Peut On Penser Sans Préjugés

peut : Est-il possible, est-il légitime. place : Lieu, endroit, position, importance. autrui : Un autre homme, une autre personne. En philosophie, "autrui" est ce qui est différent de moi et que l'appréhende par ma subjectivité. L'homme est ce que j'ai en commun avec les autres, tandis qu' "autrui" est ce qui me différencie des autres, ce que je ne peux connaître totalement, à cause de ma subjectivité. Rappelons que la problématique est l'ensemble des problèmes qui gisent sous le sujet, hiérarchisés

Peut-on refuser de douter ? Il y a des choses dont on doute spontanément et des choses qu'il ne nous viendrait pas à l'esprit de remettre en question. Lorsque j' ai l'impression que l'on me ment ou quand un fait ne me parait pas évident le doute s'impose naturellement et légitimement au moins jusqu'à ce que je sois parvenu à éclaircir le problème. De même, le refus de douter peut apparaître comme tout à fait légitime et tout à fait fondé, c'est-à-dire qu'il peut reposer sur des raisons valables

rien de concret. Qu’est ce qu’apporte la philosophie? Et à qui? De par son spectre très large, la philosophie peut revêtir de nombreux intérêts et dans toute circonstance. C’est ce que nous démontrerons dans la première partie. Mais s’agissant d’un domaine très abstrait, on peut questionner l’intérêt de cette discipline et étudierons dans la deuxième partie pourquoi elle peut être considérée comme totalement inutile pour l’humanité. Enfin, nous verrons qu’en philosophant sur l’inutilité de

d’avis réfléchi sur la chose. Son discours va donc être basé sur des préjugés, ou bien sera la copie conforme de celui qu’il aura entendu sur le sujet, sans pouvoir défendre sa propre opinion. * En effet, il semble que le fait de ne pas vouloir élargir l’instruction à d’autres domaines que celui qui comprend notre vocation est tout d’abord signe de fermeture d’esprit et de préjugé : on est persuadé que rien d’autre ne peut nous intéresser ou que tout est acquis, avant même d’avoir pris le temps

Peut-on aller au-delà des apparences ? Intro : Comme le dirait Jean Anouilh : « Les apparences suffisent largement à faire un monde » Au sens vulgaire, l'apparence s'oppose au réel car elle n'est qu'un aspect trompeur de la réalité. Mais, en métaphysique, le mot apparence peut aussi désigner ce qui, dans la représentation, est donné au sujet qui perçoit, conçoit les choses. Il faut également faire la différence entre apparence : la chose derrière laquelle on se cache, et paraitre : qui est une

étymol.: philosophie il est même souvent le seul à prendre conscience de son ignorance. Exemple: Socrate, patron des philosophes, disait, en se comparant à un homme prétendument savant : 'A lotit prendre. je suis plus savant que lui. En effet, il se peut que ni l'un ni l'autre d(' nous fi(' ,sache rien d(-? bon,- seulement t, lui croit qu'il sait, bien qu’il ne sache pas; tandis que moi,, si' j . e ne sais rien . e ne crois . s pas non plus rien savoir. Il nie sembles en sommet que je suis tant t

limites à la connaissance, il peut nous expliquer l'univers et la méthaphysique. La méthaphysique est une réflexion philosophique qui a pour objet la connaissance rationnelle, donc qui s'appuie sur la raisonnement, de la nature ou des choses. Nous attendons beaucoup du sage contrairement au philosophe qui n'est jamais formel. En effet, Socrate dis lui même: « Tu seras assez sage pour ne pas croire que tu sais alors que tu ne sais pas . C'est là tout ce que mon art peut faire et rien de plus. Je ne

appuyant sur le livre que nous étudions que les préjugés « représentent eux-mêmes quelque chose de politique », quelque chose qui « fait partie intégrante du domaine des affaires humaines » (page 50). Ils jouent ainsi, « un grand rôle » (page 51). Ils préservent l’homme du risque de penser (pages 54-55) et dissimulent en leur sein, « un jugement qui a été formulé dans le passé » (page 52). Le préjugé se distingue du vain bavardage et de la bêtise car le préjugé perdure, il est ancré dans le passé, tandis

intuition, voire un préjugé, qui ferait de l’obéissance à la raison une forme de contrainte, pour ne pas dire de servitude. Cette intuition ou ce préjugé sont-ils erronés ? À quel degré ? Qu’entendre par « obéir à la raison » ? Quelle forme de liberté est compatible avec l’obéissance à la raison ? Voilà les questions que l’on doit peu à peu éclairer par ses analyses. 1. Dans un premier temps, il faut clarifier ce qu’on entend par « obéissance à la raison ». Cette formule peut être interprétée

individus et les phénomènes sociologiques. Stéréotype : généralisation simplifiée appliquée à un gp de pers. sans prendre en compte les différences de chacuns. Préjugé : une idée préconçue que l'on se fait sans connaître la personne. Un préjugé se fonde toujours sur un stéréotype. Prénotion : terme en sociologie pour désigner les préjugés. Objectivation : construction par le scientifique de son objet d'étude objective + rupture avec le sens commun. La méthode quantitative : traiter des données