Peut On Opposer La Nature De La Culture

Les autres et nous, sommes plus que la vision qu’on a d’eux/de nous. En effet, une des caractéristiques de l’homme est qu’il est indéfinissable). Un être humain sait se différencier des choses, des autres et de soi (« je suis un autre ») et il ne peut le faire que grâce au langage. C’est ce qu’on appelle la conscience réflective : sait se projeter, sait s’extraire par exemple du moment pendant lequel on est en train de penser pour se voir penser - signe : on dit « je » - (propre à l’homme de se

de les unir ». 3Il examine ensuite la place de l’éducation entre nature et culture (naît-on homme ou le devient-on par l’éducation ?), s’interroge sur les fins de l’éducation (éduque-t-on l’enfant pour la société ou pour lui-même ?), avant de proposer cette définition : « L’éducation est l’ensemble des processus et des procédés qui permettent à tout enfant humain d’accéder progressivement à la culture, l’accès à la culture étant ce qui distingue l’homme de l’animal ». 4Sont ensuite passées

entre les peuples sont inévitables car l'unanimité ne peut pas être atteinte en tout temps. Il y a toujours des groupes qui ne sont pas en accord avec les autres. Il est donc de bon droit de se demander si les guerres sont des effets de la nature humaine, ou bien si ce sont les conséquences des constructions politiques des Hommes, c'est à dire le fait qu'il y ait un pouvoir en place et que certains le contestent. L'être humain est belliqueux par nature, c'est parce qu'il est égoïste et qu'il écoute ses

La tradition et la modernité sont deux notions très courantes, mais dont l'acception n'est pas toujours très aisée, dans la mesure où on a tendance à les opposer, alors que la modernité n'est qu'une évolution normale et inévitable de la tradition. En d'autres termes, la tradition et la modernité désignent la même réalité sociologique dans une communauté, c'est-à-dire la manière d'être et de faire des hommes à des moments différents suffisamment espacés. C'est pourquoi il nous sied de disserter un

résolus à admettre sans concession que l’oeuvre d’art soit avantageusement mis au service de l’artiste ou de la société. Face à un jugement si catégorique et absolu, on est en droit de se demander ce qui fait de l’art une pratique ou une technique qui ne peut nullement servir les hommes. C’est à cette interrogation que nous répondrons en analysant tout d’abord la tradition multiséculaire qui veut que l’oeuvre d’art soit utile, puis en nous tournant vers les auteurs qui refusent que l’art puissent être le

ieJugement et critique Peut-on juger objectivement les pratiques culturelles? Transition Peut-on néanmoins concevoir une possibilité de jugement de valeur concernant les produits de la culture ? Les civilisations se caractérisent par des formes d’art, des pratiques et des traditions religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les

Huizinga dit que c’est faux car les chiens jouent, les ours aussi. S’il y a une base naturelle dans le jeu, comment peut-on dire que le jeu est une construction immanente à la culture, comment montrer que toute culture possède des éléments du jeu ? Il présuppose qu’il n’y a pas de dissociation entre nature et culture

L’homme peut-il toujours être raisonnable ? Toujours = constamment Raisonnable = avoir des limites ( que l’on souhaite) avoir des limites propre à sa raison, social  respecter les règles des autres et leurs envies juridique  règles de la société ; lois savoir dire stop à nos envies / se donner une certaine limite/ avoir ses propres limites

une réflexion sur la valeurs de nos actes comme définition de nous-mêmes pour aboutir à une forme d’aporie.Lignes 1 à 3 : introduction : constat de départLignes 3 à 5 : une première élaboration de définition de soi-même, une recherche de symétrie : opposés et complémentairesLignes 5 à 18 : le travail de réflexion et d’ordonnancement du souvenir : un effort difficile et aléatoire qui ne garantit pas la certitude de parvenir à se définir soi-mêmeLignes 18 à 26 : une réflexion sur ce qui définit l’homme :

vie, elle a peint beaucoup d’autoportraits (55 sur 143), elle l’explique en disant qu’elle était souvent seule et parce qu’elle était la personne qu’elle connaissait le mieux. Elle a peint également ses proches et des personnages importants, des natures mortes, des paysages... Beaucoup de ses tableaux représentent des événements de sa vie personnelle. Sa peinture est très colorée et s’inspire beaucoup de la peinture traditionnelle mexicaine. Elle s’inspire également du surréalisme, mais est avant