Philinte Et Alceste

Dans cette scène, on a un dialogue entre les personnages sont Alceste et Philinte12 syllabes = alexandrinsRimes suiviesEmploi du pronom personnel « je » = Alceste exprime son point de vue, son opinion« Veux » = l’avis d’Alceste est fermé Emploi du pronom personnel « on » = Il désigne tous les hommes, dont Alceste.Emploi du présent de vérité générale avec le verbe « lâche »« Cœur » est l’organe de vie = les paroles qui partent du cœur engagent l’homme qui les prononcent« Lorsque » est une conjonction

scène du comique a) Oronte et le sonnet composé pour impressionner Alceste : ridicule (v. 305, 307 et 309), vantard (v. 313) b) Philinte : hypocrisie par des commentaires élogieux du sonnet, provocation d’Alceste qui tente de rester poli (v. 319, 325, 333, 336 et 338) c) Alceste : misanthrope 1. Presse Oronte à propos du sonnet (passage de l’indicatif à l’impératif, v. 314) 2. Contredit systématiquement Philinte (v. 320, 326, 334 et 338) 3. Critique le sonnet de manière virulente

Français pour le 18-10-2013 QUESTION : Ce corpus contient quatre textes, Le misanthrope ( act. I sc. 1 ) de Molière écrit en 1666. Dans ce passage il y a deux personnages, Alceste et Philinte. Alceste est contre la société qui l'entoure qui est trop hypocrite. Ce qui l'oppose a Philinte qui lui est hypocrite. Le deuxième texte est De la société et de la conversation provenant d'un des livres « Les caractères » de LaBruyère écrit entre 1688 et 1696. Dans ce texte LaBruyère parle

lâcheté. Extrait du Misanthrope ACTE I, SCÈNE 1 PHILINTE, ami d’Alceste; ALCESTE, amant de Célimène. PHILINTE Qu’est-ce donc? Qu’avez-vous? ALCESTE Laissez-moi, je vous prie. PHILINTE Mais encor dites-moi quelle bizarrerie... ALCESTE Laissez-moi là, vous dis-je, et courez vous cacher. PHILINTE Mais on entend les gens, au moins, sans se fâcher. ALCESTE Moi, je veux me fâcher, et ne veux point entendre. PHILINTE Dans vos brusques chagrins je ne puis vous comprendre

en scène un personnage au caractère à la fois intransigeant et excessif, Alceste, le misanthrope qui est amoureux d’une jeune coquette, Célimène. Ce personnage principal s’oppose sans cesse à la société qui l’entoure, car son idéal est celui d’une sincérité absolue, alors qu’il ne voit autour de lui qu’hypocrisie et ambition. Dans cette scène qui lance la pièce apparaissent 2 personnages qui forment un duo, Alceste et Philinte, son ami, mais le dialogue qui commence ici tourne au conflit… Plan

sur les personnages qui sont dans cette scène Alceste et Philinte, nous apprenons que Alceste est emporté, excessif, colérique, il s'énerve et râle toujours tandis que Philinte lui est modéré, calme et conciliant. l’autre information est celle du cadre spatio­temporel, dans celle­ci nous apprenons que la scène ce déroule  à Paris, sous  Louis XIV, en 1666, un salon de riche apparence, au premier étage d’une demeure aristocratique.  Cette exposition nous présente donc les caractères très différents d’Alceste et de Philinte, mais nous fait aussi comprendre le sujet de la

Le Misanthrope, Molière, I, 1 A=Alceste P=Philinte C=Célimène I- 1 scène d’expo ou la dispute « in medias res » entre A et P. 1) La mise en place psycho persos On remarque tt d’abord l’opp des persos sur - leurs noms : • A= misanthrope (haineux des hommes) • Philinte = philanthrope (du gr : philos « ami » et anthrôpos  « homme ») -leurs caractères : • A semble se placer ĉ 1 modèle de société : fier et orgueilleux, prend 1 air sup. Perso extravagant/hyperbolique

n’entre en scène que très tard). Ici, Molière a choisi de faire parler d’emblée son personnage pour qu’éclate au grand jour son caractère d’atrabilaire, d’autant mieux « typé » qu’il entre en contraste (d’où un effet comique) avec celui du mondain Philinte. 2. La satire de caractère Le caractère du Misanthrope est ambivalent. D’une part on peut y voir un idéaliste, un défenseur acharné de la vertu propre à s’attirer l’admiration de tous. Son rigorisme moral se manifeste dans l’usage de verbes de volonté

plonge dans une action déjà commencée : les deux questions de Philinte, en rythme binaire sur la réplique de six syllabes (v1), expriment par leur enchaînement rapide l’inquiétude de l’ami perplexe. Ces questions supposent que quelque chose s’est passé juste avant et éveillent la curiosité : qu’a dit ou fait Alceste pour que Philinte en soit inquiété ? Par ailleurs, l’accumulation de phrases interrogatives (vers 1, 6 et 23) montrent que Philinte reste ouvert au dialogue et cherche à comprendre ce que son

on peut le vérifier avec ce texte. 2. Lecture 3. Transition : C'est une scène d'exposition à deux personnages : Alceste le bourru, et son ami, Philinte l'amical. Une querelle s'instaure entre les deux hommes. Un étonnement, une surprise, originalité ? Le héros de la pièce est présent depuis le début. Cette présentation directe est bien en accord avec Alceste. Cette problématique sera celle, inhérente, à toute scène d'exposition. Pour cela, Molière s'exprime par le vers Alexandrin