Philippe Breton

l'influence latine, l'influence bretonne, l'influence provençale. Biographie MARIE DE FRANCE a vécu dans la deuxième moitié du XIIème siècle. C'est une poétesse médiévale célèbre pour ses lais rédigés en ancien français. Première femme écrivain française, elle a rassemblé des nouvelles en vers provenant des vieilles traditions bretonnes. D'après LA VILLEMARQUE,elle se serait inspirée pour son lai du laostic d'une gwerz bretonne (Dans la musique bretonne, la gwerz (en breton  gwerz, au pluriel gwerzioù

la « Bretonisation » de la marque, poussée par l’ancien responsable de l’entreprise Coca-Cola en zone Bretonne, pour évincer un concurrent devenu sérieux avec presque 10% des parts de marché en Bretagne : Breizh Cola. Coca-Cola a mis en œuvre un nouveau plan de communication et de vente : utiliser la proximité. Pour cela, la firme a fait apparaitre sur ses bouteilles et canettes des symboles bretons : un phare, la mer, des sports nautiques, des chapeaux ronds, le drapeau, et même la traduction de l’accroche

estimoient la vive souvenance des humains acquise par liberalité que la mute inscription des arcs, colomnes et pyramides, subjecte es calamitez de l'air et envie d'un chascun. « Souvenir assez vous peut de la mansuetude dont ilz userent envers les Bretons à la journée de Sainct Aubin du Cormier et à la demolition de Parthenay . Vous avez entendu et, entendent, admirez le bon traictement qu'il feirent es barbares de Spagnola, qui avoient pillé, depopulé et saccaigé les fins maritimes de Olone et Thalmondoys

que l'on retrouve dans le nom du département des Côtes d'Armor. Il remplace le nom de Côtes du Nord : le nord n'étant pas attirant pour les touristes, on a alors changé de nom...  en breton : arvor désigne le littoral et Arvorig, l'Armorique. De ses origines, presque rien ne subsiste car la véritable culture bretonne ne s'écrivait pas : elle se transmettait oralement. Les druides en étaient les gardiens et les principales traces qu'il nous restent de cette époque sont les mégalithes. Voila pourquoi

demande a changé: les élites qui faisaient travailler la haute couture de la Belle Epoque sont ruinées; les Américaines, nouvelles clientes des maisons de couture, très sportives, réclament des vêtements légers. Les particularismes régionaux (les Bretons, les Provençaux, avec leur chapeau, leur costume), qui rejetaient la mode imposée par Paris, se sont estompés. Les modes se diffusent désormais sur tout le territoire, par les magazines, les affiches, les publicités pour les produits de beauté.

cette arrivée massive de Gaulois qui risquent d’accaparer les magistratures, comme en témoignent les critiques ultérieures de Sénèque contre la politique de Claude : « il avait décidé de voir en toge tous les Grecs, les Gaulois, les Espagnols, les Bretons »16. Claude cherche à maintenir des relations apaisées avec le Sénat, il prononce donc un discours devant l’assemblée des sénateurs pour les convaincre d’admettre en leur sein ces nouveaux venus15.

préalables: Avant de rentrer dans le vif du sujet, il faut préciser deux choses. Tout d'abord, notons qu'avant de s'appeler « Grande-Bretagne », ce territoire s'appelait simplement « Bretagne » et il était peuplé de Bretons. A partir du 6ème siècle, une partie de la population bretonne migre sur le continent et la confusion s'intalle entre la Bretagne insulaire et la Bretagne continentale correspondant à la Bretagne actuelle. On les distingue alors en parlant de grande Bretagne et de petite Bretagne

concernés, soit une référence ethno-musicologique. Dans ce sens, on considère que lorsque les musiques des pays celtes ont gardé de vrais caractères bretons, irlandais, etc., subsiste un ensemble de tendances propre à la musique celtique. Le principal défenseur et promoteur de cet angle de vue est Alan Stivell. Il dit (dans "Telenn, la harpe bretonne" et www.alan-stivell.com/blog), pour résumer : "Au sens ethno-musicologique, la musique celtique existe de manière très minoritaire à l'intérieur même

difficile de determiner où se trouvent les limites pour ces deux extrêmes, si c’est au cas de Bretagne de se considérer d’être le Breton avant d’être le Français, ou d’être tout simplement fier de ses racines, ou ça suffit d’accepter plus ou moins passivement la bretonnité comme le fait sans un plus grand intérêt. Si on veut comprendre et analyser l’identité bretonne, il faut tout d’abord comprendre ce qui désigne ce terme. Dans son sens premier, c’est le caractère de ce qui est identique, donc

villages les plus coriaces. Arrivant au galop d’un cheval de labour, un paysan surgit devant la mairie où veille Rusquec, chef des rebelles. L’alarme est donnée, le tocsin sonne. Un fossé creusé devant la porte de l’école est masqué de fascines, les Bretons se massent dans la cour ou se hissent sur les murs. La troupe doit déloger les occupants de trois barricades, puis forcer le portail barré par des charrettes et des chaînes, tandis que les paysans aspergent de purin épaulettes et képis en chantant