Phallus

" la ségrégation sexuelle (domination de l’homme) ne réside pas dans le comportements domestiques imposés par l’école ou l’état "   - cognitif : Qui permet de connaître - coercitif : Qui a un pouvoir de contrainte - phallique : Qui réfère au phallus (= sexe en érection) ,symbolisme de domination de l’homme - paradigmatique : Qui appartient à un paradigme ,à une déclinaison - épistémologie : étude de l’histoire, des méthodes , des principes des sciences en psychologie ou analyse des notions

qui préside aux concours de théâtre, le nom même de tragédie vient d’ailleurs de son surnom de bouc (tragodios). Il est particulièrement honoré à Athènes lors des Grandes Dionysies, mais aussi un peu partout en Grèce et souvent sous la forme d’un phallus en érection car il est lié à la fertilité. Poséidon, le dieu de la mer, Hadès, le dieu des morts, et Déméter, déesse des moissons et de la végétation sont les frères de Zeus et de Héra. Poséidon est le dieu de la mer, des chevaux, des tremblements

de l'expulsion se trouve augmenté. Le Stade phallique (3/5 ans), à trois ans, l'individu aborde une phase extrêmement importante de son développement de manière générale et notamment de celui de ses fonctions sexuelles. Comme le nom l'indique, phallus qui signifie l'organe viril, soit le pénis, l'enfant perçoit en celui-ci le symbole de l'autorité. D'ailleurs c'est cette perception de l'autorité qui va occasionner une certaine tension dans la relation de l'enfant avec ses parents. D'où le fameux

psychiquement), handling (soin corporel, caresse …), object presenting (présenter à l’enfant le bon objet au bon moment) - la métaphore paternelle (père réel  amant de la mère ; imaginaire  qui prive l’enfant de sa mère, père œdipien qui a le phallus ; symbolique) Cours 5 et 6: Les étapes de développement selon les périodes de la vie - le développement psychomoteur (tonus, posture), cognitif (la théorie piagétienne: l'intelligence et ses stades  intelligence sensorimotrice (0-2ans), intelligence

il va être conduit à reporter cette toute puissance sur l’image qu’il se fait du père et lui vouer une certaine idolâtrie, lui le seul à pouvoir apporter à la mère ce dont elle à besoin, lui qui sera reconnu comme détenteur du pouvoir, porteur du phallus. En grandissant l’enfant sera donc amené à reconnaitre une certaine autorité à ses parents. Le père étant aussi garant d’une certaine distance entre la mère et l’enfant dit tiers séparateur par J. Le Camus, il sera donc porteur de l’interdit et

phase phallique sur le fait de posséder un pénis, ce désir est si grand qu’elle va finir par se définir comme inférieure au sexe masculin de par sa privation physique. La castration est vécue comme «le manque symbolique d'un objet imaginaire»4, le phallus, mais surtout le manque de puissance. En dépit de cette absence, la fillette va abandonner toute pratiques masturbatoires. Freud explique dans cet extrait que dans les cas extrêmes, la jeune fille deviendra une «homosexuelle manifeste»5 qui exprimera

développement pacifique. Ses représentations accentue sa dimension phallique. Dans l’hindouisme védique et dans le bouddhisme, l’épée et le “varya” revêtent le même symbolisme; le terme sanskrit de “varya” désigne tout ce qui est masculin/viril, dont le phallus et la semence. Il signifie aussi la “foudre” et symbolise tout ce qui relève symboliquement de l’éclair. La massue à lancer, attribut d’Indra, se nomme également “varya”. Comme le marteau de Thor, cette massue d’Indra peut ôter comme donner la vie;

l’existence de nouveaux objets, et il ne se trompe jamais. Cette infaillibilité de nomination renvoie au Phallus, objet imaginaire auquel l’enfant doit s’identifier (cfr. J. Lacan, séminaire V, 05/02/58) d’une part, « signifiant destiné à désigner dans leur ensemble les effets de signifié, en tant que le signifiant les conditionne par sa présence de signifiant (J. Lacan, Ecrits, La signification du phallus, p. 690) » d’autre part. Il s’agit bien d’une fonction en tant qu’elle tente ici d’écrire un rapport

oral féminin. Et il pose le problème universel des mères célibataires qui veulent se passer des hommes. Chez des mères célibataires, il y a trois générations de femmes. La mère et la grand-mère sont folles de leur fille et la trai­tent en garçon-phallus à tête rouge, le cha­peron rouge du gland décalotté. Le masculin est vu par elles trois comme un loup dévorant. Chez la grand-mère se trouve le masculin, l’animus de son père, qui dévore les petites filles. Le cannibalisme dévorera le sang (petit

le transfert que cette dernière aura à effectuer de sa mère à son père, le garçon ayant la facilité de rester attaché à sa mère. Ensuite, le garçon prend conscience que l'objet du désir maternel se trouve en fait chez le père, lequel possède le phallus attribut de l'autorité et de la puissance allant jusqu'à penser que celui-ci pourrait lui enlever cette part de virilité. Tandis que la fille à l'impression qu'autrefois elle possédait un pénis et que la mère le lui a pris. Elle se tourne donc naturellement