Peut On Parler De Révolution Keynésienne

temps du capitalisme: croissance, crises et mutations des économies mondiales depuis 1850 A) Un temps industriel 1°) des vagues d’innovations … Ce qui est appelé la Révolution Industrielle est en fait un processus sur le temps long d’industrialisation du monde. Les caractéristiques fondamentales de la Révolution Industrielle sont une vision mécanique du monde (tout est compréhensible par des lois universelles, tout est rationnel) la compréhension à partir du XVIII du principe de thermodynamique

crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives. Quatrième partie : modèles post-keynesien, analyse financière et analyse de la répartition. PARTIE 1 : LES CLASSIQUES : Chapitre 1 : accumulation du capital et loi des débouchés : Les économistes à travers l’histoire ne se posent pas les mêmes questions. Les Classiques : quels

pour désigner l’ensemble des titres (actions, obligations) mais, dans ce chapitre, il ne sera pas question de ce capital-là. Quand on utilise le mot « capital » tout seul, sans adjectif, c’est au capital technique que l’on pense, celui dont on va parler dans ce chapitre. Deuxième remarque : distinguer moyen de production et facteur de production Le travail, n’est pas un moyen de production (ce n’est pas une « chose ») mais un facteur de production. Composition du capital technique : - Le capital

l’usage du prêt à intérêt. Pour la période antique, on constate que toutes les réflexions économiques sont tournées vers la recherche d’une forme de morale qu’on peut qualifier de laïque. Il - LE THOMISME: Ce terme est emprunté à SAINT THOMAS D’ACQUIN, auteur qui représente cette idéologie, au 13ème siècle. Le thomisme peut être défini comme un ensemble de doctrines théologiques, sociales et éthiques, prônées par Saint Thomas d’Acquin. Ce qui change à ce moment, c’est que les préceptes

économique En première approche, on peut définir l'analyse économique comme l'ensemble des théories qui ont comme objectif de proposer une explication de la production et de la répartition des richesses. L'analyse économique ne s'intéresse donc qu'aux biens rares, c'est à dire ceux pour lesquels il convient de trouver des règles ou des mécanismes pour assurer leur répartition. Dans la mesure où un bien est très abondant, par exemple l'air jusqu'à nos jours, chacun peut en utiliser une portion suffisante

consommation est fondée sur l’étude microéconomique des comportements individuels du consommateur. Puisqu’il est rationnel, il réglera ses achats de telle sorte qu’il y ait égalisation des utilités marginales pondérées par les prix. La perspective keynésienne se veut, elle, d’emblée macroéconomique en se centrant sur la consommation de l’ensemble des ménages. Pour J.M Keynes, le facteur déterminant de cette fonction de consommation est le revenu courant et il existe une « loi psychologique fondamentale »

Les recensements sont fiables dans les pays riches (marge de 2%) mais irréguliers en Afrique et en Asie du sud est (marge de 5%). La science démographique n’est pas exacte, les prévisions sont peu fiables, mais c’est une science très importante. On peut prévoir si il faut construire de nouvelles écoles, de nouveaux logements… L’analyse de l’évolution démographique entraîne des politiques municipales. Il y a 40 ans, la population mondiale était prévu à 15 milliards. Maintenant elle est portée

Keyns introduit la variable « chômage » qui démontre que la loi de l’offre et de la demande ne peut pas s’auto-régulariser. Critique de l’économie politique Le pdv de Marx « cette merde d’économie », il critique les catégories de l’économie politique. Il y a des différentes façons de gérer le système, via les reformes mais les MPC est toujours le même. C’est la dernière forme historiquement donc on peut l’adapter mais PAS le changer ou supprimer =>c’est une critique radicale sur la gestion du

l’inflation. La croissance s’identifie à l’industrialisation et on peut encore parler de croissance industrielle. Elle est due à une conjugaison de facteurs et d’abord la mise en place de nouvelles règles pour les échanges. a) La mise en place de nouvelles règles du jeu pour les échanges α) Un nouveau SMI Avant même la fin de la guerre on pense qu’il est nécessaire de mettre en place un SMI. Dans l’idéologie anglo-saxonne, la reprise ne peut se faire qui par une ouverture sur le monde. Un SMI est mis

Chapitre 4 : Progrès technique et emploie INTRODUCTION : Au fil du temps, les automates ont fait disparaître les poinçonneurs du métro, les pompistes et demain peut être les emplois de caissières, le progrès technique est principalement perçu par l’opinion publique comme une menace pour l’emploi. Mais cette perception est-elle scientifiquement fondée ? Les économistes et en particulier Alfred Sauvy, sans « la machine et le chômage » , ont depuis longtemps montré que le progrès technique ne fait