Peur(s) du noir

convives est fossé car ces interlocuteurs sont réduits au rôle de marionnettes "Pendant toute  cette scéne, les acteurs, sauf Caligula et Caesonia,  pourront jouer comme des marionnettes"  (didascalie l.25). car ils craignent  Caligula et sont paralyser par la peur "la gorge sérrée"  (didascalie l.8) "résolument" (didascalie l.11) "à contrecoeur" (didascalie l.33), effectivement  les convives ne répondent que dans le sens de Caligula par contrainte. Lepidus est privé de  toute liberté car Caligula exerce sur

Que ce soit Francis Bacon ou Edvard Munch, en peinture le cri montre une projection de représentations internes, rouges, noires : la phobie du sang de la tuberculose de sa mère chez Munch, l’effroi de voir son âme chez Bacon. Il faut considérer le cas spécial du cri. Pourquoi Bacon peut-il voir dans le cri l’un des plus hauts objets de la peinture ? […] Quand Bacon distingue deux violences, celle du spectacle et celle de la sensation, et dit qu’il faut renoncer à l’une pour atteindre l’autre

les maisons semblent abandonnées. Il y a un froid de mort qui sort des bouches des soupirails, des caves, des fenêtres noires. C’est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues, qui emplit les recoins pourris au bas des murs. Où aller ? Lalla avance lentement de nouveau, elle tourne encore une fois à droite, vers le mur de la vieille maison. Lalla a toujours un peu peur, quand elle voit ces grandes fenêtres garnies de barreaux, parce qu’elle croit que c’est une prison où les gens sont morts

LA PEUR | | | Introduction | Définition : « La peur… ce sentiment d’angoisse qu’on éprouve en présence ou à la pensée d’un danger, d’une menace réel ou supposé.» Cependant, il faut différencier la peur de la phobie. La phobie est plutôt une crainte angoissante et injustifiée qui obsède la personne qui en souffre. Etymologie : Du grec ancien φόβος, phóbos (« effroi, peur ) -Phobie est un suffixe utilisé pour donner un nom correspondant à une notion de peur, de crainte, d’angoisse

fantastique reposent sur les sentiments. La peur et l'angoisse caractérisent les récits fantastiques, car quand l'irrationnel se mêle à la vie réelle, les personnages ressentent des émotions angoissantes. Dans le Horla le narrateur ressent de la peur. Notamment, cet extrait démontre la frayeur que ressent le personnage: « J'ai vu.. . j'ai vu... j'ai vu!... Je ne puis plus douter... j'ai vu!... J'ai encore froid jusque dans les ongles... J'ai encore peur jusque dans les moelles... j'ai vu!...» (p.72)

cercle qui l’englobe. - Environnement coloré et dominantes Dominante noir sur la majorité de la page avec un dégradé de plus en plus clair vers le centre bas de la page. Une tache claire dans la moitié inférieure. La dominante est reprise en plus sombre sur la moitié supérieure de la page. A la tache centrale claire dans la moitié inférieure de la page correspond en haut une tache tricolore (du gris, blanc et noir). - Textuel La phrase « NE SOYEZ PLUS ESCLAVE DE VOTRE SÉCURITÉ » en

discriminations (xénophobie, homophobie, handiphobie, etc.) Phobie = peur.  Pourquoi se moque-t-on si facilement d'une personne différente (une personne qui a trop de poids ou une personne handicapée, par exemple) ??? Parce que de manière spontanée, il est plus facile pour tout le monde de ne pas respecter : on reste là dans le ressenti : on voit l'autre, sa différence nous saute aux yeux et nous renvoie une image qui au fond peut être nous fait peur (on ne voudrait pas être comme lui). Ce sentiment de malaise

fréquemment dans l’histoire comme par exemple le chat noir, animal diabolisé et associé aux Cathares, eux même désignés par l’église comme étant une peuplade hérétique : « Et le chat n’est-il pas l’animal aimé des Cathares qui, selon Alain de Lille, prennent leur nom de catus justement, car ils baisent le postérieur de cette bête en le croyant l’incarnation de Lucifer? ». C’est pour ça que la jeune femme, surprise avec Salvatore et un chat noir, fut accusée d’hérésie. Résumez l’argumentaire du vénérable

immédiatement : - Œuvre figurative car on reconnait des éléments réels. - Formes et lignes : on peut immédiatement remarquer les formes géométriques qui forment le tableau. Elles inscrivent l’œuvre dans le mouvement du cubisme. - Le noir et blanc : le noir est la couleur du deuil, les couleurs symbolisent le deuil du peintre, des espagnols. Ces couleurs sont aussi celles des actualités de l’époque. Le tableau a donc une valeur documentaire, informative. - Composition : l’œuvre peut être découpée

Analyse des paroles (l’œuvre choisie est celle d’Yves Montand) : Strophe 1 : « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme. Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.» Rappel de la situation désespérée de la France (1-2), puis lueur d’espoir (3-4) Mots-clés - «Ami » : celui à qui on peut tout dire et avec qui on partage tout et qui va être avec nous contre