Peut On Vivre Sans Oublier

Est-ce enfouir sous terre pour ne plus voir, ou bien donner sépulture ou stèle en mémoire de ce passé ? A première vue, on aurait affaire à une volonté d'oubli du passé; mais quel passé, est-ce les bons pou les mauvais souvenirs qui doivent être oubliés ? Non, là n'est pas le problème, la nature des souvenirs n'a pas de réelle importance; ce qu'il est nécessaire de savoir, c'est si cette abstraction du passé est indispensable, et si tel est le cas, quel est son but et la validité du dit but

du mal à aimer par faute de se retrouver dans mon cas? Oui, c'est vrai, toute personne est unique en son genre; et toi, t'es unique en ton genre. Des fois, j'aime bien vivre dans mes rêves que vivre dans ma réalité; parce qu'au moins dans mes rêves, je sais te voir, je sais te parler, je sais t'entendre, je sais t'aimer, je sais vivre ton amour; comprends que c'est plus fort que moi; la manière de dire les choses fait voir la manière dont on les sent; et je sais que t'as compris ce qui se passe en

qui est incapable de s’asseoir au seuil de l’instant en oubliant tous les événements du passé, celui qui ne peut pas, sans vertige et sans peur, se dresser un instant tout debout, comme une victoire, ne saura jamais ce qu’est un bonheur et, ce qui est pire, il ne fera jamais rien pour donner du bonheur aux autres. Imaginez l’exemple extrême: un homme qui serait incapable de ne rien oublier et qui serait condamné à ne voir partout qu’un devenir; celui-là ne croirait pas à sa propre existence, il ne

sentiment négatif qui nuit à notre état de plénitude. C’est donc un obstacle dans notre quête du bonheur. De plus selon Épicure, notre propre mort, n’est pas quelque chose dont l’on peut avoir peur. Il pense notamment que « la mort n’est rien pour nous ». En effet elle n’existe pas pour les vivants, car aucun vivants ne peut expérimenter la mort. La vie et la mort s’excluent réciproquement ; soit on est mort, soit on est vivant. Donc l’état dont nous redoutons tant est un état que nous allons jamais

Vivre en société : la société vient de socius, s'associer. Donc vivre en société c'est faire partie d'un groupe qui permet l'entraide et de vivre plus sereinement. A quoi bon est une expression commune qui signifie "A quoi cela sert-il ?" ou même "Est-ce que cela vaut la peine ?", c'est une expression péjorative. Cela présuppose que vivre en société n'a pas d'intérêt. Se poser la question sur l'intérêt de vivre en société est légitime ; en effet, on peut se demander si cela en vaut la peine, après

philosophiques différentes concernant le bonheur. Et ensuite je vous ferai part de ma position. Certains, comme les philosophes de l'Antiquité, suggèrent l'idée que le bonheur peut être parfaitement maîtrisé mais ils ne s'accordent pas nécessairement sur la manière de l'atteindre. Ainsi, Épicure pense que l'homme peut atteindre une maîtrise parfaite du bonheur et que pour cela, l'homme devait jouir le plus possible et souffrir le moins possible. L'homme doit également satisfaire seulement ses désirs

Dissertation : « L’homme qui regarde au loin ne voit pas la prairie devant lui » Comment bien vivre sa vie ? Faut-il écouter la sagesse du proverbe amérindien "L'homme qui regarde au loin ne voit pas la prairie devant lui"? Ou vaut-il mieux vivre au présent ou se projeter dans le futur? Ou encore, vaut-il mieux être heureux de ce que l'on a ou toujours rêver de plus? Le sujet va traiter de personnes qui ne vivent que pour le présent, de celles qui n’existent que pour le futur, ensuite le thème

ne pas mettre envies et ambitions de côté. De même qu'une personne qui accepte la réalité trop à l'extrême et, qui a « trop » les pieds sur terre ne se permet plus d'être heureuse. Toutefois une personne qui est exagérément idéaliste, jusqu’à en oublier la réalité, en arrivera à ne plus mesurer les conséquences de ses actes. Dès lors, je poserai les questions suivantes, pourquoi faut-il accepter le réel ? En quoi le fait de l'accepter nous rend-t-il adulte ? Pour quelles raisons l'idéal ne doit-il

Si j'étais un juge et toi mon accusé je te condamnerais à m'aimer. Si un jour du devais me tuer n'utilise pas un poignard mais cesse seulement de m'aimer et le coup sera fatal. Mon cœur peut s'arrêter de battre mais pas de t'aimer. Tu es tout pour moi et puisque ma vie n'est faite que pour toi alors ma vie ne vaut rien si tu n'es pas là. Tu m'as demandé de choisir entre ma vie et toi, j'ai répondu ma vie, et t'es parti sans savoir que ma vie c'était toi. J'aime tes yeux mais je préfère

L’homme « ne peut apprendre à oublier », et il reste « accroché au passé ». L’oubli lui est donc impossible, lui qui ne peut même pas apprendre à oublier. Au lieu de cela, il vit continuellement en liaison avec le passé, comme accroché à lui et ne pouvant s’en décrocher. Le passé est la « chaîne » de l’homme, chaîne dont il ne peut se défaire, qui le suit sans cesse inexorablement, quoi qu’il fasse. Le terme de « chaîne », terme ici négatif, peut s’entendre en deux sens soulignant l’implacabilité