Peut On Parfois Désobéir Aux Lois

car il y a à la fois des difficultés théoriques : à se demander qu’est-ce qu’est le droit  et cette définition est difficile car elle est contingente. 1-Les difficultés théoriques à définir le droit S’interroger sur qu’est-ce qu’est le droit peut apparaitre simple et devrait appeler une réponse automatique pourtant ceux qui ont étudier le droit ou ceux qui le pratiquent depuis de nombreuses années auront de grande difficulté à le définir et cette question apparait plus complexe qu’une notion

ordre préexistant, c’est le cas quand l’autorité publique rédige les lois données par Dieu, comme dans les anciennes civilisations du moyen orient, ou certaines de leurs lois viendraient de Dieu, comme le pharaon qui retranscrit les lois données par Dieu, soit pour formuler un ordre nouveau. La coutume est un droit pré-étatique, qui existe dans les sociétés sans états. Elle n’est pas créer par la puissance publique. Elle peut se définir comme un usage de formation spontané accepter par tous et

découvre en effet que son fiancé la trompe, et se refusant de mentir à son tour en l'épousant tout de même, elle quitte le cocon familial, humiliée, insultée, pour se construire seule. Relatant avec détails et franchise ses liaisons multiples, et parfois lesbiennes, Margueritte provoque un véritable tollé dans une France encore meurtrie par la Grande Guerre. Les deux oeuvres scandalisent l'opinion publique, l'une cinquante-neuf ans après l'autre. Elles ont en commun le thème de l'émancipation sexuelle

publique. Donc la règle de droit est une règle dont la violation peut entrainer des poursuites contre la personne. «  nul ne peut se faire justice a soit même » il faut une action en justice organisé par l’état. Il existe 3 types de sanctions étatiques : * L’exécution forcée : lorsque le juge contraint une personne a exécuté une obligation. Ex : un vendeur qui a vendu un objet a un acheteur mais qui n’a pas payer, le vendeur ne peut pas faire justice soit même mais il doit demander a juge d’ordonner

presque voisines. Exemple : le législateur « dispose », « énonce », « proclame ». Le juge « décide ». Le contractant « stipule ». La difficulté est que le langage juridique utilise de nombreuses polycènes (plusieurs sens possibles). - Un même mot peut avoir un sens commun et un sens juridique. Exemple : en droit, le mot « fruit » désigne les revenus d’un bien. En langage courant, le mot « meuble » désigne un objet destiné à se meubler. En langage juridique, il est employé pour toutes les choses

au nom du droit naturel qu’Antigone répond au roi Créon : «J’ai désobéi à la loi car ce n’était pas Zeus qui l’avait proclamée, ce n’était pas la Justice.» (Antigone, Sophocle). La forme légitime du droit, autrement dit le droit naturel, est donc intimement liée à la notion de justice comme norme du droit, garantissant la pérennité de valeurs fondamentales (Liberté, Egalité) qui doivent être respectées. Mais le concept de justice peut-être envisagé du point de vue du droit positif c’est-à-dire comme

s’identifier, en raison de leur âge, au jeune héros de ce roman, confronté au problème de la misère et d’une amitié impossible, car interdite par les lois féodales. L’amitié impossible éprouvée pour un animal est aisément transposable à un autre individu, que la société, avec ses tabous, ses iné- galités sociales et ses différences culturelles, interdit parfois. Le contexte historique du Moyen Âge est par ailleurs un univers avec lequel les élèves de 5è sont familiari- sés pendant le cours d’Histoire et

droit nous est-il inconnu ? Pas totalement car il est parfois assimilé à des aspirations personnelles (le droit au bonheur) ou bien a des interdits sociaux (tu n’as pas le droit de tuer). En terme juridique les interdits sociaux, relèvent du droit objectif. Droit objectif : ensemble de règles qui gouvernent la conduite de l’homme en société et dont le respect est assuré par l’autorité publique. Il n’est pas seulement fait d’interdit sociaux il peut s’agir de permissions. Certaines aspirations individuelles

Dire d’un fait qu’il est | |règle pour bien penser, bien agir ou bien se conduire. Pour |« a-normal » c’est dire que, se produisant, il ne devrait pas se | |bien penser : les lois (ou normes) de la logique ; pour bien |produire. Une norme, c'est un idéal porteur de l'exigence que les | |parler : les lois (ou normes) de la grammaire ; pour bien |faits s'y conforment. Le droit se construit sur la base d'un refus | |agir : une « norme » est une règle de conduite qui sert à |du

partie spécifique pour définir les termes. La définition a lieu au fur et à mesure dans chaque partie. Les termes « autonomie » et « autorité » ne sont pas simples, mais complexes. D’une partie, la signification de l’autonomie et/ou de l’autorité peut varier. Il faut en avoir conscience et l’indiquer de façon explicite quand c’est le cas. - 3° règle : plan. Le plan est préalable à la rédaction (rendu intermédiaire). Il doit être le plus détaillé possible (parties – sous-parties). Les parties