Philosophie Et Euthanasie

importante bataille à remporter était vaincre ses propres démons, peurs et insécurités. Il résuma ses croyances quand il dit d'abord « Dieu est vérité ». Il changea ensuite cette déclaration en « la vérité est Dieu ». Ainsi satya (la vérité) dans la philosophie de Gandhi est « Dieu ». [modifier] Simplicité Gandhi filant avec un chapeau de Noakhali, à Birla House, New Delhi, novembre 1947. Gandhi croyait sincèrement qu'une personne impliquée dans le service social devait mener une vie simple qui l'amènerait

critique du kantisme 8 1. Le problème de l’égoïsme 8 2. Les sentiments moraux 8 3. L’eudémonisme d’Aristote 8 4. L’utilitarisme anglais 9 III. L’éthique de la vie et de la joie 9 A. L’éthique de Spinoza 9 B. La philosophie de la morale de Nietzsche 9 1. La vie, source de toute valeur 9 2. L’évaluation des valeurs 10 3. La généalogie de la morale : morale des forts et morale des faibles 10 4. Par-delà bien et mal 10 a. La sagesse tragique

Émile Chambry) Introduction et présentation par Olivier BATTISTINI docteur 3ème cycle en histoire grecque ATER à l'Université de Corse __ Participation aux notes marginales pour le texte de Platon, de Josette CASANOVA docteur 3ème cycle en philosophie professeur au Lycée de Corte Pour Claire « Claire, laisse-moi à présent te conduire. Mêle ton corps au mien, fraîche, aime et endors-toi. Tu n'es plus isolée dans les plis de la terre et je ne suis plus seul devant le temps, devant la nuit.

concept théorique que je vais éclairer cette problématique afin de pouvoir émettre une hypothèse 13 BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES BUCKLEY, J. (2011). Soins palliatifs, une approche globale. Bruxelles: De Boeck Université. DREYER, C. (2001). Euthanasie. Consulté le 02 23, 2013, sur The Brain: http://thebrain.mcgill.ca/flash/capsules/pdf_articles/euthanasie.pdf HACPILLE, L. (2012). Soins palliatifs : les soignants et le soutien aux familles, Ouvrage, ed : rueil-malmaison, editeur : lamarre

La critique du kantisme 13 1. Le problème de l’égoïsme 13 2. Les sentiments moraux 14 3. L’eudémonisme d’Aristote 15 4. L’utilitarisme anglais 15 III. L’éthique de la vie et de la joie 15 A. L’éthique de Spinoza 15 B. La philosophie de la morale de Nietzsche 16 1. La vie, source de toute valeur 16 2. L’évaluation des valeurs 17 3. La généalogie de la morale : morale des forts et morale des faibles 17 4. Par-delà bien et mal 18 a. La sagesse tragique 18

dans un contexte libéral, la DDHC reflète les visions de cette époque. Ainsi, elle proclame des droits individuels et universels fondamentaux tels que la liberté, l’égalité ou encore le droit de propriété. Ces droits sont établis sur la base des philosophies de l’époque, et notamment sur l’idée du « contrat social » de Rousseau. En effet, l’homme a des droits qui lui sont inhérents, ce sont les droits naturels. Ceux-ci sont complétés par les sanctions appliquées par le pouvoir. Le pouvoir doit donc

Théorie générale des libertés fondamentales Titre 1 : La philosophie des libertés fondamentales Le droit voté par le Parlement puis interprété, est la traduction de choix politiques qui eux-mêmes sont en principe fondés sur un système de valeurs. Comprendre les causes des mutations des droits contemporains. La liberté vient de loin. La philosophie libérale est issue d’une très longue gestation qui va accoucher au 18ème siècle. Philosophie des Lumières : la modernité des Lumières. Ces droits

Cassation exerce un rôle de contrôle sur les juridictions qui lui sont inférieures. Le juge applique la loi, ce qui suppose de l’interpréter. De plus, dans certains cas il n’y a pas de loi. C’est de plus en plus fréquent dans les questions de société : euthanasie… La doctrine Ce sont les écrits des personnes spécialisées dans le droit (universitaires, avocats). Ce sont des opinions sur des points de droit particuliers qui amène des « éclairages » sans portée normative et juridique (on ne peut pas l’invoquer

qu'on ne peut déroger par des conventions particulières aux lois qui intérèssent l'ordre publique et les bonnes moeurs. Difficultés à dire que le droit trouve entièrement sa source dans la morale, car il existe des situations juridiques immorales ( euthanasie, les lois de Nuremberg ) Le droit changer d'un pays à un autre alors que la morale est censée être univeselle. 2) L'exclusion du droit de la morale Droit et moral totalement différents. Le droit n'aurait autre vocation qu'à s'intérésser

B) La question de l’embryon Le statut de l’embryon (conceptus) pose aussi des problèmes mondiaux. Déjà dans l’antiquité les mêmes problèmes existaient. Dans la conception aristotélicienne, l’embryon est un être en puissance. A l’inverse, la philosophie stoïcienne enseignait que le fœtus n’était ni un homme, ni un être animé, il était une partie des viscères de la femme, un morceau des entrailles de la mère. (pars viserum matris). En droit romain, le fœtus était une partie de la femme, et non