Philippe Le Bel Ordonnance 1312

politique prolongé par une action idéologique et culturelle. b)- La paix : L'attente de la cité céleste Le mot clef des Carolingiens, c’est norma rectitudinis : la norme de ce qui plaît à Dieu : idée d’une régularité, d’une ordonnance des choses de ce monde portant en soi un élément esthétique, à la différence de la survie désordonnée du monde gallo-romain sous les Mérovingiens : construction carolingienne s’est avant tout voulue un projet, lucide et ordonné qui permit notamment

au début du règne de Philippe Auguste (à partir de 1180). À ce moment-là, l’université de Paris, issue de l’ancienne école cathédrale, s’émancipe de la tutelle de l’évêque de Paris et les maîtres émigrent sur la rive gauche dans le quartier latin. (…) Les pouvoirs publics sont favorables aux universités. Philippe Auguste était très favorable à l’université de Paris mais il était contre l’enseignement du droit romain. Paris était célèbre pour son enseignement canonique. Philippe Auguste considérait

midi choses plus pacifiques. B – L'attitude conciliante de la royauté Durant tout le 12ème siècle l'attitude de la royauté, le Roi étant seigneur de nombreux endroits, tantôt favorable à la création d'une ville tantôt hostile. Mais à partir du roi Philippe Auguste (1180 – 1223) la politique royal semble s'être exercé de façon favorable aux villes, le roi se contente d'accepter les villes avec peu d'intérêt, Paris par exemple est beaucoup réprimée. Dans le domaine des seigneurs le roi a accueilli et

au début du règne de Philippe Auguste (à partir de 1180). À ce moment-là, l’université de Paris, issue de l’ancienne école cathédrale, s’émancipe de la tutelle de l’évêque de Paris et les maîtres émigrent sur la rive gauche dans le quartier latin. (…) Les pouvoirs publics sont favorables aux universités. Philippe Auguste était très favorable à l’université de Paris mais il était contre l’enseignement du droit romain. Paris était célèbre pour son enseignement canonique. Philippe Auguste considérait

cours du IVème siècle av Jc, les cités grecques ont décliné et à l’inverse, plus au nord, la Macédoine a pris de l’importance notamment à travers une série de victoires militaires. Elle a progressivement constitué un grand empire et ça grâce au roi Philippe II puis grâce à son fils Alexandre qui lui succède en 336 av Jc. Progressivement, l’empire macédonien s’est étendu aux cités grecques plus au sud (Athènes et les autres ont perdu leur indépendance en 338 av Jc), puis Alexandre a traversé la mer

L’Introduction historique au droit : une introduction au droit par l’étude de son histoire 17 III. Les institutions génératrices de droit : les sources institutionnelles du droit 24 IV. Les sources formelles du droit : coutume, loi, ordonnance, jurisprudence et doctrine 59 V. Bibliographie 84 Chapitre préliminaire. Les naissances du droit dans l’Antiquité : quelques monuments du droit 87 I. La Mésopotamie 87 II. Les Hébreux

siècle. Vers 1250, un bailli du nord de la France, Pierre de Fontaine, rédige un coutumier intitulé "Conseils à un ami" et qui décrit les coutumes du bailliage de Vermondbois. Le plus célèbre coutumier du nord est rédiger à la fin du XIIIe siècle par Philippe de Beaumanoir dans la bailli de Clermont en Beauvaisis. Tous ces coutumiers du nord ont plusieurs caractéristiques communes : ce sont des ouvrages privés, dépourvus de valeur officielle; ils sont rédigés à l'usage des juges et des avocats sans être

anonyme rédige l’ouvrage Livre de justice et de plet, qui est une mise par écrit de coutumes orléanaises. Le plus célèbre de tous les coutumiers du nord a été rédigé à la fin du 13ème siècle, sous le règne de Philippe le hardi, par Philippe de Beaumanoir, qui a été bailli pour le comte de Philippe le hardi : il rédige Coutume de Clermont en Beauvaisis. Ce coutumier a du succès et est recopié et lu dans le nord de la France jusqu’à la fin du 14ème siècle. Ces coutumiers ont plusieurs caractéristiques

suscita envie et haines. Au XIVème siècle, la puissance et la richesse des templiers inquiétèrent certains rois ; Philippe le Bel fit arrêter en masse (138) le même jour les templiers (1307), ils furent mis à la torture et avouèrent tout, une soixantaine furent brûlés vifs (en 1314, dont leur grand maître Jacques de Molay), leurs biens vendus ; le pape clément V supprima l’ordre en 1312. Les ordres ibériques ou teutoniques eurent une survie beaucoup plus brillante, et les hospitaliers se perpétuèrent

l'industrie et le commerce: Tarraco (Tarragone), Carthago Nova (Carthagène), Saguntus (Murviedro), relevée de ses ruines; Caesaraugusta (Saragosse), Calagurris (Calahorra), Corduba (Cordoue), Hispalis (Séville), Malaca (Malaga), Gadès (Cadix). De belles routes les reliaient, dont les plus fréquentées étaient celles qui allaient de l'océan Atlantique à Narbonne par León, Saragosse, Tarragone et Barcelone, et une autre s'embranchant sur la première à Tarragone et desservant Carthagène, Malaga et