Phénomène de Gibbs

considérés comme déviants ; leurs comportements sont socialement perçus Devedeux et Garibbo comme des transgressions ou des menaces vis-à-vis d’un système de conformité dominant. Dans les années 50, les psychologues sociaux s’intéressent au phénomène de la déviance à l’intérieur des petits groupes. Il s’agit alors de comprendre comment les membres d’un groupe réagissent face à un comportement déviant afin de conserver leur homogénéité. On doit à Festinger l’idée selon laquelle tout groupe social

(1992) Table des matières I. La nature de la déviance Première approximation Définition Relativité et universalité de la déviance La déviance comme construction sociale Sens ou non-sens de la réaction sociale L'unité et la diversité du phénomène II. La théorie du contrôle social « Le suicide » de Durkheim La postérité du « Suicide » Déviances et intégration sociale Urbanisation et aires de délinquance La sociologie de la délinquance juvénile Toxicomanie et désinsertion sociale

individus se comportent de façon différente selon la nature de la relation ou du service utilisé. L'attitude face à la relation est donc motivée par des éléments situationnels (e.g., capacité d'autofinancement de l'individu ou de l'entreprise -Turnbull & Gibbs, 1987-) Figure 3 - Dimensions de l'orientation relationnelle COURT TERME LONG TERME R = Relationnel T = Transactionnel AFFECTIF FONCTIONNEL Dépendance Indépendanc Dépendance Indépendanc e e ? ? T T+ R R+ R-R- Nous définissons la propension3

statiques. Toutefois, la vérification du diagnostic présumé n’a été possible que par l’analyse des images dynamiques. L’imagerie dynamique montraient dans la séquence vidéo un mouvement non homogène du condyle, qui enjambait le disque (cf. fig. 6–10). Ces phénomènes permettaient dès lors d’étayer le diagnostic d’une luxation discale antérieure réductible d’expression légère. Pour 7 des 13 articulations (14,3%), les clichés statiques n’ont révélé aucune modification jugée pathologique. Les séquences dynamiques

Elle associe sur le plan clinique:1. Une dystrophie musculaire.1. Une myotonie vrai (Clinique et électrique)1. Des anomalies d’autres organes : œil, système nerveux, cœur, appareil digestif, glandes endocrines. II-HISTORIQUE :1. Steinert, Batten et Gibbs, 1909, ont individualisé la maladie.1. Ultérieurement, d’autres travaux insistant sur les signes viscéraux.1. Individualisation de la forme néonatale à transmission maternelle.1. Définition de l’anomalie moléculaire.III-EPIDEMIOLOGIE:1. C’est la plus

autre orateur ? Les différences sont subtiles mais importantes. Thermodynamique de Gibbs / Energie d'excès >> déjà expliqué par un autre orateur ? (relié au point précédent) Role de la courbure : Effet Gibbs-Thomson >> déjà expliqué par un autre orateur ? Influence du substrat/environnement : cohérence, interdiffusion, … >> ce point sera seulement mentionné Phénomènes de surface : ségrégation, reconstruction, relaxations >> ce point sera seulement

simplifiée de la réaction d’oxydo-réduction de NiOOH. Des espèces intermédiaires insolubles interviennent pendant la réaction. Pour limiter l’augmentation de pression à l’intérieur de la batterie et la décomposition de l’électrolyte, on favorise le phénomène dit de recombinaison d’oxygène. L’électrode de nickel a la capacité limitante ; elle est chargée en premier et il commence à s’y dégager de l’oxygène selon la réaction : 4OH − → 2 H 2 O + O2 + 4e − (I.8) L’oxygène produit est transporté

local des grandeurs et efforts aérodynamiques (méthode 2D par tranches)  Nécessité de modèles aérodynamiques des effets spécifiques au vol battu Page Travaux antérieurs sur la compréhension du vol animal Weis-Fogh (1973) : mise en évidence des phénomènes aérodynamiques instationnaires permettant de résoudre le paradoxe bumblebees can’t fly Dickinson et al. (1999) : montage Robofly : maquette d’aile d’insecte battant dans de l’huile, simulant l’écoulement autour d’une aile réelle à iso-Reynolds Différents

..............................................................................................30 5 FORMATION DES GOUTTELETTES DE NUAGE.........................................................................................32 5.1 Énergie libre de Gibbs .......................................................................................................................................32 I 5.2 Nucléation homogène.................................................................................

Introduction Depuis les années 1980 le suicide est devenu en France notamment un phénomène d’actualité de la santé publique. Le suicide compte par an plus de morts que les décès dus aux accidents de la route. Plus d'un tiers des français (38%) ont connu dans leur vie le suicide d'un proche et pour 5%, il s'agissait d'un membre direct de la famille (père, mère, soeur, frère ou enfant) et pour 13% celui d'un membre indirect. 13% des personnes interrogées (ce qui représente 5,2 millions de français)