Peut On Penser Seul

(Grasset – 1974), Jean GUEHENNO écrit : « Un livre est un outil de liberté ». La lecture peut avoir plusieurs effet, elle peut d’abord avoir une puissance sur l’homme, lui permettre de se sentir libre par différents moyens. Cependant elle peut aussi parfois, être un moyen d’enfermement, d’oppression pour manipuler le lecteur. Mais avant tout, elle permet d’être quelqu’un d’autre, de se retrouver seul à seul avec ces quelques lignes qui ont sur l’être humain un vrai pouvoir de réflexion, et d’évasion

elle-même, en l’employant. Il y a donc un paradoxe à dire que « je » pourrait être un autre. Si « je » désigne à chaque fois celui qui énonce le propos qui est tenu, alors « je » est précisément la seul instance du discours qui ne soit pas « autre ». C’est même seulement par rapport à ce « je », c’est-à-dire par rapport à « moi » qu’il y a des autres, qu’il y a un autre. L’«autre » est toujours l’autre

Penser par soi-même, c'est s'affranchir des préjugés, c'est-à-dire, des pensées toutes faites. Une pensée "toute faite" est une idée qui n'a pas été remise en question, qui n'a pas été passée au crible de la réflexion. On l'a en nous et on la profère parce que... parce que quoi au fait ? Parce que c'est un professeur qui nous l'a apprise, parce qu'on l'a lue quelque part, parce que tout simplement elle est venue en nous au fil des années... Le préjugé n'est pas une pensée véritable car c'est quelque

Philosophie Le texte que nous proposons d'étudier est un extrait De la démocratie en Amérique de Alexis de Tocqueville. Le thème de ce texte est, une nouvelle face de l'asservissement de nos sociétés contemporaines. Au premier abord, on pourrait penser que seuls des peuples dirigés par des despotes et des tyrans peuvent subir l'oppression et que nos démocraties sont protégées de ce fléau. En effet, dans notre histoire ces régimes ont tenu le peuple sous leur autorité, les privant de leurs libertés

résoudre la première partie de ces questions, nous définirons d'abord le terme de conscience puis nous déterminerons qu'est ce qu'une « donnée immédiate et indubitable ». 1.La conscience est « une substance dont toute l’essence ou la nature est de penser » (Descartes, Discours de la Méthode , 1637). En d'autres termes, selon Descartes, la conscience est « une chose qui existe de telle façon qu'elle n'a besoin que de soi-même pour exister »(Les Principes de la philosophie, 1644) qui a pour fonction

Initiation à la philosophie Peut-on vivre seul? Marc-Olivier Lalonde Groupe : 507 Travail remis à : M. Corbeil ECR/Philo 27 may 2012 Peut-on vivre seul? Introduction La vie en société apporte son lot de plaisirs mais aussi de déplaisirs. Bien souvent nous tenons à nous isoler de telle sorte que nous n'avons pas à soutenir tous les éléments négatifs que la vie nous impose. Mais peut-on vivre seul? Je vais vous démontrer que nous ne pouvons pas vivre seul, parce que l’homme est un

matières premières, des bâtiments, etc) et v le capital variable (le coût de la main d'oeuvre qui fait "varier" la valeur de l'ensemble). Or, maximiser la survaleur relative SV / (c + v), cela revient à maximiser [SV:v] / ([c:v] + [v:v]). Mais [c:v] ne peut qu'augmenter sous l'effet de la compétition économique qui pousse tous les capitalistes à investir dans des moyens de production de plus en plus modernes, et [v:v] est constant (= 1). Dès lors, pour maximiser SV / (c + v), le capitaliste n'a pas d'autre

d'un inconscient, une partie psychique à laquelle il n'a aucun accès direct. Nous pourrions alors nous demander si l'homme est responsable ou non de ce dont il n'a pas conscience. En effet l'homme possède une conscience, celle-ci lui permettant de penser et par le même de savoir qu'il existe. D'en prendre conscience. Car il est vrai que l'homme a conscience de son existence et de l'existence de ce qui l'entoure. Cette conscience lui donne un pouvoir sans limite sur lui-même. Si l'homme est conscient

« mineur » est à prendre au sens métaphorique et désigne celui qui ne veut pas penser par soi-même, de manière autonome, mais préfère laisser d’autres gens penser pour lui ! Autrement dit, minorité => synonyme de dépendance et d’hétéronomie, dépendre de quelqu’un d’autre, recevoir sa loi de quelqu’un d’autre… Idée implicite : penser par soi-même serait une activité pénible et difficile… Pourquoi ? Il ne m’est pas nécessaire de penser, pourvu que je puisse payer ; d’autres se chargeront bien pour moi de

œuvre d’art n’a rien à voir avec un ensemble de principes, d'énoncés, de modèles de pensée, de règles de conduite. Tout d’abord, l’analyse de cette conception de l’art est une étape primordiale pour comprendre véritablement le sens de cette façon de penser, puis sa confrontation avec un concept opposé en révélera les insuffisances, ceux-ci mettrons en évidence le faite que, l’artiste puise, depuis des centaines d’années, son inspiration dans se qui l’entoure. Et enfin, on abordera le fait que les mouvements