Pessimisme

L'optimisme Optimisme. - Conception de la vie et de l'univers d'après laquelle tout est bien, ou au moins tout est le mieux possible; s'oppose à pessimisme. On peut distinguer deux variétés d'optimisme, l'un tout instinctif et sentimental, l'autre systématique et philosophique. L'état d'esprit des humains satisfaits de leur sort, contents de tout, prenant tout par le bon côté, de même que l'état d'esprit inverse, tiennent évidemment, ou bien à des causes particulières et accidentelles, ou bien

talents. Citations : «Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.» « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes » Conclusion : * La leçon que l’on peut tirer de ce livre est peut-être que ni le pessimisme de Martin (Pascal), ni l’optimisme de Pangloss (Leibtniz) ne mène à quelque chose. Il ne faut pas non plus finir comme le bon Jacques. La fin de ce livre nous dit qu’il vaut mieux nous retirer dans notre jardin et trouver notre propre harmonie sans

par sa femme, battu par son fils, et abandonné de sa fille… » porte sur le monde, contrairement à Pangloss, un regard sans espoir, ni illusion. Il est en un mot pessimiste, puisqu’il pense que le Mal s’impose sur le Bien. Mais Martin évolue : son pessimisme radical se transforme, au contact de Candide, qu’il va suivre fidèlement jusqu’en Propontide, en un scepticisme pragmatique : n’affirme-t-il pas au Cours : Candide : Les personnages suivre fidèlement jusqu’en Propontide, en un scepticisme

et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à une décennie — de 1880 à 1890 — avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure peu avant ses quarante-trois ans

Tellement que ce roman peut-être considéré, aujourd’hui, encore d’actualité. Maupassant partage une vision pessimiste du monde, que je rejoins néanmoins sur pas mal points c’est pourquoi ce fut d’autant plus un plaisir de livre ce livre, qui malgré son pessimisme, reste très amusant à lire. Je ne trouve donc rien de négatifs à dire à propose de ce chef-d’œuvre de la littérature française qui aura eu le mérite de changer ma vision de la littérature du 19è siècle, qui est bien plus intéressante que je ne

| |Contexte personnel |Vie |-Guy de Maupassant (1850- 1893), né en Normandie. | | | |-Influence du pessimisme de Schopenhauer. | | |Thématique |-Employé au ministère de l’Instruction publique de 1878 à 1880. | | |de l’œuvre

collaboration, ni pour la résistance. Ce non-engagement lui sera reproché. À la Libération, Anouilh continue d'écrire en alternant pièces "noires", "roses", "brillantes", "grinçantes", "costumées", "secrètes" et "farceuses", suivant leur degré de pessimisme, de férocité et d’hypocrisie. Il obtient de nombreux succès. Dont L'Invitation au château (1947), L'Alouette (1952), Pauvre Bitos ou le dîner de têtes (1956), Beckett ou l'honneur de Dieu (1959). En 1961, il connaît un échec avec La Grotte .

prend sens que très tardivement. Tout d’abord, nous pouvons dire que les deux œuvres donnent un sens plutôt fataliste, pessimiste au titre du roman. En effet, rien qu’en lisant le titre du roman, au premier regard, on se rend compte du pessimisme que dégage le sens du titre. Effectivement, le titre « Tous les matins du monde » évoque le commencement d’une nouvelle journée, le renouveau or le commencement mène toujours à une fin, par extension, le commencement mène à la mort. Le temps

L’homme est seul, seul face à ses actes, seul devant la mort : Winnie est seule prise dans le mamelon, dans sa fatale agonie. Cette solitude est symbolisé par « l’herbe brûlée » qui renvoie au désert. L’existence tournée à l’absurde témoigne d’un pessimisme caché. L’Homme symbolisé par Winnie peut ainsi être comparé à un automate, répétant inlassablement la même gesticulation. Celle-ci continue son inventaire du quotidien, soliloquant pour remplir sa solitude. Dans une vaine tentative pour

aujourd'hui ? Le conflit entre le peuple et le pouvoir n'est-il pas moderne ? Cette pièce traverse non seulement les époques, mais aussi les lieux. Elle est censée se dérouler à la cour d'Espagne mais elle s'applique très bien en France par exemple. Le pessimisme peut également se noter à travers le drame : Don Salluste, Don César, Ruy Blas meurent. La reine court vers la déchéance. Dans cette pièce se trouve également de nombreuses scènes de soumissions où l'on observe la différence nette entre un noble