Peut On Désobéir A La Loi

collective ne peut pas se passer de l'autorité. II)1)Ce n'est pas une vertu, car cela révèle de la lâcheté, on refuse de prendre des décisions, des responsabilités, et surtout refus de prendre des risques. Risquer des dommages. On s'abrite derrière l'idée qu'on avait pas le choix. 2)On démissionne de ces propres valeurs morales, on renonce à notre esprit critique. C'est un mal en soi. Il faut savoir obéir et prendre le risque de désobéir. Exemples introductifs : -L'obéissance à la loi qu'on

Eichmann à Jérusalem Rapport sur la banalité du mal Etude de l'oeuvre écrite par Hannah Arendt Introduction Hannah Arendt est une philosophe allemande. Elle a vécue en France quelques années, avant de se diriger vers les Etats-unis, sa terre d'adoption dont elle deviendra citoyenne en 1951. Les principaux sujets de ses recherches portent sur l'activité politique, le totalitarisme et la modernité. Son livre Eichmann à Jérusalem, dont nous allons parler dans cet exposé, est publié en 1966

Introduction : Définition générale de la justice = cf.balance = équilibre, égalité. Donner à chacun ce qui lui revient en droit (que cette chose lui ait été enlevée injustement ou qu'elle lui soit dûe). Ne faire du tort à personne. Domaine : échange des biens et répartition des charges au sein d'une société. Pourquoi le besoin de justice? Si on a ce besoin, c'est parce qu'il y a rareté des biens disponibles, et des inégalités physiques, psychologiques, etc., entre les hommes. Nous en avons

Antigone À la suite de la mort des frères rivaux Étéocle et Polynice pour le trône de Thèbes, leur oncle Créon détient le pouvoir. Par la suite, il impose une loi qui stipule que Polynice n'a pas droit à une sépulture selon les rites. Antigone sa sœur reste outrée que son oncle discrimine un membre de la famille. Ainsi, elle s'oppose à l'autorité du tyran Créon, puisque Créon est le guide de la cité et ne veut que du bien pour celle-ci. Ces agissements devraient-ils être justifiés? Antigone a-t-elle

Nul n’est censé ignorer la loi Par François HOUSSET | Les Textes #30 | 2 commentaires | | Même mal, nous connaissons les règles du jeu : ceux qui le nient encore sont de mauvaise foi, de mauvais joueurs. L’histoire (ancienne et contemporaine) nous montre comment nous en avons élaboré les règles ensemble. Discutée publiquement, la loi se construit à coups de votes : il en faut de la mauvaise volonté pour l’ignorer ! La loi est la règle nous permettant d’évoluer dans un même cadre : c’est un contrat

Socrate est enfermé depuis son procès (Voir à ce sujet l’Apologie de Socrate qui en fait le récit). Socrate doit avoir 70 ans approximativement et il vient d’être condamné à mort par les athéniens. Son fidèle ami Criton vient lui annoncer la nouvelle de sa mort prochaine. Criton avait assisté au procès de Socrate, il s’était depuis longtemps attaché à lui, s’était intéressé à la philosophie. C’est encore Criton qui sera présent lors de sa mort. On peut donc dire que c’est un disciple et un ami fidèle

faut nous mettre a l'idée qu'il n'y a pas de justice sans des lois qui sont communs a tous et qui définissent ce qui est ''permis'' ou bien ''interdit'', ce qui impliquera que les gens seront dotés de droit exemple (Droit de réclamation, droit d'expression etc...). Tandis que l'institution peut se définir comme étant un ensemble de lois adoptés par un État qui permet de définir les actions des hommes dans une société. Ce qui nous Ramène a notre principale Question, '' La justice peut elle se passer

que le Droit ? Le mot Droit à plusieurs sens, tout d’abord le droit est une matière d’étude mais c’est aussi une série d’article de loi, de décision de jurisprudence et pas très accessible il faut avoir un peu de pratique pour pratiquer la jurisprudence. Le troisième sens, c’est penser le droit comme une construction intellectuelle, c’est très abstrait. Le droit relève de la vie, de l’action. Le droit est complexe car la vie est complexe. Le droit ne fait que s’adapter à la complexité de la vie des

ans et je suis étudiante en tourisme. Je rédige ce texte pour m’adresser à tous les hommes qui se trouvent à chaque coin du globe terrestre. Ces hommes qui battent leurs femmes, peut-être même leurs mère, fille… je vais donc plaider en faveur des femmes battues. Car ce sont bien entendu souvent les femmes qui sont victimes de la violence. Premièrement, Comme l’article 5 l’indique, « Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradant » J’affirme donc

d’introduction et de problématisation du texte On a l’habitude de penser notre rapport aux lois comme de contrainte : parce que reçues comme des commandements, nous nous soumettons à elles pour, d’abord, éviter le châtiment, et par là nous les comprenons comme ce qui va à l’encontre de nos désirs ou de notre sentiment le plus naïf de libre-arbitre. Il semble évident que nous ne pouvons faire ce que nous voulons face à la rigueur de la loi ; et si elles nous obligent à les respecter, par leurs cortèges de sanctions