Peut On Critiquer La Démocratie

pourrait choisir de se passer. Si tel est le cas, comment peut-on tirer le meilleur parti de l'Etat, cette structure toujours prête à sacrifier ses sujets lorsque ses intérêts propres sont en jeu, cette structure que Nietzsche qualifiait de "plus froid de tous les monstres froids" ? Les principaux problèmes :           La force de l'Etat est-elle nécessaire à la liberté des citoyens ? Ce que la morale interdit, l'Etat peut-il le prescrire ? Les intérêts de l'Etat justifient-ils

ne sont pas toujours claires : On parle parfois de demi-démocratie, demi-autoritarisme, de démocratie illibérale, diminuée, ou d’autoritarisme amoindri pour tel ou tel régime. En théorie, la démocratie désigne un régime où le pouvoir vient du peuple, la légitimité est donc fondée sur l’élection et le peuple doit avoir un lien fort avec ceux qui exercent le pouvoir. Mais la notion de démocratie est également employée pour désigner le libéralisme

Sociologie I- Tocqueville et contexte Tocqueville : penseur de la Démocratie, L’Ancien Régime est une expression pour désigner les 2 siècle qui vont du règne d’Henri 4 à juin 1789. Encadré par la Renaissance et la Révolution Française, l’Ancien Régime est l’ensemble des institutions et gouvernements de la France durant cette périodemonarchie absolue de droit divin, inégalité sociale fondée des privilèges de naissance pour la Noblesse et le rôle important joué par le Clergé

Histoire de la Vème  République   Si la Vème République peut être l’objet d’une histoire mouvementée, ce n’est que parce qu’elle est acceptée par le peuple français malgré ses conditions de naissance et les critiques qui s’opposent à elle. Le maintien de cette République est finalement le meilleur moyen de répondre à l’ensemble de toutes les critiques qu’elle reçoit en même temps.   Il suffit, pour s’en convaincre, de voir les résultats du vote des projets de constitution : - le 13 octobre 1946

ALEXIS DE TOCQUEVILLE La démocratie pour Tocqueville Durant son séjour aux États-Unis, Tocqueville s'interroge sur les fondements de la démocratie. À la différence de Guizot, qui voit l'histoire de France comme une longue émancipation des classes moyennes, il pense que la tendance générale et inévitable des peuples est la démocratie. Selon lui, celle-ci ne doit pas seulement être entendue dans son sens étymologique et politique (pouvoir du peuple), mais aussi et surtout dans un sens social.

Démocratie, citoyenneté et participation politique Sommaire : I : Introduction II : La démocratie en France III : La citoyenneté en France IV : Participation politique des citoyens V : conclusion I : Introduction De nos jours, un citoyen est une personne qui relève de la protection et de l'autorité d'un Etat, dont il est un ressortissant. Il bénéficie des droits civiques et politiques et doit accomplir des devoirs envers l'Etat (ex : payer les impôts, respecter les lois

pouvoir (qu’il soit roi, prince ou peuple) a tendance à en abuser, il faut donc que « par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir » L’Esprit des Lois, livre XI. Cependant, si cette doctrine fait plus ou moins l’unanimité dans les démocraties modernes, on note des disparités d’interprétation du principe de séparation des pouvoirs. Le principe théorique de base a été pensé par Montesquieu et avant lui par le théoricien anglais John Locke. Ces deux auteurs pensaient la séparation

Rechercher des infos lire des documents Document 1 Les médias, un quatrième pouvoir ? Il existe entre les médias et la politique un rapport étroit. Il n'y a pas de vie politique sans opinion publique et pas d'opinion publique sans communication. En démocratie, il y a forcément médiatisation et ce phénomène n'est pas nouveau. Cependant, pendant longtemps, le rapport entre homme politique et citoyens se sont résumés à des rencontres, discussions, meetings et interviews dans la presse. Dans les années 1960

création de la 3eme république) : une démocratie il-libérale. Autres titre : démocratie manipulée, un césarisme démocratique (césarisme = régime autoritaire), qui profite qu’a un seul, qui repose sur la pratique du plébiscite, apparence d’une démocratie. On a 2 périodes dans l’Empire : autoritaire et libérale vers 1860. De 1852  période moins libérale a ----> 1860 (1864 : loi sur les droits de Grèves) ---> période plus libérale jusqu’à 1870. a) Une démocratie de façade : Une nouvelle constitution

gouverner ensemble. L'émergence de la mondialisation entraîne des doutes quand au devenir de la démocratie. Les États ne sont plus indépendants et comme le dit K. Ohmae, « les frontières ne comptent plus quand les États ne sont plus à même de contrôler leur économie nationale ». Pourtant, l'histoire nous montre que capitalisme et démocratie ne sont pas incompatibles. Nous pouvons même dire que la démocratie s'est montrée favorable au capitalisme. Jamais l'anticapitalisme n'a triomphé, tandis que bien