Philosophie morale

Dieu, sujet à controverse ? Au fil de l’histoire de la philosophie, de nombreux arguments en accord et en désaccord de la présence d’un être suprême invisible ont été prononcés. Nous parlons ici d’une essence supérieure qui serait le fondateur des grandes religions que nous connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire le judaïsme, le christianisme et l’islam. La réalité de ce créateur ne cessa d’occuper l’esprit des érudits. Toutes ces réflexions nous amènent à une question philosophique qui apparaît

certitude  : confiance sans limite qu’on peut donner dans nos assertions incertitude seulement négative ou déploiement de la connaissance et de l action Francis Kaplan : professeur émérite des Universités Théorie de la connaissance Il y a la philosophie et la science Les scientifiques ou les philosophes la philo et la science= globe dans lequel on rentre par parrainage dans un cas comme dans l autre= examen Ceci étant il faut constater qu’en ce qui concerne la science= énonce des propositions

l’auteur de cet article. Ainsi, dès les origines de la création des Etats-Unis, un « mur de séparation » est construit par les pères fondateurs. Washington, Jefferson, Franklin, Madison étaient des chrétiens peu pratiquants proches du déisme de la philosophie des Lumières. Ils pensaient que la religion était un facteur de division et qu’il fallait la tenir éloignée des affaires politiques. A la fin du XVIIIe siècle, toutes les confessions reconnaissaient déjà que la sphère politique était un domaine

et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement : « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien un jugement faux. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l'objet lui-même mais la valeur de mon assertion. La philosophie, parce qu'elle recherche la vérité, pose le problème de ses conditions d'accès et des critères du jugement vrai. Il y a donc une notion de subjectivité, puisqu'il s'agit de la vérité pour non, et non d'une vérité posée comme absolue

Séminaire de Formation des Formateurs sur l’appropriation des contenus des domaines de la «réflexion philosophique» et de la «vie sociale» Thiès : 16-19 février 2004 / Louis-Roi-Boniface Attolodé, L’idée de philosophie africaine L’IDÉE DE PHILOSOPHIE AFRICAINE L’idée de philosophie africaine se donne à nous, hormis l’épisode négativiste de l’idéologie de la mentalité primitive, de par les sinuosités de son histoire tumultueuse, comme une tension constante à l’interstice de l’universel et du particulier

suicide ; le second sur le problème du meurtre. Puisque sa philosophie est morale, Camus cherche des solutions spirituelles et métaphysiques qui remettent en question « les fondements des choses et des valeurs ». Dans Le Mythe de Sisyphe il affirme dès le début : «  Il n’y a qu’un seul problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger si sa vie vaut ou ne vaut pas d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie ». Le sentiment de l’absurde qu’il avait transposé déjà

LA CULTURE Faut-il parler DES cultures ou DE LA culture ?? Intro : Nous sommes les héritiers d’une culture occidentale issue de la philosophie grecque, qui est une culture dominante. Elle s’est développée avec l’humanisme, les lumières qui avaient pourtant l’intention louable d’enrichir l’humanité. Elle a donné naissance à des formes d’intolérance, générées de disparition de civilisation par génocide ou ethnocide, qui sont tout a fait intolérable. Le programme de philo contient la notion de

et le monde. des relations humaines intéressantes comme des activités intellectuelles, artistiques, sportives associatives ou autres intéressantes en soi, liées ou non à l'activité principale. [3. La satisfaction morale] Tout ceci est propre à apporter une grande satisfaction morale. Si ce genre de satisfaction, due surtout à l'ouverture aux autres, au sentiment d'être utile, au plaisir de la découverte, à la satisfaction de la création, est pour ainsi dire permanente et souvent - en des occasions

Volland (7 sept 1769) : « Cela est de la plus haute extravagance et tout à la fois de la philosophie la plus profonde.» Nous constaterons dans un premier temps que cet extrait donne à suivre une conversation à première vue extravagante, avant de montrer qu’il s’agit au fond d’une conversation philosophique. Enfin, nous verrons que l’auteur parvient à livrer ici une démonstration de matérialisme, exprimant la philosophie la plus profonde. DEVELOPPEMENT I. Une conversation extravagante A. Une situation

les croit irréalisable.) Avis de coup de cœur: Je pense que c’est un livre intéressant à lire, car bien qu’il contienne une histoire et une morale complète, il reste relativement court ce qui en fait un livre que même des personne qui ne sont pas habituées à la lecture, pourront apprécier jusqu’à la fin. De plus ce livre possède une certaine philosophie qui pousse à vouloir réaliser ses rêves et à ne pas abandonner, ni à attendre en se disant qu’on le ferat peut-être plus tard. Mehdi.T, 2nd1