Philosophie Et Obeissance Aux Lois De La Cité

dieux, le droit égyptien, par exemple, qui remonte vers 3000 av. J.-C. Le Code d’Hammourabi (vers 1700 av. J.-C.) : la plus ancienne collection de lois connue, gravée sur une pierre cylindrique (au Louvre). Hammourabi, fondateur de l’Empire babylonien. Ici, le droit est censé transcrire les volontés de Dieu. C’est la plus ancienne collection de lois connue, gravée sur une pierre cylindrique en diorite, découverte en 1902 et conservée au Louvre. Hammourabi ou Hammourapi (1792-1750 av. J.-C.) fut

corrompre la jeunesse et de ne pas reconnaître les dieux de la cité. Le crime de Socrate, c’est d’avoir voulu sauver l’individu contre la foule des bien-pensants, contre le régime politique dont les athéniens étaient si fiers, mais dans lequel il est impossible d’avoir souci de son âme, c’est à dire d’être libre. Ainsi la philosophie est marquée dès le début par la révolte de l’individu contre les institutions, contre la décadence de la cité et l’appel de Socrate conduit à cette question : faut-il croire

dieux, le droit égyptien, par exemple, qui remonte vers 3000 av. J.-C. Le Code d’Hammourabi (vers 1700 av. J.-C.) : la plus ancienne collection de lois connue, gravée sur une pierre cylindrique (au Louvre). Hammourabi, fondateur de l’Empire babylonien. Ici, le droit est censé transcrire les volontés de Dieu. C’est la plus ancienne collection de lois connue, gravée sur une pierre cylindrique en diorite, découverte en 1902 et conservée au Louvre. Hammourabi ou Hammourapi (1792-1750 av. J.-C.) fut

territoire et une population d’un même pays, il s’agissait plutôt de petites cités indépendantes les unes des autres. S’ils avaient certains points communs des choses panhéllenique(s) (commun à tous les Grecs) comme la langue ou la religion… Chaque cité avait aussi des spécificités comme le calendrier, le régime politique,… Cadre 2 : La religion dans la Grèce Antique. Actuellement, la religion des Grecs est le christianisme-orthodoxe, il s’agit donc d’une religion monothéiste.  Dans l’antiquité

question : Au nom de quoi ? La vraie question n’est pas « je pense cela parce que c’est comme ça » mais plutôt pourquoi « je pense ce que je pense » alors ensuite j’accepte des contraintes au nom d’une collectivité et j’identifie les raisons de mon obéissance. Les modes d’organisation du pouvoir sont dominés par l’héritage. CHAP 1 : LES ORIGINES DANS CETTE ERE (puis chap 2 modèles politiques qui ont dominés l’histoire de ces peuples) I SOUS PARTIE : les peuples d’Europe 1 – Le présupposé d’une

de liberté attribuer aux citoyens Les solutions données par les lois doivent être adaptées. « Les lois résultent d’un ensemble de circonstances qui en expliquent l’infinie variété » - Sens éco , social , philo Le droit correspond à un milieu social , il évolue. Les règles de droit naissent , et se transforment meurent disparaissent afin de créer de nouvelles règles. Grace à l’étude historique on peut suivre l’évolution de ces lois. Quelle est la bonne loi ? Est-elle bien adapté ? Faut-il la changer 

Moyen-âge Chapitre 1: L'antiquité gréco-romaine Les idées politiques sont des représentations de l'esprit portant sur le phénomène politique. Ce qui intéresse le politique est ce qui concerne le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles

pratiques, pas de bases théoriques. Leur influence sur les grecs et romains sera en réalité indirecte car tout ne passera que par l'oral. --> la religion est dominante. Le droit et les règles juridiques sont dictés par les dieux , lesquels exigent une obéissance absolue ou acceptent l'interprétation par les hommes selon les sociétés. Notre droit actuel a été beaucoup plus influencé par les sociétés grecques et romaines qui vont connaître des périodes de splendeur au cours desquelles le droit va évoluer

construit ex-nihilo. La philosophie des DDH a héritage antique et est tributaire de la réforme protestante. §1- Le legs de l’Antiquité grecque. Les philosophes grecques sont des philosophes holistes (cf. Drumont Essai sur l’individualisme). Cf. « holos » complet, entier, le tout, l’uni en grec. En Grèce le tout c’est la cité. Aristote « l'homme est un animal politique » qui fait partie de ce tout. Conséquences de la pensée holiste : la légitimité de l’esclavage : la cité a besoin d’esclaves

Rousseau Introduction Justice et vérité: La question de la justice comme celle de la vérité est une des plus anciennes questions de la philosophie: c'est l'une des questions posées par Socrate à ses interlocuteurs, qu'ils soient de condition libre ou servile, qu'ils se prétendent experts, comme les sophistes par exemple, ou qu'ils soient simples citoyens de la cité. "qu'est-ce que le juste?" ou "qu'est-ce qu'être juste?", "qu'est-ce que le vrai?" Or ces deux questions en apparence très éloignées