Peut On Penser Sans Livres

20ème chapitre, les mardis sont réservés au. De plus, à chaque fois que Burke Devore s’apprête à tuer une personne, on sait exactement par quelle rue, quelle ville, et quel Etat il traverse. Cela nous permet de rester dans la réalité, mais surtout de penser qu’un jour cela pourrait nous arriver à nous. Mais cela reste une fiction car certains éléments (comme le fait de tuer différentes personnes travaillant dans le même domaine en l’espace de trois mois et ne jamais se faire attraper) nous permettent

serait le but de la littérature ? La réflexion ne serait pas plutôt la fonction principale ? Nous pouvons penser dans un premier temps que les livres nous font rêver mais nous verrons dans un deuxième qu’effectivement la littérature nous fait plutôt réfléchir. Mais chacun s’évade à sa façon. N’importe quand et n’importe où, du moins il suit le cadre spatio-temporel de l’histoire. Rare sont les livres où il n’y a pas de cadre spatio-temporel. D’une place de village à une région paradisiaque, qu’on le

« Le parti pris des choses » qui l'a très vite fait reconnaître comme un écrivain. Il a fait de grandes études. En 1915, il reçoit la meilleure note de l'académie à une dissertation de philosophie sur « l'art de penser par soi même ». F.P dit qu'il y a un drame de l'expression, on ne peut pas tout exprimer par la parole, le langage de tous les jours ne lui convient pas. Il choisit de décrire des objets, des choses, comme si les objets pouvaient parler et donner leurs avis. (ex : description d'une

L'introduction doit présenter la problématique, l'oeuvre et son auteur et son contexte, le thème et le plan. - La problématique générale est : L'art est-il au service du pouvoir, ou au contraire permet-il de s'y opposer ? Nous verrons en quoi on peut dire que cette affiche est un instrument de contestation du pouvoir et préciserons de quel pouvoir. - L'auteur est Josep Renau (1907-1982 ) Né à Valence en 1907, Josep Renau s'est attaqué au photomontage dès 1929. Membre du Parti communiste (à

production: L’auteur a eu l’idée quand il était à l’école et il écrivait un livre complètement différent. Une des phrases de ce livre jamais publié est: «I guess that is just one of the perks of being a wallflower ». Depuis cela, il a commencé à penser aux personnages et aux événements. Cinq ans plus tard, il se réveille d’une nuit difficile où il a terminé sa relation avec son ex-copine et il a commencé à écrire. Ça lui a pris environs un an et demi écrire ce livre. Le genre et courant littéraire:

            On définit souvent la liberté comme l'absence de contraintes, la liberté de faire ce que l'on veut, à condition d'être un homme libre. La liberté est alors l'absence d'obstacles.                 Or, autrui peut lui-même être présenté comme une certaine forme d'obstacle, puisque il m'empêche, indirectement, de faire tout ce que je veux.                 Il semble alors légitime de s'interroger sur la véritable valeur d'autrui quant à sa relation avec la liberté. Limite t il ma liberté

en rendant public de fausses informations, la presse peut freiner la réflexion. Nous pouvons prendre pour exemple la photo d’Emma Gonzalez, militante américaine du non-port d’armes, à qui on a modifié une photo d’elle et fait croire qu’elle avait déchiré la constitution américaine pour décrédibiliser son discours. Ainsi, ces "fake news" cherchent à manipuler les lecteurs et de ce fait limiter leur réflexion. Par ailleurs, certains livres peuvent transmettre un message malveillant. Nous pouvons

le matière en or, comme nous le montre la référence à Raymond-Lulle. En effet une légende s’est construite autours de ce personnage, celle d’avoir trouvé la pierre philosophale et fabriqué de l’or. De plus, l’utilisation du terme « hermétique » peut se rapprocher d’Hermes Trismégiste, fondateur légendaire de l’alchimie. Il y a également la légende de saint Eloy, patron des forgerons donc référence à la transformation de la matière par la feu, qui est cité. Par ces personnage, l’auteur nous plonge

L’idée de progres peut elle servir a interpreter l’histoire ? Intro : L’idée de progrès semble être une idée assez récente dans l’histoire humaine, on peut la définir plus précisément en s’interessant a la notion d’idée, c’est ce qui est convenable par un esprit, ce qui peut être conçu par lui.Ce terme désigne donc la forme intellectuelle d’une chose. Le progrès lui, c’est la tranformation graduelle dans le sens d’un mieux ou alors d’une régression. L’idée de progrès peut donc se situer dans

quelqu’un m’attende quelque part » 1° Autour du texte. La couverture : Sur la couverture de ce livre on voit 5 personnes qui marchent dans un lieu public, on distingue 2 horloges et un lampadaire donc ce lieu est extérieur et fait donc penser à une gare. La lecture d’une des nouvelles confirme que cette scène se déroule bien dans une gare car le personnage prononce le titre «  Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » Lorsqu’il descend de son train. Le titre et sa fonction :