Pétrolier

développés dans les année 1970 et ont été un véritable échec qui a aggravé la stagflation. Les outils d'une politique de relance sont de trois ordres : Budgetaires, monétaires et règlementaires. La France dans la période qui a suivi le 1er choc pétrolier a connu 2 plans de relance importants. Le plein-emploi n’est pas atteint : on parle d’équilibre de sous-emploi. Lorsque cette demande est insuffisante, l’Etat doit intervenir avec : •la politique monétaire : baisse du taux d’intéret (c’est

années 70 des emploies industriels. III. Fluctuation et crises économiques. Comment expliquer les transformations de la population dans les pays développés depuis les années 1970 ? Dans les années 70, la crise économique est due aux chocs pétroliers (1974-1979). Les pays de l’OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétroles) augmente brusquement les tarifs et s’enrichissent considérablement, ex : Dubaï, Arabie Saoudite, Koweït.

glorieuses aux 30 piteuses A la fin de la 2nde guerre mondiale, l’économie reprend massivement donnant naissance à la consommation de masse. C’est une période euphorique dans un contexte de plein emploi. Les 30 années qui suivent le 1er choc pétrolier d’octobre 73 sont parfois baptisées 30 piteuses à cause d’un fort déclin économique. Ces 2 périodes véhiculent des valeurs bien différentes sur la consommation. II. Libération de la femme ? L’apparition des appareils électroménagers libère la

nombre limité de réservoirs, qui sont eux aussi limités. Nous savons également avec certitude que tôt ou tard la production de ces hydrocarbures va commencer à décroître. Même si cela reste difficile à savoir, le monde connaitra donc bientôt son pic pétrolier. Ce qui expliquerait donc les fluctuations des prix et les conflits sociaux et économiques au niveau mondial. En effet, la demande de pétrole ne fait qu’accroître, et tout indique qu’au niveau mondial l’offre suffit tout juste à répondre à la demande

Ainsi, le ralentissement de la croissance et la montée spectaculaire du chômage viennent enrayer cette grande croissance économique. La dépression de la fin du siècle, c'est ainsi qu'elle est surnommé s'ouvre par une crise inattendue. Et le choc pétrolier de 1973, suite à la guerre israélo-arabe du Kippour s'impose comme le signal de cette crise qui est en train de débuter. Alors, que le monde entre dans une période de dépression, de nouveaux phénomènes s'amplifient: On parle d'une troisième révolution

monopole ou que le pouvoir des syndicats est trop fort. * L’inflation importée : Si un bien importé joue un rôle fondamental dans la production, la hausse de son prix peut avoir un impact inflationniste (cela a été́ le cas avec le choc pétrolier de 1973). De même la dépréciation de la monnaie fait augmenter le prix des biens importés. II- La déflation Autrement dit, c'est une inflation négative. Ce serait l'apurement des dettes qui fait baisser les prix. Les acteurs trop endettés

ont transformé la structure de l’emploi. Après 1950, les services étaient principalement marchands, se concentrant surtout  dans l’agriculture. Avec la tertiarisation des emplois, les services sont devenus très importants. Avant le premier choc pétrolier, la croissance économique était plus importante et elle reposait sur la fécondité de la productivité. Ensuite, la diminution de l’efficacité du croisement économique est dû aux gains salariaux Pendant les Trente Glorieuses, la construction et l’industrie

30 glorieuses ( 45-75 ) Forte croissance. Periode de reconstruction , beaucoup de travail = DEMANDE > OFFRE Concurence faible Le metier de commercial est très facile, on appel un PRENEUR D'ORDRE 75-90 Crise economique Choc petrolier, hausse du prix du petrole Une demande qui se tasse et on apercoit une montée de la concurrence. Desordre monetaire international CRISE DU FORDISME = Moins de productivité Les consommateurs ont une demande hétérogène et sont + exigeants

dans le temps. Cette irrégularité se traduit par des fluctuations, soit du niveau absolu du PIB, soit du taux de croissance du PIB. La prise de conscience de l’irrégularité de la croissance, sans doute à la faveur des chocs pétroliers de 1973 et 1979 et du contre-choc pétrolier de 1985, a redonné une nouvelle vigueur aux analyses en terme de fluctuations et de cycles. Comment la croissance évolue-t-elle ? Comment expliquer les crises et les cycles économiques ? Telles sont les questions auxquelles

dernières années, c’est le taux de croissance de la demande ce qu’on appelle les BRIC, Brésil, Russie, Inde, Chine. Mais si les demandes énergétiques de ces pays avaient crû plus lentement ou plus tard, on aurait quand même eu un problème de pic pétrolier, mais dix ans plus tard. On oublie aussi souvent la croissance très forte des consommations dans les pays où le pétrole est subventionné c’est-à-dire les pays producteurs eux-mêmes. Or, c’est la plus rapide de toutes. Jusqu’où le prix du baril