Philippe d'Alsace

Alsace, Suisse, … L’œuvre d’Unification territoriale et monarchique a commencé sous la maison de Bourgogne et fut complétée par la famille de Habsbourg. Sous Philippe le Hardi Philippe le Hardi, fils du roi de France Jean II le Bon est devenu le troisième duc de Bourgogne en 1363 (son règne durera de 1363 à 1404). Il est nommé Philippe le Hardi par le roi d’Angleterre suite à trois de ses actions. La plus célèbre étant son valeureux comportement au côté de son père à la bataille de Poitiers en

indépendantes et qui ont composées leurs possessions. L’évolution de nos principautés fut modifiée de manière décisive par le mariage de Marguerite de Maele, héritière de Flandre, Artois et Franche-Comté, avec Philippe le Hardi 1363), frère du roi de France, Charles V et duc de Bourgogne. Philippe le Bon, fils de Jean sans Peur, s’attella à réunir et à augmenter ses possessions. Il acheta le Namurois en 1421 et vu que ses cousins ne laissaient pas d’héritiers, il reçu le Brabant et le Limbourg en 1430

femmes était soit tondu et interné ou tondu et exécuté en place public, environ 9000 femme ont subi ce sort. 20000 français sont victimes de l’épuration sauvage et spontané dé 1943 parce que les résistants publiés les listes des colabos, par exemple Philipe Henniot 28/06/44. Les Gaullistes reprennent l’épuration en ouvrant des tribunaux. L’état reprend cette épuration pour éviter la guerre civil sauf que le système judiciaire est surchargé, l’état mais en place des périodes d’amnistie. Il y a eu 1600

place après l'appelle de cesser le combat du 17 juin 1940, quelque jours plus tard le 22 juin de cette même année l'armistice fut signer avec l'Allemagne du Maréchal Adolf Hitler. Le 10 juillet 1940, l'assemblé national vote le nouveau dirigeant Philippe Pétain, il investi les pleins pouvoir du chef d'état français pendant quatre années de l'occupation nazie. La France est en collaboration avec l'Allemagne nazie, des frais d'occupation sont demandé Le Reich absorbe plus de la moitié du revenu national

justement en Grèce lors de l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C.2. Il s'enrôle alors dans l'armée des « Libérateurs » et se fait si bien remarquer de Brutus que celui-ci lui confie le commandement d'une légion3. Lors de la première bataille de Philippes (première semaine d'octobre 42 avant J.-C.), les troupes de Brutus s'emparent du camp d'Octave, qui échappe de peu à la capture. Mais lors du second combat, le 22 octobre, Octave et Marc Antoine sont vainqueurs. Brutus se suicide. Horace fait partie

en Grèce lors de l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C.[2]. Il s'enrôle alors dans l'armée des « Libérateurs » et se fait si bien remarquer de Brutus que celui-ci lui confie le commandement d'une légion[3]. Lors de la première bataille de Philippes (première semaine d'octobre 42 avant J.-C.), les troupes de Brutus s'emparent du camp d'Octave, qui échappe de peu à la capture. Mais lors du second combat, le 22 octobre, Octave et Marc Antoine sont vainqueurs. Brutus se suicide. Horace fait partie

gorge avec un débris de verre. Il évite la mort de peu et conservera une cicatrice qu'il cachera sous une écharpe. En raison de ses idées républicaines marquées à gauche comme radical-socialiste, il est révoqué par le Régime de Vichy du maréchal Philippe Pétain le 2 novembre 1940 et placé en disponibilité. Il se met alors à la rédaction de son journal Premier combat où il relate sa résistance contre les nazis à Chartres de manière sobre et extrêmement détaillée (ce journal sera publié à la Libération

mort en août. Le rôle militaire de la Résistance va s'accroître. Les premiers parachutages d'armes ont lieu dans le Cantal à la fin de 1943. Des maquis s'organisent, notamment en montagne. Celui du Vercors est anéanti du 21 au 27 juillet 1944. Ceux d'Alsace ont pour but essentiel de faire passer en Suisse des réfractaires à l'enrôlement dans la Wehrmacht ou la SS. Face à ces actions militaires, Jodl, adjoint de Keitel, commandant suprême des armées d'occupation, indique que « des mesures collectives

diffuser, manifester, etc.), de circuler et de s’associer (associations, syndicats, partis). À l’été 1940, en 3 semaines, 3 dates signent l’effondrement militaire et politique de la France et l’instauration de régimes dictatoriaux. Le 17 juin, Philippe Pétain demande à l’armée qui se bat courageusement de cesser le combat. Le 22 juin, l’armistice signé avec l’Allemagne et l’Italie. Cette abdication, autorise l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste à piller la France, à l’émietter en de multiples

France, alors en exil au Maroc. le prince Napoléon (p. 31) : Héritier de la famille Bonaparte, prétendant au trône impérial. Albert Lebrun (p. 31) : Dernier président de la IIIe République, c’est lui qui, le 16 juin 1940, a appelé Philippe Pétain à la présidence du Conseil (mais il a refusé de démissionner). Weygand (p. 32) : Général français nommé en mai 1940 commandant en chef des armées, il se résigna vite à une demande d’armistice. la Ruhr (p. 32 bas) : Vaste bassin