Peut On être Indifférent Au Bonheur

La Lettre à Ménécée est une lettre écrite par le philosophe Épicure à son disciple Ménécée. Le texte résume la doctrine éthique d'Épicure et propose une méthode pour atteindre le bonheur, en même temps qu'elle en précise les conditions. Avec la Lettre à Hérodote et la Lettre à Pythoclès, la Lettre à Ménécée fait partie des rares textes d'Épicure qui sont parvenus jusqu'aux modernes Présentation Le texte de la Lettre nous parvient grâce au doxographe Diogène Laërce, qui le retranscrit au livre X

Antigone nous fait prendre conscience que le dénouement ne sera pas une fin heureuse mais plutôt tragique. Car à l'heure où elle dicte ses paroles au garde elle se sait condamné et sait que dans quelques minutes elle ne sera plus de ce monde. On peut tout d'abord observer le contenu de l'aveu. A travers sa lettre Antigone exprime le fait qu'elle a des remords mais elle échapper de manière indirect le fait qu'elle s'en veux par rapport à l'acte qu'elle a commis, celui d'avoir enterrée son frère

Dissertation corrigée « Princesse de Clèves »Sujet : comment peut-on s’expliquer le goût des lecteurs et des spectateurs pour des fictions dont les personnages, inlassablement, souffrent d’aimer ? Support : œuvre intégrale « la Princesse de Clèves », parcours « individuel, morale et société » et vos connaissances personnelles. Plan proposé : I Le lecteur apprécie des protagonistes en proie à des sentiments et émotions fortes. A) Importante de la mise en place de personnages extraordinaires : ils

C’étaient eux, les premiers hommes. CF: Le roman s'ouvre sur la naissance de Jacques et raconte son enfance dans un petit village en Algérie, la vie avec sa mère et sa grand-mère, les jeux avec ses camarades... Jacques grandit avec un seul parent et on peut lire entre les lignes l'absence de l'autre AC : Un seul parent… ma mère… Mon père est «  mort au champ d’honneur comme on dit", en 1914. J’avais un an. Ma mère... calme, impénétrable, silencieuse comme la mer. J’ai passé mon enfance et mon adolescence

mer qui " miroite " et de " l’immense azur ". Sa chevelure en est " presque bleue " son visage presque " sanglant " de rouge tamisé et son pied comme " de marbre ". La luminosité est si forte qu’on ne sait pas la couleur de ce marbre de même qu’on ne peut distinguer la couleur de ses " pendeloques ", ni de celle du " bronze " que sa silhouette évoque. Toutes ces couleurs vives pénètrent objets et personnage avec une telle force dans la 1ère moitié du poème que l’auteur n’en spécifie plus une seule

images parfois du quotidien comme le faisait Apollinaire dans « poèmes à Lou ». Néanmoins chacun interprète le poème à sa façon car chacun ne ressent pas la même sensibilité face à un poème c'est à dire qu'il peut toucher une personne et en rendre indifférente une autre. La poésie peut aussi être employée pour des objectifs différents , au Moyen-Age elle été utilisée par les troubadours afin de séduire la femme du seigneur , plus tard elle sera utilisée dans le but d'être lue devant la cour et donc

trouve l'amour, on le maitrise mal et on fait des erreurs, qui ne sont pas irréversibles mais qui mettent du temps à s'effacer, alors... il faut du temps pour maitriser ses émotions, pour maitriser l'amour que l'on porte à une personne pour ne plus être maladroit. Je connais toutes tes qualités , d'ailleurs je connais tout de toi. Je ne suis qu'une simple fille mais quoi qu'il advienne je serais toujours là pour toi, tout le temps, dans n'importe quel moment de la vie... Joyeux anniversaire BN…

Sa description est minutieuse et peut nous permettre de visualiser l'endroit avec facilité. Il est attentif au mondre détails, comme le montre cette partie de phrase par exemple " [...] tandis que sur le gravier " ( lignes 5,6 et 7 ) L'auteur ne laisse rien au hasard, comme si pour lui, tous les paramètres de sa rencontre avec Gilberte méritaient d'être étudiés. Cette description est interrompue par l'apparition de Gilberte. Cependant,pour le narrateur, on peut trouver les mots justes même pour

cessons de rêver d’une existence plus libre tout en nous enferrant de plus en plus dans les obligations, dans les pièges domestiques. » Douglas Kennedy Libre, un mot qui nous émeut, un mot qui nous fait rêver. Nous avons tous voulu être libres, sans contrainte, sans obstacle. Dès l’enfance nous cherchons à l’acquérir, à nous sentir libre, libre de mouvements, libre de pensées, libre de choix, n’est-ce pas dans la nature de l’homme ? Mais comme Douglas Kennedy l’écrit, nous courrons

avarie et les pertes, pour lui « le but primait tout », puisqu’on dénote de sa part un culte du courrier, souligné aux pages 47, 89, 103 ou 105. En plus, derrière une détermination et une volonté politique d’éviter le moindre risque possible pouvant être fatal pour son entreprise (p.88, 89,90) pouvant se traduire cependant surtout par une forme d’inhumanité, (p.47 ; p.85) on constate un orgueil sans vanité, fondé sur le sentiment de l’efficacité de sa politique et de la justesse de ses décisions