Peut On Concilier Liberté Et Obéïssance Aux Lois

Marcuse] et [Benjamin Walter], ils vont développer une critique de la raison occidentale, de la rationalisation telle que la définit Weber. Quelles sont les conséquences de l’art du fait de la rationalisation dans la société occidentale ? Est-ce que l’on peut faire encore de l’art à l’heure de sa reproductibilité technique ? [Benjamin Walter] va dire par exemple que l’on est début XXe siècle, à une période charnière de l’art car pour la première fois on pourra faire des reproductions d’une peinture à des

vertu de la constitution qui détermine le statut juridique des gouvernants. Au début ce droit à gouverner était une puissance exercée par contrainte physique et elle va devenir souveraine. La constitution de l’Etat est l’œuvre de la souveraineté, elle peut être la volonté d’un roi, du peuple… Au sein d’un même Etat le gouvernement pourra s’exercer selon différentes modalités. La diversification des modes de gouvernement Cela repose sur le nombre des gouvernants qui vont exercer le pouvoir politique

avantage mais aussi un inconvénient car on a l'impression de le connaitre mais en réalité il est plus complexe. Un obstacle à la connaissance de la science politique est le fait que c'est un discours parmi beaucoup d'autre sur la politique, elle ne peut se définir par son objet. La science politique est une étude de la science sociale et n'a pas le monopole du discours sur la politique. Le discours de la science politique n'est pas le discours philosophique. Les philosophes réfléchissent aux biens

les Papes Avignonnais demeurent attachés à leur missions universelle, il n'en restent pas moins Français et par là même, bien plus attachés au Roi de France qu'à l'Empereur. Alors, s'entourant d'un aréopage de cardinaux Français, leur politique ne peut qu'apparaitre suspecte d'autant plus que ces papes abusent sans scrupules de leurs prérogatives et n'hésitent pas à organiser une fiscalité excessive qui va faire leur très grande richesse. Finalement, commence une crise sans précèdent qui lui sera

* Systématisation : créer des concepts pour approfondir l’analyse (s’efforcer de proposer des interprétations affinées sur des évènements politiques tels que les manifestations (routinières, spontanées, de crise)- Pierre Fabre) ; formulation de lois tendancielles (sociologie électorale (André Siegfried) => analyses stratégiques (calcul sur les choix rationnels des électeurs et analyses écologiques (insertion de l’électeur dans son environnement social, religieux, etc). A l’inverse, ces discours

Section 1 : définition générale du droit ▪ Le droit peut être défini comme un ensemble de règles de conduites socialement édictées et sanctionnées, qui s’imposent aux membres de la société ▪ Il est constitué de norme destinées à produire des effets contraignants sur autrui. ▪ Il concerne les individus dans la société comme l’exprime l’adage : « ubi societas, ibi jus, ibi societa ubi jus » : il n’y a pas de société sans droit, il n’y a pas de droit sans société Le droit nait de

Assemblée Nationale. Ils ne parlent ni n’agissent plus en tant que délégués du tiers ordre, mais en tant que représentants de la nation tout entière —dont la Révolution proclamera l’unité et l’indivisibilité— qui leur a délégué la puissance de faire les lois. La nation ou le Peuple, et le choix du terme sera un enjeu décisif des luttes révolutionnaires, mais c’est là une autre histoire, à la place de Dieu et du roi, sont désignés comme les dépositaires exclusifs de la souveraineté. Mais si la Révolution

Introdution à la Science politique La science politique nait du besoin de renouveler la formation des élites suite à la défaite de 1870. C’est une discipline qui a pour objet la politique et peut utiliser des outils de toutes sortes (sociologiques, historiques, économiques…). C’est donc son objet et non sa méthode qui la distingue des autres disciplines. Elle a donc des implications politiques : « Désenchanter » la politique Mettre au jour les contraintes normatives de l’action politique

enregistre l’évolution sociale qui enregistre la famille ou doit-il au contraire guider les mœurs ? Equilibre délicat entre les mœurs et le droit. Déjà à l’époque des Romains, Horace disait « que sont les mœurs sans les lois, que sont les lois sans les mœurs ? » Le droit ne peut pas se contenter d’enregistrer les mœurs mais il doit aussi dire ce qui doit être. Attention, s’il dit ce qui doit être, encore faut-il qu’il ne soit pas totalement déconnecté de la réalité sociale, des mœurs. Parce que s’il

donc accepter le destin en se montrant détaché à l’égard des choses, des hommes et de ce qui ne dépend pas de nous, qui aurait une origine surnaturelle. Les hommes ont différentes opinions sur les choses puisqu’une opinion est subjective, ce qui peut engendrer des conflits, mais Épictète pense que, dès que les hommes auront pris conscience de ces conflits, ils vont y mettre un terme et donc déterminer qui a raison et qui a tort en cherchant les origines du conflit et par la suite, on a condamné