Pessimisme

mes capacités communes, je ne vois pas comment je vais surmonter ça. » Emilie - 14 ans, Paris En fait si les adultes s’angoissent, les adolescents, rationnels et pragmatiques, refusent de trop s’en faire. Plus embêtant, ils semblent prendre le pessimisme et les craintes de leurs parents, les conseils ou commentaires des professeurs comme un manque de confiance dans leur capacité à mener à bien leur projet. Ils se confondent parfois avec l’avenir. « Si l’avenir c’est nous, alors si les adultes doutent

Candide ou de l'optimisme. A travers celui-ci, Voltaire confronte trois pensées que tout opposent : d’un côté l’optimisme représentée par le savant Pangloss qui soutient le fait qu’on vit dans le « meilleur des mondes possibles », d’un autre, le pessimisme incarné par Martin et enfin, la candeur, naïveté par Candide : « soutenir que tout est bien quand on est mal ». 4) Les personnages Candide est le personnage principal du récit. C’est un éponyme, en effet, Voltaire a donné son nom à son œuvre

années à sa vie, mais plutôt essayer de rajouter de la vie à ses années."  "Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve. "Les joyeux guérissent toujours." Avec nos pensées, nous créons le monde." Si le pessimisme est d'humeur, l'optimisme est de volonté."  "Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre. "Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre. "Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme

ses désirs, ce qui supposerait tout de même que le seul désir de ne plus en avoir aurait beaucoup d’importance. « La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance et l’ennui. » Cette citation montre réellement le pessimisme de Schopenhauer. Elle pose la question de la vie, de l’homme. Comment peut-on vouloir vivre alors que la vie n’a qu’à nous offrir de la souffrance ou de l’ennui qui est encore pire que la souffrance initiale que nous ressentons ? L’ennui serait

métamorphoses le drame métaphysique de Macbeth » [2]. Ce monde à la composition graphique prononcée, peuplé de soldats mutiques qui arborent de lourds casques d’aciers et brandissent de démentes lances-croix longilignes, symbolise l’architecture du pessimisme shakespearien dont Welles a imbibé son œuvre : « Shakespeare était terriblement pessimiste, explique-t-il. Mais comme beaucoup de pessimistes, c’était aussi un idéaliste. Seuls les optimistes sont incapables de comprendre ce que signifie aimer un

volonté toujours exigeante (fordernden), sous quelque forme qu’elle se manifeste (gleichviel in welcher Gestalt), emplit et trouble (bewegt) sans cesse la conscience8. Un tel texte nous livre le sens de ce que Schopenhauer a lui-même appelé son pessimisme : le désir est incapable d’être satisfait ; or il constitue l’essence du monde. La première affirmation semble reposer sur l’opposition classique, récusée par Deleuze et Guattari, entre besoin et désir. Contrairement au désir, le besoin peut être

la Nature, pas de place pour l’Homme dans ce monde cela montre du pessimisme. Le titre du recueil L'Espace du dedans montre l'introspection du poète. Le mot «dedans», vers 7 montre un paysage intérieur, c'est la mise en mots et en images de sensations, d’émotions et de réflexions. Le poète est perdu (vision floue due à l’omniprésence des nuages ; question rhétorique, existentielle du vers 23), désespéré (ton général pessimisme, notamment v. 1 et derniers vers ; champ lexical du désespoir, termes

cette interjection et les guillemets qui l’entourent sont destinés à faire éprouver au lecteur la situation réelle d’un médecin face à un mourant. Malgré l’absurde de la mort, Rieux lutte toujours « je ne suis toujours pas habitué à voir mourir » : pessimisme de la raison mais optimisme de la volonté ce qui correspond à la philosophie de l’existence de Camus. II. Comment Rieux développe une pensée athéiste : Le syllogisme « mais puisque l’ordre de monde est réglé par la mort, peut-être vaut-il

rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. » (p. 253). Une fois de plus le héro est dans une situation de désespoir et d’agonie, cela même aux côtés de Molly qui l’aime. Dans chaque passage du livre, le pessimisme de Céline est présent, l’agonie ne nous quitte donc pas et fini par faire succomber, tôt ou tard, tous ceux qui lui ont résisté. Pour conclure, nous pouvons déclarer, à juste titre, que l’agonie est le sentiment le plus important tout au long

» Pessimiste aussi sur les valeurs de l'homme « tout le monde en fait autant », « j'attendais toujours ». La tirade de Lorenzo s'achève sur « noces » : jour où il tuera le duc. Mais il hésite à cause de la remise en question de ses valeurs.Le pessimisme de Lorenzo s’oppose à l’optimisme de Philippe (« je crois à la vertu, à la pudeur et à la liberté », « si tu n’as vu que le mal, […]  je ne puis te croire », « pas sans le bien »). Philippe, idéaliste, croit au bien et au mal. Lorenzo porte un regard