Phallus

L’enfant va découvrir aussi que le père représente une menace potentielle, qui accapare la Mère. Période de repli, et des premières solitudes. Deux concepts sont a observés : Angoisse et castration : chez le garçon il y la peur de la perte du phallus. Chez la fille la blessure de l’absence du pénis. Complexe d’Œdipe : L’enfant est en conflit avec le parent de même sexe et à de grands sentiments pour la personne de sexe opposé ; ❖ La période de latence : La latence couvre la période qui

le garçon d'un point de vue psychanalytique. Les deux complexes se caractérisent par une suite de faits, qui est la même chez tous les petits enfants. Chez le garçon, celle ci est :  « J'ai 4 ans. Je sens des excitations péniennes  J'ai le Phallus et me crois omnipuissant  Je désire à la fois posséder sexuellement mes parents, être possédé par eux, et supprimer mon père  J'ai plaisir à fantasmer mes désirs incestueux  Mon père menace de me punir en me châtrant  Je vois le corps nu

métaphorique pioche à la cantonade ses images dans le marais des amours vénaux ; de belles pages sont consacrées à ces femmes de petite vertu. La sexualité bestiale satellisée par le phallogocentrisme, l'hallucination obsédante de l'hyperpuissance du phallus (qui confine au culte narcissique) ravalent l'amour à un négoce sordide. Un beau roman, donc, et un style remarquable.

soi est extrêmement violent. * pulsion/instinct: la pulsion peut être refoulée -le rêve du peigne: une fille s’est vue offert un peigne, elle en est réjouie. Interprétation de Freud= un peigne=un phallus=un homme Pourquoi le phallus est un peigne pour elle? La jeune fille appartient à la bonne société juive orthodoxe. Elle rêve qu’on lui offre un homme pas juif. -le rêve de la rêveuse contestatrice: rêve d’une ménagère qui devait tenir un dîner

manifestation de la castration : il est retourné à l'état de « sujet barré », face à « le signifiant qui vient de l'autre » (95). Real castration ici rejoint le manque imaginaire du phallus maternel ». Zambinella est dans une position où elle / il doit se cacher de la société, parce que sa forme très expose le monde à la perte du phallus, et proclame un «être - pour - la castration » qui survient sur ​​« l'être-pour -la-mort ». Zambinella est « castration personnifiée. Sarrasine, quant à lui, est porteuse d'une

femme dans la nature, argument « biologique » utilisées pour dénigrer « l’Autre ». Elle utilise en outre l’approche psychanalytique de penseurs tels que Freud qui affirme que la fillette toute sa vie se sent dominée par le mâle dont elle envie le phallus, pour tenter de comprendre les modalités de l’aliénation de la femme. Enfin, elle adopte le « point de vue du matérialisme historique », et reprend l’analyse d’Engels, qui affirme que l’évolution sociale de la femme, inférieure par sa force physique

de sa propre parole l’expose à son tour à un rapport de soumission vis-à-vis de Marie : c’est elle qui va faire la leçon. II/ UN RAPPORT DE FORCE INSOLITE. Aux rapports professeurs-élève, achevé par le viol-crime (le couteau représente le phallus), succède le rapport bonne-professeur, qui inverse totalement la situation traditionnelle du dominant dominé. Cette inversion dramaturgique assez spectaculaire que l’on retrouve au niveau [Inversion reprise par Jean Genet dans Les bonnes]: -Physique

et leur réussite dans leurs affaires. On peu s'avancer jusqu'à dire que leur relation ambigüe et homosexuelle où bisexuelle même si elle n'est pas révélé clairement certains élément du film sont assez explicite comme la canne, symbole primitif du phallus et métaphore du désir de Ballin. Canne que ne quitte jamais Ballin ce qui le maintien dans sa position de dominant. Lors de leur première rencontre Ballin montre sa canne et lorsqu'il retire le fourreau elle devient un poignard, alors la caméra fait

moment où la petite fille ne peut que constater qu’elle n’incarne pas le phallus maternel et qu’elle ne comble pas son manque. Bien sûr, la naissance de Susan ne peut pas être considérée comme une cause, elle n’est qu’un élément déclencheur qui révèle le leurre imaginaire du premier temps de l’Œdipe. Ce faisant, elle confronte Gabrielle à des énigmes insolubles : qui est-elle – si elle n’est plus le bébé (le phallus) ? Qu’en est-il du désir énigmatique de la mère ? Est-il incontrôlé ou assujetti

« menace rouge » (l.1) qui insistent sur quelque chose d’agressif. C’est à la fois une métaphore du sang, mais le rouge a aussi une connotation érotique pour les surréalistes. « L’épée » évoquée ligne 1 semble donc être une métaphore pour désigner un phallus. En outre, la femme a un côté enfantin, comme l’exprime la personnification « ses mains nous tirent la langue » (l.8). La femme est également montrée comme une mère, c’est-à-dire comme quelqu’un qui donne la vie, grâce aux termes « semant » (l