Petite lèvre

externe de la partie antérieure du crâne de l'être humain. Il se structure autour de zones osseuses abritant plusieurs organes des sens ; il comprend notamment la peau, le menton, la bouche, les lèvres, le philtrum (fossette située au milieu de la lèvre supérieure), les dents, le nez, les joues, les yeux, les sourcils, le front, les cheveux et les oreilles. Notre visage comme tout notre corps s'est construit comme une sculpture au cours de notre vie ; né d'une interaction génétique avec celle de

que le statut social particulièrement élevé de Pierce Redfield l’empêchait de percevoir les choses simples du quotidien. Savait il combien coûtait un ticket de métro ? Certainement pas. — C’est Lawrence qui vous envoie ? Qui êtes-vous ? Une de ses petites amies ? La question, humiliante, avait été posée sur un ton délibérément sec. — Non, rétorqua-t elle, piquée au vif. J’aime à croire que je suis autre chose pour Lawrence. Le regard de l’homme d’affaires se fit soudain plus attentif. — Lawrence

frisa sa moustache d'un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il

l'exprimer. On parle d'un charisme acquis, lorsque la personne qui le possède l'a travaillé, et le travaille toujours. Par exemple, quelqu'un de timide peut très bien faire de grands efforts, et commencer, certes lentement, a parler en public. Petit a petit cette personne en prendra l'habitude et sera a l'aise, il lui suffira juste de faire attention a ce qu'elle va dire et les gens l'écouterons en étant de plus en plus attentive selon le sujet choisis. Donc, pour répondre a cette question nous

pas et se sentit entouré par une joyeuse cohorte d'hommes jeunes comme lui et résolus. Quelqu'un avança une bouteille. -Allez, amène-toi! De l'alcool coula dans sa boîte. -Assez! fit-il. Assez! Gardez-en pour vous. -T'en fais pas, petit frère! On a ce qu'il faut. Il sourit à tous ces hommes aux gestes fraternels et porta la boîte à ses lèvres. La vodka brûla son palais. Il fit un effort pour boire et ressentit aussitôt un immense bien-être dans tout son corps endolori. -Merci

J'évitais d'aller les voir. J'avais trop peur qu'ils me posent des questions sur ma vie loin d'eux. Je ne voulais pas qu'ils soient au courant. Ils se sentiraient coupables de ne pas pouvoir m'aider financièrement. Mon père était le shérif de la petite ville de Forks et ma mère était au foyer. Je n'avais jamais manqué de rien. Je ne portai pas beaucoup d'importance aux choses matérielles à vrai dire. C'est ce qui me différenciait de l'élite que je pouvais croiser sur le campus. "L'élite" c'est le

seul à la maison. Il coince le bouchon d’une petite bouteille de coca entre ses dents et la décapsule. Pour cela, il a du longtemps s’exercer mais cela en valait vraiment la peine : ce truc l’a rendu très populaire. Avec une grimace, il crache le bouchon direction la poubelle en papier. Il ricoche contre le bord, roule sur le sol, roule quelques centimètres plus loin et s’arrête au bord du tapis. Josse hausse les épaules avec indifférence et amène la petite bouteille à ses lèvres. Sa pomme d’Adam bouge

taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il

tournais pour voir Mme. Stanley et la femme du docteur Gerandy sortant de la pièce de devant avec le même sourire polit sur leurs deux visages. « Désolé pour ça, Bella. » dit Mme. Gerandy. « Je devrait pouvoir éclairer ceci avec juste un petit coup de fil. Tu peux attendre si tu veux. » Elle me signala une rangée de chaise en bois contre le mur. Disposées comme si elles appartenaient à une table de salle à manger. « Okay, » acceptais-je. Je marchais jusqu’aux chaises et m’assit

encore belle, portée dorénavant par les haillons de l'isolement. Elle serrait dans sa main gauche, un sac plastique vantant les mérites d’une enseigne vétuste, _Mammouth_ il me semble, et de sa poche droite, dépassait une touche de couleur, un petit papier rose qu'elle tapotait régulièrement. Le soleil lui déchirait les vertèbres, ses paupières paraissaient arrachées, aussi décida-t-elle de se protéger sous un abribus. Il n'y avait pas un bruit, pas de couleurs aux arbres, même le ciel