Pétrolier

choc pétrolier et la dissolution des utopies ; « soixante hurlades » faisait ranger les préoccupations écologiques dans le placard aux enfantillages se focalisait sur la croissance de l’économie dans la foulée d’une multiplication par quatre du prix du pétrole, les économies développée redécouvraient le chômage, qui s’installait comme premier impératif social. PENDANT PLUS DE DIX ANS, TOUT L’EFFORT POLITIQUE ET ECONOMIQUE JUGEE SEUL MOYENS DE COMBATTRE LE FLOT : LE DEUXIEME CHOC PETROLIER ; EN

l'augmentation des salaires permise par les progrès de la productivité. Le progrès social n'était plus seulement envisagé comme un coût pour l'économie. Mais le premier choc pétrolier (1973-1974) prédisposera aux chocs, crises et turbulences. Le ralentissement de la croissance 1975-1980 Après le premier choc pétrolier, malgré des reprises d'activités passagères, une montée irrésistible du chômage apparaît comme un phénomène de long terme faisant partie du tissu socio-économique et qui deviendra

que les NPI continuent de profiter de la croissance mondiale. Le premier choc pétrolier a lieu, puis le second en 1979. Ce sont les « Trente Piteuses ». Les pays se désindustrialisent et les usines se délocalisent. L’inflation dépasse les 10 % et les États n'arrivent pas à trouver une solution au problème du chômage de masse ; on parle de « stagflation ». Le système décline, le dérèglement monétaire et les chocs pétroliers fragilisent l’économie. Le taux de croissance retombe à 2%. Enfin, la croissance

en valeur et en volume. Cela signifie que l'inflation a été très forte. (argument) Le moment de la reconstruction (dans les années 50) a été marqué par de forts taux de croissance et également par une forte inflation et plus tard, par des chocs pétroliers (années 1970) où le prix du pétrole a fortement augmenté, entraînant une hausse des coûts de production des entreprises françaises et donc des prix de vente. (explication) Par exemple, entre 1950 et 1951, le PIB en valeur a augmenté de 26% alors

générés par un choc de demande négatif peuvent conduire à une déflation qui accroît les difficultés économiques et entraîne une dépression économique, accompagnée du développement du chômage de masse. Exemple d’un choc d’offre négatif : un choc pétrolier accroît les coûts de production. Par conséquent, les prix des biens dans l’économie augmentent : c’est l’inflation. De plus, les quantités échangées diminuent : c’est la récession économique. (DOC 2) II) Les chocs de demande peuvent conduire à

On s’intéresse sur l’élasticité de la demande par rapport au prix. En dix ans, le prix du pétrole brut est passé de 9 dollars le baril à 145 dollars en 2008. C’est le premier choc pétrolier, les agents ont dû réduire leur consommation et adopter des technologies plus économes en énergie. Après ce premier choc pétrolier, la demande est devenue élastique au prix. La variation du prix du pétrole est en sorte que la consommation réagit peu.

les « trente glorieuses » Fourastié (1979) - La crise était en germe, Lorenzi Pastré & Toledano (1980) La vérité est évidemment entre les deux … La crise est un enchaînement de déséquilibres dont certains préexistaient et enclenchée par un choc pétrolier. Trait marquant : le passage net d’une croissance positive à un PIB négatif pour les économies développées, alors que les anticipations de 1973 restaient positives. Ex : en France taux de chômage de 2,6 % Certaines analyses radicales estiment

énergie…). Cependant le premier choc pétrolier marque une cassure et annonce la crise : avant 1973, la croissance était plus forte et s’appuyait sur des gains de productivité beaucoup plus soutenus. Par la suite, le ralentissement de la productivité s’est transmis aux gains salariaux. Les chocs pétroliers de 1973 et 1979 creusent le déficit et ralentissent brutalement la croissance. Le taux de marge des entreprises a reculé sous l’impact de ces chocs pétroliers, plus rapidement dans l’industrie que

développement industriel rend les économies dépendantes face aux fluctuations des courbes du pétrole. Mais ce n’est en 1973 que s’arrêtent définitivement les trente glorieuses avec le premier choc pétrolier suivi par le second choc en 1979 du à la révolution iranienne et à la guerre Iran-Irak. Ces deux chocs pétroliers consécutifs ont ainsi entraîné la hausse les coûts du pétrole et donc l’augmentation des coûts de fabrication en général et par conséquent celle des prix, tout cela au moment même que la consommation

dette 18 milliards dollar= 20% exp dep de leurs imp agri « arme verte » des EU. Doit se fermer jusqu'à Gorbatchev. S'ouvre par volonté et pour technologie. Pense le système aménageable. Autorise commerce direct avec occident. 85 contre choc pétrolier : exp -50% et imp++ donc déficit ; doit attirer capitaux : ZES B- Désorganisation du système : perestroïka objectifs : pour 2000 X2 PMN et X2,5 productivité ; 86 réforme commerce ext 87 des entreprises coopératives