Phedre Coupable Ou Victime

blanche, figure de la victime tragique juste avant le sacrifice et l’archétype de cette figure mythologique tragique c’est Iphigénie. A la différence que chez Sophocle le sacrifice est du à une faute l'hybris d'Agamemnon qui aurait contrarié la déesse. Vs I pas directement sacrifiée, ni force divine ni il n’y a pas la dimension tragique du pge Agamemnon le père partagé entre devoir et amour filial ; Mais c’est sa jeunesse et la mort de son fiancé, qui en fait une victime tragique, comme si

Phèdre Acte I, scène 1 (p. 36– "Hé depuis quand seigneur…") - Acte I, scène 3 (p. 42– "...et conspire à me nuire") Nota : les lettres "h, b, m" qui suivent les numéros de pages indiquent le haut, le Milieu ou le bas de la page. Passage qui se situe à l’ouverture de la pièce, et qui consiste paradoxalement en une sortie, ou un désir de fuite, dans le monde aventureux ou dans la mort. Au delà de la dimension strictement informative que doit avoir une scène d’exposition, on s’intéressera

l'opacité rugueuse de la métrique. Ainsi, le morceau de bravoure que constitue le récit de Théramène devient une intense déploration qui bouleverse ses auditeurs. On peut opposer cette volonté de créer une intimité avec le public à la célèbre Phèdre de Vitez (1975) au théâtre d'Ivry. En effet, cette mise en scène accusait au contraire la distance par le recours systématique à l'artifice, par la restitution de l'univers du Grand Siècle dans le choix des costumes et du décor. La comparaison des

roi », rarement accordé au gens de lettres. Il est donc contraint d’épouser Catherine Romanet en 1677 car son nouveau rang lui oblige d’avoir une vie rangée. Il ne peut donc continuer sa relation avec Marie Champmeslé déjà mariée. Racine présente Phèdre (1677) qui sera considéré comme sa pièce la plus aboutie. Ses œuvres restent très étudiées et jouées. Il meurt à 59 ans, le 21 avril 1699. Source : http://britannicusderacine.fr/biographie-de-jean-racine/ http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/jean-racine-3

XVIIIe siècle : - Pierre Beaumarchais (1732-1799) : Le mariage de Figaro - Pierre de Marivaux (1688-1763) : le jeu de l’amour et du Hasard O Tragédies XVIIe siècle : - Pierre Corneille (1606-1684) : Horace & Cinna - Jean Racine (1639-1699) : Phèdre, Andromaque & Iphigénie XIXe siècle : - Victor Hugo (1802-1885) : Ruy Blas - Alfred de Musset (1810-1857) : Les Caprices de Marianne & On ne badine pas avec l’amour XXe siècle : - Jean-Paul Sartre (1905-1980) : Les Mouches - Jean Giraudoux

décorait également le vainqueur des jeux olympiques d'une couronne de myrtes), « triomphe » (l.38). Il cherche la plus grande difficulté : il utilise le superlatif en parlant de son projet. Il renonce à celui de Merteuil car c'est trop facile, sa victime n'est pas digne de lui : elle est « jeune », « n'a rien vu, ne connait rien », est « sans défense » → elle n'a aucun intérêt, ne présente aucune difficulté. De plus, s'il obtenait la victoire, ce ne serait pas grâce à lui (de « me serait livrée »

devoir VS amourLa cour· Double jeu & dissimulation· Y règnent l’apparence, la beauté mais aussi la complexité· Univers faux-semblant· Chacun cache ssa vie intérieure· Espace dangereux· Car les hommes sont dangereux· Le Jansénisme · L’homme est coupable du fait du péché originel et n’a que peu de chance de rédemption. Il doit mener une vie irréprochable et se tenir à l’écart d’une société pécheresse et superficielle· La princesse doit fuir la cour pour lutter contre sa passionContexte historique

Œnone : Dominante et Dominée. Phèdre est une des pièces la plus célèbre de Racine qui met en question beaucoup de choses importantes comme l’amour et la politique. Phèdre de Racine est tirée d’une pièce grecque, Hippolytus, écrit par Euripide, ce qui explique les éléments grecs dans cette pièce. Dans cet essaie, nous analyserons le rapport entre le personnage principal Phèdre et sa confidente, Œnone. Tantôt, Œnone est considérée comme une extension de Phèdre, son double ou son conscience et tantôt

spectateur grace piece, contrairement a Phedre, I’héroine ne présente aucune ambiguité : la ot Phédre n’est « ni tout ni tout a fait innocente », Médée, elle, est entigrement abjecte | C’est un monstre qui a déja tue de s de sa vie et n’a aucun scrupule pour servir ses intéréts. Elle est donc parfaitement 4 le spectateur cette terreur que préconise Aristote afin de le purger de ses passions. Mais, dans cette a fait coupable, nombreuses personnes au cour: méme de provoquer chez |

nouvelles amours,Ce héros n'attend point qu'une amante abusée... HippolyteCher Théramène, arrête, et respecte Thésée.De ses jeunes erreurs désormais revenu,Par un indigne obstacle il n'est point retenu ;Et fixant de ses voeux l'inconstance fatale,Phèdre depuis longtemps ne craint plus de rivale.Enfin en le cherchant je suivrai mon devoir,Et je fuirai ces lieux que je n'ose plus voir.ThéramèneHé ! depuis quand, Seigneur, craignez−vous la présenceDe ces paisibles lieux si chers à votre enfance,Et dont