Peut On Vivre Selon La Nature

les désirs nécessaires à la vie et les désirs nécessaires à la tranquillité du corps. Épicure dit qu'il faut s'abstenir de désirs vains pour vivre, il faut aussi éviter la souffrance, le trouble, obtenir la tranquillité du corps et l'ataraxie (la paix de l’âme). Nous pouvons faire ressortir certains points clés (idées) de ce texte: l'homme a une nature (il y a ainsi des désirs naturels), ensuite il y a la recherche du plaisir physique et finalement la recherche de l'ataraxie de l'âme. À partir

Les Vraies richesses de Jean Giono ; 1936. Jean Giono est un écrivain, traducteur, romancier et essayiste français du 20ème siècle ; dans ses romans et dans ses essais, il a toujours accordé beaucoup de place aux liens entre l'homme et la nature, si bien que ses histoires se sont souvent déroulées dans un cadre provincial et rurale et que les éléments naturels y ont pris autant de place que les être humains. Sur les questions de la guerre et de la vie moderne, il a souvent manifesté une contestation

La nature des hommes est de fuir la douleur et de rechercher le plaisir, mais tous les plaisirs ne sont pas bons , c'est la raison qui permet à l'homme de se représenter les choses telles qu'elles sont et de se libérer des craintes comme celle de la mort et de discerner entre les plaisirs désirables qui sont naturels et nécessaires et les autres, alors que la prudence permet d'agir en dirigeant la volonté en vue du bonheur comme l'ataraxie. Dès lors, qu'est-ce que bien vivre ? Chaque

La culture Introduction 1 I. Nature et culture 2 A. L’homme et l’animal 2 B. Y a-t-il une nature humaine ? 4 II. Le procès de civilisation 7 A. La culture comme éducation de l’homme par la société 7 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 10 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 14 Conclusion 16 Annexe 16 Illustrations 18 Sujets de dissertation 18 Introduction

tous vécu ce que l’on nomme un cas de conscience : cette expérience témoigne du fait que nous avons un pouvoir de décision qui peut à tout moment avoir besoin de se déterminer malgré des circonstances peu favorables. Ainsi si je suis forcé de porter un faux témoignage sous peine de mort, malgré ces terribles circonstances, je sais néanmoins que je dois faire un choix. On peut se demander toutefois dans quelle mesure la conscience n’est pas en vérité déterminée à son insu et si en vérité tout choix

de tenter d'être un « honnête homme » en agissant « conformément à la nature ». Ici, l'auteur, par sa thèse, tente de nous montrer qu'il est nécessaire de ne pas aller à l'encontre de sa personnalité « dans un état conforme à la nature ». Pourtant, pour rester dans cet état d'accord à la nature et afin d'aider les autres à y demeurer, il semble qu'il soit important de faire en sorte que les individus agissent selon « la nature ». Ce qui nous amène alors à un véritable paradoxe de situation. Mais

êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. •fait : Ce qui est ou ce qui arrive, et qui se donne ou même s'impose à nous dans l'expérience. On distingue souvent le fait brut, qui s'offre

La culture Introduction I. Nature et culture A. L’homme et l’animal 1. La culture, une spécificité humaine ? 2. La prohibition de l’inceste : la rupture entre nature et culture B. Y a-t-il une nature humaine ? 1. La culture est une seconde nature 2. Peut-on « être naturel » ? 3. L’existence précède l’essence II. Le procès de civilisation A. La culture comme éducation de l’homme par la société 1. La perfectibilité, condition de toute culture

voie à suivre, une manière de se conduire. Une règle de vie est donc un précepte qui nous dit comment il faut vivre. « Bonne » règle de vie : double sens. Une règle de vie peut être « bonne » au sens où elle nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le projet d'accomplir

Aurèle), puis exercé diverses influences, allant de la période classique en Europe (en particulier au XVIIe siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Cette philosophie exhorte à la pratique d'exercices de méditation conduisant à vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie. Il s'agit d'une absence de passions, qui prend la forme d'une absence de souffrance. Avant Propos Il ne nous reste que des fragments des premiers Stoïciens