Peut On Dire Que Tartuffe Nous Instruit

Lecture analytique – Molière, Dom Juan, acte I, scène 1 (extrait) A la fin de l’année 1664, Molière dont le Tartuffe vient d’être censuré, commence à écrire Dom Juan. En février 1665, Molière présente la première de Dom Juan ou le festin de Pierre. Il joue Sganarelle. Le public accueille favorablement cette pièce à machines, richement décorée et spectaculaire. Mais à l’approche des fêtes de Pâques, la pièce est retirée de l’affiche, après seulement 15 représentations. L’œuvre est l’objet

et Gusman. Molière commence cette pièce par une tirade sur l’éloge du tabac, allusion à l’actualité car le pape voulait à cette  époque excommunier les hommes prenant du tabac. C’est en fait une métaphore du théâtre : « il réjouit et purge », « il instruit les hommes à la vertu », « honnête homme », caractéristiques du théâtre classique. Nous allons expliquer la dernière tirade de la scène prononcée par Sganarelle. Analyse synthétique Scène d’exposition Enonciation théâtrale

pièces de théâtre s’enchainent et il commence à gravir les échelons de la réussite qui fait des envieux surtout ceux du parti dévot qui l’accuse d’athéisme et le qualifie de démon. Cette polémique fait interdire deux des ses pièces de théâtre : Le Tartuffe et Dom Juan. Cette querelle est donc bien plus que littéraire car elle engage la liberté du créateur dramatique. A 43 ans, Molière a eu une grave fluxion de poitrine. Une grosse toux ne l’a plus quitté depuis et il est mort immédiatement après la

Daniel Mesguich Lecture cursive : Tartuffe, de Molière. FICHE BAC Dom Juan, pièce ambiguë et inclassable N°1 Dom Juan, Molière, acte I scène 1 * Introduction Molière est un dramaturge s’étant illustré dans la comédie : on peut citer par exemple L’Ecole des Femmes, Le Malade Imaginaire, L’Avare ou encore Le Bourgeois gentilhomme. Il est notamment lié à la Comédie Française, qui a été créée pour sa troupe. En 1664, il publie Tartuffe qui est rapidement interdite, car Molière

 Corpus de Français Dans ces quatre extraits nommés "préface du tartuffe " Traité de la comédie " Préface de Phèdre " et " Lettre à d'Alembert sur les spectateurs " écrits dans l'ordre par Molière , Pierre Nicole , Jean Racine et Jean Jacques Rousseau en 1664 , 1667 , 1677 , et 1758 . Les auteurs exposent leur facon de voir la morale au sein du théâtre. Nous étudierons donc le lien entre la morale et le théâtre selon ces auteurs. Pour tous ces auteurs,

la suite de Tartuffe interdit, Molière donne le 15 février 1665 Dom Juan. C’est l’histoire d’un mystificateur chevronné. La pièce se caractérise par son aspect transgressif et perturbateur : aussi bien au niveau de sa forme que de son contenu, Dom Juan, de par sa plasticité, s’inscrit dans la tradition des œuvres novatrices et contestataires des canons esthétiques jusqu’alors observés par la plupart des dramaturges, y compris Corneille qui serait l’un des premiers classiques à ouvrir la brèche de

argumentation repose sur des prémisses vraisemblables, c’est à dire des opinions reçues ou acceptées par l’ensemble ou par la majorité de la communauté culturelle ou historique, ce que l’on peut appeler une « doxa ». L’orateur s’il veut convaincre doit en quelque manière prendre appui sur la « doxa » de son auditoire. Il doit s’assurer de l’acceptabilité idéologique de ses arguments. Pour prendre un contre-exemple, la pétition de principe, c’est-à-dire le fait d’admettre comme principe de son argumentation

La Colonie, choisit la légèreté de la comédie pour montrer le mépris que subissent les femmes dans la société. Au XXème siècle encore, l’humoriste Pierre Desproges manie l’ironie lorsqu’il s’interroge sur le destin inéluctable de l’être humain. On peut alors se demander dans quelle mesure le ton comique et ironique est adapté et efficace à une réflexion sur des thèmes tragique portant sur la vie, la mort et les faits sociaux, et si le parti pris de rire de tout n’a pas de limites. Nous analyserons

littérature d’idées peut se révéler impuissante face aux défis du monde, cependant, il ne faut pas pour autant s’avouer vaincu, car elle a tout de même une utilité. Problématique : La littérature d’idées peut-elle éveiller les consciences, influencer la marche du monde ? Etape 3 et 4 : Le plan :L’impuissance de la littérature. Un public nécessairement cultivé. Selon l’époque, le discours peut ne pas être entendu. La littérature ne peut toute seule changer le monde. Mais, la littérature peut tout de même

bonne fortune. ( Molière DOM JUAN, 1665 Scène première SGANARELLE, GUSMAN SGANARELLE, tenant une tabatière : Quoi que puisse dire Aristote et toute la Philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière