Peut On Se Passer De Toute Religion

Phénomènes de l'incroyance Le phénomène de croyance dans les sociétés. On peut se poser les questions sur l’incroyance. L’incroyance n’est pas une absence de spiritualité. I. La frontière entre la croyance et l’incroyance : Athée : ne pas croire en l’existence de Dieu et rien d’autre que le monde sensible. Ce mot apparaît au 16ème siècle durant les guerres des religions  stigmatiser les protestants. Agnosticisme : attitude selon laquelle ce qui dépasse les apparences sensibles est inconnaissable

Aujourd’hui on parle beaucoup de religions et les discours sont ambiguës, réactivant des prises de position anciennes, parfois extrémistes. L’intégrisme se trouve dans une position renforcée par la peur de l’étranger, par la crainte de l’Autre. Religieux et athées sont sur leurs défensifs, et les dialogues s’avèrent difficiles. Pourtant, l’époque des affrontements est terminé, les rôles ont été déjà bien définis au siècle dernier. Il me semble qu’il est important de reparler de l’héritage

« Quelques réflexions sur place de la religion dans la société moderne », Fac-réflexion n° 31 – décembre 1995, pp. 4047 de la revue La pagination présente ne correspond pas à celle de la revue QUELQUES REFLEXIONS SUR LA PLACE DE LA RELIGION DANS LA SOCIETE MODERNE Neal BLOUGH Des sociologues nous viennent aujourd'hui certaines des analyses les plus fascinantes de l'évolution culturelle, la part du « religieux » comprise. Fascinantes et éclairantes, mais non pas infaillibles – bien entendu. Au

Introduction La raison humaine peut-elle tout connaître ? La science est souvent présentée aujourd’hui comme la discipline présentant les garanties de fiabilité les plus grandes dans la recherche de la vérité. Mais la science n’a-t-elle pas des limites ? Les questions métaphysiques et existentielles, portant sur un éventuel « au-delà » de la nature visible permettant de donner sens à l'univers et à la vie humaine, ne demeurent-elles pas l’apanage de la religion? Dans le présent texte, tout l’effort

croient aux Elohim. Les Elohim sont des extra-terrestres. Elohim veut dire « ceux qui sont venus du ciel » en Hébreux. Ils disent que le terme Elohim est incorrectement traduit dans les bibles des autres religions par le terme « Dieu ». Selon les Raëliens, ce qui explique que les autres religions croient en un Dieu tout puissant, c’est que les Elohim sont tellement avancés technologiquement, on dit 25000 ans en avance sur Terre, que nos ancêtres les ont considérés comme des dieux. La conception

en France. Le roi tient lui-même son pouvoir de Dieu : la religion est donc fortement imbriquée dans tous les rouages de la société. La Révolution Française va brusquement renverser cette tendance, le rôle de l’Eglise se trouvera réduit, sa place dans la société remise en question et la conception du pouvoir modifié. Révolution : Etats Généraux (5 mai 1789 au coup d’Etat du 18 Brumaire) Antireligieux : sentiment qui refuse les religions Période de changements profonds, dislocation du lien

Philosophie des religions Introduction : Ibn Rushd, le Ben Rushd des juifs et l’Averroès des Latins a été lu, traduit et étudié en trois langues, l’arabe, l’hébreu et le latin. On a aussi tenté de l’enraciner dans trois communautés religieuses : la sienne propre, l’islam, le judaïsme et le christianisme. C’est dire qu’Ibn Rushd peut être légitimement considéré comme l’un des pères spirituels de l’Europe. Les récentes rééditions de l’œuvre d’Averroès, de même que les travaux de philosophes

TexteLa Grand’monarchie de France Claude de SeysselJe veux montrer que la monarchie de France est gouvernée par trop meilleur ordre que nulle des autres dont nous ayons connaissance à présent et dont peut-être il soit mémoire par histoire ancienne […]Vivant le roi selon la loi et religion chrétienne, ne peut faire choses tyranniques. Et s’il en fait quelqu’une, il est loisible à un chacun prélat ou autre homme religieux bien vivant et ayant bonne estime envers le peuple, le lui remontrer

Toute vérité a-t-elle besoin d'être prouvée ? Alain (XIX-XXème) Claude Bernard (XIXème) Spinoza Blaise Pascal Thèse : Toute vérité a besoin d’être prouvée. Antithèse : La vérité n’a pas nécessairement besoin d’être prouvée. Introduction : Qu’est-ce que la « vérité » ? C’est la conformité de ce que l'on pense et de ce que l'on dit d'une chose. Sans elle nos connaissances seraient limitées ou incertaines. Puis expliquons ce que signifie "prouvée" : cela veut dire que

effet être un croyant « sincère » ? Quelle liberté peut-il exister dans la pratique religieuse, attendu que son caractère social (tradition, théâtralisation de la piété comme vertu sociale – les dévots, vrais ou faux, sont honorés, le pieux a bonne réputation auprès des siens…) et l’obscurité de ses mystères tendent à pérenniser la minorité en l’homme ? La foi est-elle un obstacle au progrès des Lumières, c’est-à-dire au progrès humain ? Il en va peut-être ici également de la spécificité des Lumières