Peut On Croire Sans Raison

Colle 3 Rousseau L’Emile Ce texte porte sur le bonheur. La thèse de l’auteur est que le bonheur ne se trouve pas là où l’on a généralement tendance à croire qu’il est. Elle est démontrée en trois parties. Une première partie est la présentation de la thèse : le bonheur ne se trouve pas là où l’on a tendance à croire qu’il est. Une deuxième partie est l’explication de la thèse : le vrai bonheur est silencieux et se savoure intérieurement et une vie riche en moyens de divertissements n’est

Le vrai et le faux, le bien et le mal, autant « d'idées » dont presque chacun a une conception différente : on assiste alors a une diversification des opinions. Que croire ? La vérité est-elle compatible avec tous ces avis? La diversité des opinions doit-elle nous faire renoncer à l'idée de vérité ? Tout d'abord, il faudra examiner si la diversité des opinions est enrichissante ou non, puis l'idée de vérité, concept unique et / ou source de divergences, pour enfin mieux percevoir la compatibilité

Partie 1Dans les sociétés où la valeur première est l'argent, on peut croire que tout peut etre acheté, les objets comme les personnes : on achète aussi bien un terrain qu'un joueur de football, le silence d'un témoin, la conscience d'un homme politique. L'argent peut tout acheter dès lors que l'on fait fi des notions de droit, de justice et de morale. Même ce qui n'a pas de prix a un prix, car l'homme est faible et corruptible.Avant la réforme, les catholiques en versant une somme d'argent à l'Eglise

infini, le souverain existe par définition. Le philosophe français Descartes décrit lui -même l'existence de Dieu comme étant inséparable à son essence. Ensuite, vient la preuve cosmologique, que Compte-Sponville définit comme étant un principe de raison. Selon cet argument, tout ce qui existe doit pouvoir s'expliquer, et ce même si nous sommes incapable de le faire. Le monde est contingent, ce qui veut dire que sa création est le fruit de quelque chose, de quelqu'un – de Dieu. Il est nécessaire

pouvoir d'être soi-même cause de son être et de ses propres actions, alors que la contrainte consiste à être et agir en étant déterminé par autre chose que soi-même. D'emblée, Spinoza oppose liberté et contrainte et non pas liberté et nécessité. Il peut y avoir "libre nécessité". Il y a de fait une différence notable entre être autodéterminé et être "hétéro" déterminé. Mais le sens commun s'insurge : même si je ne suis déterminé que par moi-même, cela signifie bel et bien que je n'ai pas le choix

Mais quoi! sera-t-il permis à chaque citoyen de ne croire que sa raison, et de penser ce que cette raison éclairée ou trompée lui dictera? Il le faut bien (Note 28), pourvu qu'il ne trouble point l'ordre: car il ne dépend pas de l'homme de croire ou de ne pas croire, mais il dépend de lui de respecter les usages de sa patrie; et si vous disiez que c'est un crime de ne pas croire à la religion dominante, vous accuseriez donc vous-même les premiers chrétiens vos pères, et vous justifieriez ceux

médias. Clarisse Mc Clellan : Jeune fille de 17 ans et voisine des Montag, elle revendique la société, sait apprécier les choses à leur juste valeur et fait passer ses idées à Guy Montag. Beatty : Supérieur de Guy Montag, il essaye de le raisonner et de l'empêcher de commettre une erreur. Résumé du récit Fahrenheit 451 est un roman de science-fiction américain écrit par Ray Bradebury en 1953. Il obtient le « Prix Hugo du meilleur roman » en 1954. Fahrenheit est un terme désignant

de bien choisir c'est-à-dire ne pas me tromper dans ce que je vais faire, je doute et me remet donc en question ce qui paralyse de mon intention : je retiens alors mon action et tant que des défauts obstrue mon action je cherche les meilleures les raisons qui pourraient me permettre de de trancher et élimer le doute. En ce sens donc, celui qui doute redoute par-dessus tout l'erreur et aspire à être dans le vrai, et c'est parce qu'il croit douter qu'il se met à douter. Le doute prend sa valeur philosophique

sortes de désirs § 11= le plaisir § 12, 13, 14= se suffire à soi-même et se contenter de peu § 15, 16,17, 18, 19= destin et hasard. Le « quadrupède remède » : « Les dieux ne sont pas à craindre La mort n’est pas à craindre On peut atteindre le bonheur On peut supprimer la douleur. » § 1 : « le jeune homme comme l’homme âgé doivent philosopher ». L’un pour rajeunir « au souvenir des bonnes choses », l’autre pour être « serein et exempt de craintes devant l’avenir ». § 2 : « il faut rechercher

vers 1à11 on peut voir le désespoir du poète et du vers 12à20 son refus d’y croire Dé l’ouverture du poème dans les deux première vers on ressens la souffrance du poète par interjection ‘oh’ et ‘hélas’ + point d’exclamation en début de vers . « je pleurai trois jours amèrement . » appuie sur sa souffrance et accentue « je fus comme fou » qui est mis en valeur par une allitération en « F » . Cependant en ce début de poème Hugo nous indique pas la raison de sa souffrance