrivain a succès avec Boulle de suif, son premier roman,

ZOLA - ''La bête humaine''www.comptoirlitteraire.comprésente ‘ ’La bête humaine’’(1890roman d’Émile ZOLA (340 pages)pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 7) l’intérêt de l’action (page 7)l’intérêt littéraire (page 8)l’intérêt documentaire (page 8) l’intérêt psychologique (page 9)l’intérêt philosophique (page 11)la destinée de l’œuvre (page 11) Bonne lecture !Résumé Chapitre IRoubaud, sous-chef de la gare du Havre, en déplacement

parnassien :ceux-ci sont accusés de ne proposer qu'une vision mécaniste de l'homme et de l'univers, enclose dans une description objective. C'est au contraire à la suggestion que s'attacheront ces jeunes poètes qui partagent encore du Romantisme le pessimisme désabusé : Charles Cros, René Ghil, Jules Laforgue qui s'appelleront d'abord Décadents, pour saluer Verlaine, qui affectionnait ce mot, leur figure de proue, puis accepteront d'être fédérés sous la bannière du Symbolisme. Ce mot est proposé par

des personnages ordinaires voire médiocres ou des situations triviales souvent tirées de faits réels. Il –donne des descriptions avec beaucoup de détails. L’évocation des classes sociales plus basses a souvent valu aux réalistes des accusations de pessimisme et d’immoralité. Il y a par exemple : le procès intenté à Gustave Flaubert pour Madame Bovary. Les textes idéalistes doivent faire preuve d’objectivité, c’est pourquoi, les auteurs ont recours à des recherches documentaires fructueuses et des

ASSOCIATION DES PROFESSEURS DE LETTRES L’Assommoir d’Émile Zola : prototype du roman « noir » urbain. Par Guy Talon (Toutes les citations extraites des Rougon-Macquart renvoient à l’édition du Livre de Poche et, en particulier à L’Assommoir, 534 p. avec une préface de Cavanna, des notes et des commentaires d’Auguste Dezalay.) L’Assommoir, roman du destin annoncé dès sa préface (« J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière dans le milieu empesté de nos faubourgs »), du destin