Petit Livre rouge

grâce à une morale, tout simplement, comme le dit La Fontaine, ses fables ont pour but de « plaire » et «  d’instruire ». Et il vrai, que n’importe qui prendra plaisir à lire, ou à se faire conter Le Lièvre et la Tortue de La Fontaine ou encore Le Petit Poucet de Charles Perrault, qu’il soit enfant, adolescent ou adulte. De plus, l’auteur avec un récit plaisant nous mène à une vraie réflexion philosophique. Mais qu’est-ce qui peut bien susciter le plaisir et l’intérêt chez le lecteur ? Dans un premier

morale plus ouverte contenant d'autres morales. Ainsi, un apologue dont la morale reste non exprimée pourra contenir plusieurs pistes d'interprétations. Par exemple dans Candide de Voltaire, Candide refuse de rester en El Dorado. Puis, à la fin du livre, il trouve une vie heureuse en travaillant. Il y a donc deux morales qui sont que les utopies comme l'El Dorado ne sont pas faites pour l'homme et que le travail est une vertu mais celle-ci ne sont en faites qu'une seule qui est qu'il ne sert à rien

ressembler à raconter les mêmes contes, les mêmes histoires pour enfants. Une question s’est donc au début imposée à mon esprit. Il est vrai que raconter « Le Petit Chaperon Rouge », ou « La Belle au Bois Dormant » à des enfants est quelque chose que nous pouvons faire de manière naturelle, bien souvent, il n’est même pas utile de se munir d’un livre, nous connaissons déjà l’histoire par cœur, et si des variantes existent, nous arrangeons l’histoire comme nous le voulons. Lire de nombreuses réécritures

ces contes dont le succès ne se dément pas. Tandis qu’Olivier Py explore l’univers des frères Grimm (La Jeune Fille, le diable et le moulin, 2006 1 ; L’Eau de la vie, 2000 ; La Vraie Fiancée, 2008 2), Joël Pommerat s’attache à Perrault (Le Petit Chaperon rouge, 2004 ; Cendrillon, 2011), ou à Carlo Collodi (Pinocchio, 2008 3). Jean-Michel Rabeux affirme, lui aussi, son attachement à Charles Perrault, en jetant son dévolu, après La Barbe bleue en 2010, sur… Peau d’âne. Il le fait à sa manière, drôle

Texte 3 des Misérables Introduction : Victor Hugo commence la rédaction des Misérables dans les années 1840 en France, sous le titre « les Misères ». Entre 1860 et 1862 en exil il reprend et amplifie son livre et donne à J.V une vrai dimension symbolique et spirituel. Dans cet extrait J.V qui a promit à Fantine de récupérer sa fille se rend chez les Thénardiers le soir de Noël. Il rencontre Cosette dans la forêt alors que celle ci est partie effrayée chercher de l'eau. Cette rencontre est déterminante

l’inconscient peuvent comprendre . Aussi , tout en divertissant l’enfant , il l’éclaire sur lui-même et favorise le développement de sa personnalité . Il enrichit tellement la vie de l’enfant avec toutes ces différentes significations qu’aucun autre livre peut égaler les contes de fées . En effet si ils ont de tels impacts psychologiques sur l’enfant c’est parce que le conte de fée est une véritable œuvre d’art qui est totalement comprise par ce dernier. D’ailleurs comme toute œuvre d’art , le conte

en raison du coût du support, de ralentir la production des illustrations, limitées désormais aux enluminures destinées au clergé ou à la noblesse. 2- Y a-t-il des types d’illustration ? [pic] Gustave Doré "Le petit chaperon rouge" 1867 [pic]  Dessin de Pancho pour le Canard Enchaîné du 1er octobre 2008 [pic] Illustration technique Site :asc-csa.gc.ca L’illustration publicitaire

universels tel que la guerre, l’intolérance, et l’autorité. Elle peut se présenter sous plusieurs différentes formes littéraires. L’argumentation explicite est présente notamment dans les essais et les dialogues. En effet, dans les Essais extraits du livre III de Montaigne, l’auteur veut nous faire partager ses sentiments, c'est-à-dire son admiration pour les Indiens, puis ses regrets et enfin son mécontentement envers les Européens. Il veut nous faire adhérer à sa critique à travers un registre polémique

« les contes de Perrault : Le plaisir de confronter le merveilleux au vraisemblable » M. Escola Le merveilleux pour affronter la réalité ! « Les contes de ma Mère l’Oye » est un recueil de contes écrit par Charles Perrault. A travers ce livre, l’auteur nous plonge dans onze contes plus merveilleux les uns que les autres. Ces contes sont pour une grande majorité populaire, car accessible à tous. Aussi, ils aident souvent à l’éducation des enfants par leurs nombreuses morales. Le terme de « merveilleux

burlesques le sixième livre de l'Énéide et écrivit les Murs de Troie ou l’Origine du burlesque. Reçu avocat en 1651 après avoir obtenu sa licence de droit, il s’inscrit au barreau mais, s’ennuyant bientôt de « traîner une robe dans le Palais », il entre en qualité de commis chez son frère qui était receveur général des finances. Bras droit de Colbert, il est chargé de la politique artistique et littéraire de Louis XIV en 1663 en tant que secrétaire de séance de la Petite Académie, puis en