Peut On être Indifférent à La Beauté

Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec monsieur Machin, un jeune homme cossu. Il est juste-milieu, botaniste et pansu. Quant aux faiseurs de vers, ces vauriens, ces maroufles, Ces fainéants barbus, mal peignés, il les a Plus en horreur que son éternel coryza, Et le printemps en fleurs brille

Depuis un siècle, L’Oréal s’est engagé dans l’aventure de la beauté, pour devenir aujourd’hui le leader mondial de l’industrie des cosmétiques. L’histoire de L’Oréal est celle d’une quête qui ne s’achèvera jamais. Une quête d’innovation, initiée il y a un siècle par un chercheur et inventeur, Eugène Schueller, soutenue par des efforts constants de recherche, et portée par un esprit pionnier toujours vivace. Une quête d’excellence, à travers des produits toujours plus performants, plus créatifs

que soit notre sentiment à l’égard de la publicité, elle ne peut pas nous laisser indifférent. Parce qu’elle est partout et habille notre vie quotidienne, hantant les esprits des commerciaux, peuplant l’imaginaire des consommateurs, supportant la croissance des annonceurs, la publicité est devenue un véritable phénomène de société. Son pouvoir médiatique croissant et sa force de persuasion, l’ont dotée de rôles, fonctions et responsabilités auprès de la Société mais aussi à l’égard des individus

réalités.et l’œuvre d’art comme un monde a part, imaginaire, et sans aucun lien réel avec le monde qui nous entoure. Ainsi le roman ou le film déréalisent en quelques sortes notre quotidien. A cause de cette distance, nous pouvons alors nous demander quel rapport existe-t-il entre l’art et l’imagination A-l’art I-Concept de l’art 1-définition et problème Dans l’usage courant, on associe souvent le thème art à celui de beauté.une œuvre d’art pourrait être définir comme la représentation d’un

Par représentation, comprenons l’activité de représenter qui revient, pour Platon, à l’activiter d’imiter, ce qu’il nomme la « mimetik ». Platon regroupe dans sa « mimesis » tout ce dont l’homme peut s’accaparer pour « imiter », c’est-à-dire autant les arts plastiques que la poésie, la tragédie, la musique ou la danse. Maintenant, l’art n’est-il qu’une représentation de phénomènes ? Nous tenterons de répondre à cette problématique en analysant la nature de l’image selon Platon. Nous nous pencherons

laisser conduire par la seule raison, renoncer à ce qui est de l'ordre de l'immédiat, qui entraîne à la violence: aux appétits qui déterminent? Pourquoi poser la question si la réponse est immédiate? Compréhension du sujet: premier effort de définition. être marque la continuité, l'action orientée, patiente, qui pousse toujours dans le même sens (s'oppose à devenir, changer "faire" au coup par coup). raisonnable ce qui est conforme à la raison, à la loi morale: faire son devoir par devoir, indépendamment

claudel Philippe Claudel « L’écriture, c’est à la fois une respiration, une nécessité, un vrai bonheur. »1, ainsi décrit l’écrivain son rapport à l’écriture Philippe Claudel est né en 1962 dans une famille prolétaire, à Lorraine . Il est à la fois un écrivain, scénariste et enseignant. Après avoir fini ses études de littérature, d’histoire de l’art et de cinéma à Nancy il enseigne en collège, en lycée, dans des hôpitaux auprès d’enfants malades, à la maison d’arrêt de Nancy et dans un établissement

toutes les personnes handicapées. Dans « Freaks », Tod Browning, a soulevé cet axiome à son expression plus éminent. Au début du film, le bonimenteur commente sur les freaks et leurs code, tout au long du film on voit que les freaks sont toujours unies, si quelque blesse a un d’eux, on blesse à tous les autres. Browning, lui-même était un connaisseur de l'exclusivité monde du cirque et des foires, peut être qu’il a vécu ça où il a travaillé comme clown, comédien, magicien, danseur et infinies variétés

matériels, d'autres non), non seulement ils appartiennent à des cultures parfois sans rapport les unes avec les autres, mais les intentions qui ont présidé à leur production ne sont guère comparables : rendre gloire à un dieu, éloigner les mauvais esprits, célébrer la grandeur d'un roi, etc. Ces intentions nous sont souvent mal connues, voire même impénétrables : si l'on peut être ému par l'art pariétal préhistorique, nul ne sait au juste pourquoi on a peint les murs de Lascaux. Or précisément : s'il est

de tristesse et d’amour à la suite de la mort d’un être qui lui est très cher, sa fille Léopoldine COMPREHENSION DU POEME V1 : « Demain dès l’aube » : le poète est si obsédé qu’il sacrifie son repos, son sommeil, il part dès l’aube. Il doit avoir passé une nuit blanche attendant cette aube. V2 : « Je partirai » : enjambement donnant une importance particulière à ce mot. Ce qui le préoccupe c’est de partir. Le mot est ainsi mis relief. V2 : « Vois-tu » : il parle à l’absente = obsession