Peut On Croire Au Progrès De L Humanité

organisation hiérarchisée qui fait exercer un culte, et qui s'organise autour de valeurs morales, instaurées par une entité supérieure. L'humanité est, quant à elle, l'ensemble formé par les Hommes, qui est à l'origine d'une unité sur la Terre. Cette humanité est à la fois uniforme, car les Hommes se ressemblent tous, mais elle est aussi divergente depuis la naissance des grandes aires de civilisations. La religion structure les sociétés depuis la naissance de ces dernières, et encore aujourd'hui malgré

dimension psychologique, cognitive et éthique peut-il être réduit à des mots ? Notre réalité tant individuelle que collective se ramène-t-elle à des discours ? Est-ce seulement à travers les mots que nous devenons nous mêmes ? Penserions-beaucoup et penserions nous bien si nous n’avions pas de langage ? Mais, au-delà, suffit-il de disposer des mots pour penser, suffit-il de dire pour être, ne faut-il pas aussi agir ? N’être « que des mots » peut d’abord être pris dans une acception psychologique

Lumières a) L'unité de l'humanité et la raison b) Culture, civilisation et progrès 3) Les difficultés du modèle des Lumières  : logique évolutionniste et ethnocentrisme II) Le sens de la culture : Conception anthropologique et relativisme culturel 1) L'approche des sciences humaines a) Culture et société b) Puissance de la culture & diversité des cultures : Le relativisme culturel 2) Critique de l'idée de progrès 3) Les difficultés du relativisme culturel III) Le sens de la culture

l'avenir de l'humanité est dans le progrès de la raison par la science." d’après Emile Zola. En effet, si par science, on entend l’usage de la raison, de la rigueur rationnelle, visant à mieux comprendre et connaître l’univers et ses phénomènes, et si par technique on entend amélioration de l’outil, du moyen sous toutes ses formes, afin de mieux tirer profit de la nature, alors on peut se demander si le progrès de ces derniers entraîne un progrès de la raison. Le progrès de la science et de la technique

Est-il vrai que de tout mal on peut tirer un bien ? Sommaire Introduction Première partie Deuxième partie Troisième partie Introduction L'expression "est-il vrai" laisse entendre que l'idée que l'on peut tirer de tout mal un bien est une idée commune, une idée reçue : "A tout malheur quelque chose est bon" - dit-on . Mais peut-on tirer de tout mal, quel qu'il soit, un bien? Encore faut-il savoir ce qu'on entend par "tirer" et ce qu'on désigne par "mal". Si l'on dit qu'on tire ou retire

philosophie de DESCARTES (Projet Cartésien) : Etude de la raison : 17ème siècle appelé « siècle de raison » : la pensée humaine et la raison s’étudient elles-mêmes. « Donner à la science des fondements clairs et assurés » : Descartes a étudié les humanités, la science, etc puis il s’est rendu compte qu’on lui enseignait une quantité de théories philosophiques ou mathématiques sans savoir si, tout ce qu’on lui avait accumulé de connaissances, était vrai ou faux. Il s’intéressait à la vérité : la rigueur

vulgarisation de nombreux savoirs : philosophie, littérature, art. Ils veulent diffuser le savoir le plus clairement possible afin que le plus grand nombre de personnes puissent être touchés par celui-ci. Le fait d’être instruit n’empêche pas que chacun peut faire ses propres choix. L’humaniste deviendra au fur et à mesure une pensée qui met en avant les qualités primordiales de l’être humain. Au départ plutôt sensible à la religion, ils finiront par s’en détacher puisqu’un humaniste doit chercher la vérité

supérieure à celle-ci : ‘’les dieux’’, et spécialement ‘’Dieu’’ ds les monothéismes). Toute religion ‘’relie’’ donc les hommes à cette réalité sacrée, et aussi relie les hms entre eux ; ceux qui ont la même religion forment une communauté spirituelle, qui peut éventuellement se ‘’matérialiser’’ en une institution spécifique (par ex l’Eglise catholique). Toute religion comporte ainsi un aspect ‘’subjectif’’ et intérieur (le sentiment religieux, la foi) et un aspect ‘’objectif’’ et extérieur (cérémonies, institutions

situation difficile, et le transforme en un être dévoré par ses propres tourments et sentiments, et peut même provoquer sa mort. 3. La problématique :De nos jours, peut-on encore croire en l’existence d’une passion aussi forte et sincère ? II. Développement : 1. Introduire le travail :Une passion qui brule, qui rend l’amant malade et peut même provoquer sa mort, en voilà un thème qui a longtemps inspiré la littérature universelle

intrinsèquement liées à son être. C’est pourquoi la métaphysique classique, la mythologie et la religion ont souvent considéré la différence entre l’homme et les autres comme tout ce qui est spécifique chez l’homme. C’est dans ce sens que Kant inscrit le progrès dans l’ordre de la nature. Il écrit : « La nature a voulu que l’homme tire entièrement de lui-même ce qui va au-delà de l’agencement mécanique de son existence animale et qu’il ne participe à aucune autre félicité ou à aucune autre perfection que