Peut On Parfois Légitimer La Torture

fondateur de la confrérie, entre 1930 et 1948, prouve trois faits : il s’opposait à la colonisation et critiqua clairement les dérives fascistes de l’Allemagne et de l’Italie ; il refusait l’usage de la violence en Egypte même s’il la considérait comme légitime en Palestine (pour résister au groupements sionistes terroristes du Stern et de l’Irgoun) ; le modèle parlementaire britannique lui paraissait le plus proche des principes islamiques et il désirait fonder un « Etat islamique » sur la base de réformes

 Certaines sociétés semblent être plus civilisées que d'autres car elles ne mettent pas en place certaines pratiques que nous jugeons parfois inhumaines. En effet, dire que toutes les sociétés se valent revient à légitimer des actes que nous pouvons considérer comme inhumains tels que la barbarie ou l'excision, et des régimes politiques violents ou des dictatures. Ainsi, si toutes les sociétés et leurs pratiques se valent, nous pouvons donc en déduire que la dictature du nazisme et toutes les violences

d’opinions, certains capitulent très rapidement ou laissent tout simplement leur point de vue évoluer. En revanche, d’autres consacrent leur vie entière, allant même jusqu’à la sacrifier, pour défendre leurs idées qu’ils jugent légitimes. Ainsi, William Wallace fût torturé et décapité au XVIème siècle pour avoir tenté de libérer l’Ecosse du joug des Anglais. Les exemples de héros ayant payé de leur vie la défense de leurs convictions ne manquent pas, nous le verrons par après. Cependant, il convient

donner alors à la liberté dans ce contexte pour éclairer la question? Ne faut-il pas non plus distinguer entre plusieurs Etats qui définiraient alors chacun la possibilité ou non de la liberté? Il apparaîtra ainsi au premier abord que la liberté ne peut se développer dans l'Etat, telle est la position de l'opinion commune mais également celle des peuples vivant dans un état autoritaire ou totalitaire. Toutefois, ne faut-il pas critiquer cette thèse à certains points de vue ( celui de l'opinion commune

La peine de mort se distingue de l’élimination d’individus jugés indésirables (handicapés physiques ou mentaux...), ayant parfois été pratiquée ou suggérée sous le nom d’euthanasie . En effet, lapeine de mort se conçoit comme un châtiment , tandis que l’euthanasie n’implique pas une telle notion. Par ailleurs, le fait pour un policier ou toute autre personne de tuer en état de légitime défense un suspect ou un criminel ne constitue pas une application de la peine de mort. Il en est de même pour les morts causées

point l’homme est attaché à son travail : il se bat pour en trouver, le garder, travailler dans les meilleures conditions etc… On peut donc se demander si le travail peut être considéré comme un droit ? Ainsi, le mot travail vient du latin tripalium « machine a trois pieux » qui servait a immobiliser les chevaux pour les ferrer, soit un véritable instrument de torture. Aujourd’hui, ce mot pourrait se définir par l’ensemble des activités accomplies par l’homme pour produire des biens et des services

conflits sont présents partout où les hommes vivent, dans tous les régimes politiques et dans toutes les cultures. Aux spécificités civilisationnelles s’ajoutent les penchants individuels, et il est logique que des tensions en découlent, qui engendrent parfois des situations de conflits.Par conflit, on entend une situation d’opposition entre deux ou plusieurs acteurs qui se heurtent à des idées ou à des opinions divergentes. Tout conflit n’est pas une guerre mais il dégénère souvent en lutte armée.Il s’agit

nobles contestaient le pouvoir monarchique (= le pouvoir du roi). La philosophie des lumières remettait en cause (critiquait) l’ordre et la hiérarchie religieuse, la monarchie absolue. Les philosophes durent (= ont du) parfois publier leurs écrits sous l’anonymat. Ils furent parfois emprisonnés. Bien des (beaucoup de) rois et empeurs européens (Charles III d'Espagne, Marie-Thérèse et Joseph II d’Autriche, Catherine II de Russie, Gustave III de Suède) lisaient et appréciaient (aimaient bien) les philosophes

involontaires. La responsabilité est le plus souvent individuelle. Toutefois, il est possible que les enfants payent pour leur père. La vengeance privée est envisagée : Par exemple en cas d’adultère de la femme, le mari peut tuer la femme ; le voleur entré par effraction peut être tué. La loi du Talion s’applique de manière stricte. Elle consiste en la réciprocité du crime et de la peine (« Œil pour œil, dent pour dent »). Elle caractérise un état intermédiaire de la justice pénale entre le système

de Gloucester, entendent la nouvelle de la trahison d’Edgar, et s’en remettent à Edmond. Kent réprimande violemment Oswald pour la manière dont il a traité Lear. Il est surpris par Cornwall et Régane, qui le mettent au pilori. Lear survient et ne peut pas croire que sa fille et son beau-fils ait commis ce geste. Tous deux feignent d’être heureux à sa vue. Lear et Régane ne sont pas d’accord sur l’attitude que Lear doit adopter vis-à-vis de Goneril. Justement, Goneril arrive et demande qui a puni