Pessimisme

hussard nommé Angelo Pardi, durant une épidémie de choléra. Cette œuvre représente l’égoïsme et la lâcheté humaine ainsi que l’exact opposé qui est le dévouement d’Angelo, qui s’apparente à un héros. En quoi le spectacle de la mort révèle-t-il le pessimisme du narrateur à travers un passage apocalyptique? Nous étudierons dans un premier temps le tableau apocalyptique présenté dans ce texte puis nous analyserons la représentation de l’homme et de son âme. I-Tableau apocalyptique a) Vision proche de

mariajesu@gmail.com Résumé Dans l’itinéraire poétique d’Emile Verhaeren, “Le Passeur d’eau”, ainsi que la série des Villages illusoires, apparaissent à bien des égards comme des poèmes de transition, entre la première “Trilogie noire” toute empreinte du pessimisme schopenhauerien, et la nouvelle E(s)th(ét)ique “sociale” ouverte par les Campagnes hallucinées. Nous nous proposons dans cet article de mettre en évidence comment la thématique de l’eau – transversale dans l’oeuvre verhaerenienne – associée à

progrès du savoir entrainait inévitablement des progrès dans l’ordre des vertus sociales. C’est l’idée que l’homme s’améliore, progresse. Cette idée vient buter contre la thèse de la permanence humaine. Surtout si on met l’accent sur un certain pessimisme à propos de cette nature humaine. Si on s’en tient à un philosophe comme Obs « L’homme est un loup pour l’homme ». Les hommes sont mauvais et le resteront toujours. L’idée de progrès signifie une temporalité méliorative (demain sera meilleur). Ce

prostituée (Boule de suif, Mademoiselle Fifi, La Maison Tellier, etc.). Le thème de la famille et de l’enfant lui est également cher avec souvent la question de la paternité (Pierre et Jean, Boitelle, Aux champs, L’Enfant , En famille, etc.). Son pessimisme : Dans Le Désespoir philosophique, Maupassant va plus loin encore que Flaubert qui, lui, gardait la foi dans son art. Disciple de Schopenhauer, « le plus grand saccageur de rêves qui ait passé sur terre »60, il s'en prend à tout ce qui peut inspirer

revient jamais à l'amour qui passe et qui ne renaît jamais. Le dernier vers du quatrain vers 22 reprend le 1er vers du poème « Sous le pont Mirabeau coule la Seine » et cela donne l'impression que la boucle est bouclée. Le dernier quatrain exprime le pessimisme du poète qui perçoit la vie et le temps comme deux choses qui ont forcément une fin. La répétition du « Ni » renforce l'impression négative. « Ni temps passé » « Ni les amours reviennent » vers 20 et 21. Le refrain est très sombre et évoque la

et la perfection de l'Eldorado. 3) Martin reste pessimiste "Travaillons sans raisonner" Martin n'a pas évolué par rapport au milieu du roman il conserve les même valeurs; Il est complètement résigné et borné. Il est tombé dans un pessimisme radical et un certain fatalisme Mais Candide échappe à ce négativisme. II "Un louable dessein" 1) Répartir les taches Candide et sa petite "famille" prônent l'action car c'est le concret qui fait épanouir l'homme "Chacun se mit à exercer ses

d’écouter une histoire moyennant un bonbon/dragée, puis reste tapi dans sa poubelle à « sucer » son biscuit. Il pleure. « Donc il vit », commente Hamm, parodiant le cogito cartésien. Pleurer, souffrir, c’est vivre. Equation qui tient en respect le pessimisme sous-jacent et met à nu la vérité triviale de l’existence. « Le matin on vous stimule, le soir on vous stupéfie », affirme Hamm à propos du calmant et du remontant que Clov est censé lui donner (40), soulignant la mécanique que sa propre souffrance

intéressantes. Tout au long de l’aventure nous retrouvons la quête d’un frère perdu, nous pouvons aussi voire une évolution des personnages à travers le parcours. La question à se poser à la toute fin du roman est si celui-ci nous présente un fin pessimisme? Malgré le dénouement final qui choc Jack, sa partenaire et lui ont tout de même vécu une aventure avec une évolution psychologique positive. Tout d’abord, le roman Volkswagen blues, nous présente une fin pessimiste. La vraie aventure et la

de La Rochefoucauld est l’œuvre d’un esprit très pénétrant qui paraît systématiquement occupé à une considération exclusive des aspects négatifs de la nature humaine, qui lui ont valu la qualification de philosophe de l’amour-propre, c’est que le pessimisme dont il est imprégné doit beaucoup à la doctrine de Port-Royal qui a marqué la littérature de l’époque classique. La dénonciation de la vanité humaine, la réfutation du libre arbitre, la mise à nu de la faiblesse de l’être et des feintes dont il

dans la croyance de deux forces, le bien et le mal. Aucune évolution, il reste dans le pessimisme. 3-Liens et Oppositions Martin et Pangloss s'opossent complètement dans leurs théorie. Les deux discours de Pangloss et Martin ressemble fort à une structure de dissertation littéraire. La thèse de base de Pangloss, l'optimisme se voit réfuter tout au long du récit puis une antithèse apparaît, celle du pessimisme de Martin. Finalement c'est une sorte de synthèse qui apparaît au chapitre 30 par la